Analyse Juridique Cour De Cassation Chambre Commerciale

payer la somme convenue au vendeur et à payer une indemnité correspondant à la dette de remboursement du crédit. Dans un sens similaire au premier jugement, la cour d'appel a condamné le prêteur à payer la somme convenue aux ayants-droit. Le prêteur a formé un pourvoi, reprochant aux juges du second degré de n’avoir pas respecté la nature juridique du prêt prévu par l'article 1892 du Code Civil. Selon lui, faute de remise de fonds avant le décès de l'emprunteur, le contrat de prêt, en raison de

DROIT CIVIL Commentaire d'arrêt, 1ère ch. Civile, 5 novembre 2009 Actus dicatur bonus qui est confirmis legi et rationi, cette maxime juridique latine signifie qu'un acte est bon lorsqu'il est conforme à la loi et à la raison. Il arrive en effet que parfois, la jurisprudence crée du droit en se fondant sur une certaine moralité. C'est notamment le cas pour certaines notions du droit des obligations comme la théorie de l'action de in rem verso qui réside dans l'idée que nul ne peut s'enrichir

instance) - qu’a répondu ce juge ? (il s’agit là de la « motivation » de la décision concernée, c’est-à-dire le fondement juridique choisi pour répondre à la demande et la rejeter - quel autre juge a alors été saisi, par qui et pourquoi ? (juge de 2ème instance) - quelle a été la position de ce juge ? (et sa motivation) - arrive ensuite le moment de saisine de la Cour de cassation qui se réalise par la formation d’un « pourvoi » par le demandeur. Précisez quel est ce demandeur au pourvoi si l’arrêt

pourvoi n° 01-14. 761) la chambre commerciale statuant en application de ces textes a énoncé dans un même "attendu de principe" que : "Si l’attribution judiciaire du gage ne constitue qu’une faculté pour le créancier, ce dernier, lorsqu’il est par ailleurs garanti par un cautionnement, commet une faute au sens de l’article 2037 du Code civil si, en s’abstenant de demander cette attribution, il prive la caution d’un droit pouvant lui profiter". Cependant, la première chambre civile a, par arrêt du 8

Université Cheikh Anta Diop de Dakar Faculté des Sciences Juridiques et Politiques Licence II Droit – Semestre III Droit des obligations – Contrat Année académique 2011-2012 Séance n° 4 Thème : la formation du contrat Cours magistral du Professeur Mayata Ndiaye Mbaye Sous-thème : les contrats par correspondance Pour les groupes du mardi Dissertation : la formation du contrat par correspondance Pour les groupes du mercredi Cas pratiques : Cas n° 1 : Modou, un jeune sénégalais de 17 ans installé

responsabilité de l'Etat ne sont pas les mêmes devant les juridictions judiciaires. -droit international public : s’intéresse à l'organisation des rapports interne étatique (comme l'Ukraine), et il existe des juridictions particulières (la cour internationale de justice ou la cour internationale pénal internationale nommé LAE compétente en génocide et crime contre l'humanité. b) droit privé Vise les rapports entre personne privée. Trois matières : -droit interne privé : son origine : Code Civil

------------------------------------------------- ------------------------------------------------- Arrêt Ass. Plénière le 1er décembre 1995 ------------------------------------------------- Le 1er décembre 1995, l’Assemblée plénière de la Cour de cassation a rendu plusieurs arrêts à propos d’un sujet brulant, celui de l’indétermination du prix. C’est du premier pourvoi présenté à l’assemblée plénière dont il est question ici. En l’espèce, un locataire avait pris à bail pour une durée de dix

13/04/2011 KAUTZ 1TSPI Devoir Maison – Agent Commercial ------------------------------------------------- ------------------------------------------------- Analyse d’arrêt Juridiction : Cour de Cassation, première chambre civile Parties : -Demandeur : Mme X -Défendeur : Mme Y Les faits : Mme Y est responsable d’une agence immobilière. Elle a conclu avec Mme X un contrat intitulé mandat d’agent commercial. Ce mandat prévoit que Mme X devra rechercher, au nom

Civil, s’attache à définir la garantie autonome en un seul article.  Il confère à une pratique des affaires internationales, fruit de la liberté contractuelle  (article 1134 du Code Civil), un régime juridique succinct de sûreté personnelle. En effet, la  complexité de certaines opérations commerciales internationales explique le non­recours aux  sûretés traditionnelles et par conséquent l’émergence de la garantie autonome pour renforcer la      position du créancier.  Le droit français s’en trouve ainsi

peuvent être saisies que par l’esprit. Le bien était traditionnellement défini comme une « chose matérielle susceptible d’appropriation » (Gérard Cornu, Vocabulaire juridique). Les biens étaient avant tout considérés comme des choses corporelles, objet de propriété. Du fait de l’explosion de l’immatériel dans le commerce juridique, la vision de bien a évolué et traduit aujourd’hui l’idée de valeur, de richesse. Le professeur Laurent Aynes définit le bien comme « une chose à la fois appropriée