ô Toi Que Mon Amour Profond

peut se charger l’âme ! Plus loin, la lâcheté, la peur, la trahison Offrant des clefs à vendre et goûtant du poison ; Et puis, plus bas encore, et tout au fond du gouffre, Le masque grimaçant de la Haine qui souffre !   Oui, c’est bien là la vie, ô poète inspiré, Et son chemin brumeux d’obstacles encombré. Mais, pour que rien n’y manque, en cette route étroite Vous nous montrez toujours debout à votre droite Le génie au front calme, aux yeux pleins de rayons, Le Virgile serein qui dit : Continuons 

toi (« corps et biens ») de Robert Desnos. Œuvre d’art se référant à Sonnet de Félix Arvers. Le thème de l’Univers Religieux : -Ecrit au bas d’un crucifix de Victor Hugo. -Durant plus d’un jour de Rabindranath Tagore -Elégies, Amour et Charité de Marcelin Desbordes-Valmore -Extase d’Agrippa d’Aubigné -Le Maître que j’adore d’Alphonse de Lamartine Présentation Cette anthologie de la poésie française, présente des poèmes d’auteurs plus ou moins connus

J'ai choisi le thème des poèmes sur l'amour car l'amour est utilisé dans beaucoup de poèmes et de très nombreux poètes ont écrits pleins de poèmes sur l'amour. De plus, nous pourrons voir que les poètes travaillaient beaucoup pour montrer leur amour, cela me fascine jusqu'où ils peuvent aller pour l'amour... J'ai choisi 10 poèmes sur le thème de l'amour: -«Aimons toujours ! Aimons encore» du recueil Les Contemplations, de Victor Hugo. -«Jocelyn, le 20 septembre 1793» du

J’ai pour parure Riche ceinture Et beaux enfants. Ainsi tu disais : Ainsi tu mentais. O mortelle injure ! Grenade est parjure ! Un chrétien maudit D’Abencerage Tient l’héritage : C’était écrit ! Jamais le chameau N’apporte au tombeau, Près de la piscine, L’Haggi de Médine. Un chrétien maudit D’Abencerage Tient l’héritage : C’était écrit ! O bel Alhambra ! O palais d’Allah ! Cité des fontaines ! Fleuve aux vertes plaines ! Un chrétien maudit

I : L’amour : une force sensuelle et irrésistible A : Un élan de tout l’être B : Une passion brûlante II : Amour, estime et honneur A : L’alliance de l’amour et du devoir B : L’estime, fondement de l’amour III : Amour et liberté A : Don Diègue : la négation de l’amour B : Rodrigue et Chimène : un échange de liberté Conclusion 

fin des Paysages tristes, Le Rossignol de Verlaine reprend le "saturnisme" en évoquant un amour , si parfait soit -il, voué à disparaître à cause d'un mauvais destin ( en effet , Verlaine na paas eu ce qu'on pourrait appeler une vie glorieuse ... alcolisme , depression , prison etc etc...). II/ Le souvenir Malgré le titre, le thème essentiel du poème semble bien être celui du souvenir douloureux d'un amour perdu. Clairement annoncé dès le deuxième vers, le surgissement des "souvenirs", tel les

faire échouer mes rêves Et me faire abandonner Mais qui va enlever le joint qui est placé en moi? La marque de promesse qu'il m'a faite? Et qui va m'arrêter, si je décidais moi-même? Eh bien j'ai répondu « promis d'être fidèle» Refrain: O mon Dieu ne manquera jamais Je sais que mon temps, il viendra Il va faire changer ma chance Juste ici devant mes yeux (x2) J'ai une marque de promesse J'ai une marque de promesse qu'il m'a fait! J'ai une marque de promesse J'ai une marque de

desclose Sa robe de pourpre au Soleil, A point perdu, ceste vesprée, Les plis de sa robe pourprée. Et son teint au vostre pareil. Las ! voyez comme en peu d’espace, Mignonne, elle a dessus la place Las, las, ses beautez laissé cheoir ! O vrayment marastre Nature, Puis qu’une telle fleur ne dure Que du matin jusques au soir ! Donc, si vous me croyez mignonne, Tandis que vostre âge fleuronne En sa plus verte nouveauté, Cueillez, cueillez vostre jeunesse : Comme à ceste fleur

Tartuffe passe pour être un homme très pieux et vertueux. C’est pourquoi Orgon l’a recueilli dans sa maison. Mais Tartuffe, qui doit épouser la fille d’Orgon, vient déclarer son amour à sa femme, Elmire TARTUFFE Ah ! pour être dévot, je n'en suis pas moins homme ; Et lorsqu'on vient à voir vos célestes appas, Un cœur se laisse prendre, et ne raisonne pas. Je sais qu'un tel discours de moi paraît étrange ; Mais, Madame, après tout, je ne suis pas un ange ; Et si vous condamnez l'aveu que

latin ! cuistres ! dogues ! Philistins ! magisters ! je vous hais, pédagogues ! Car, dans votre aplomb grave, infaillible, hébété, Vous niez l’idéal, la grâce et la beauté ! Car vos textes, vos lois, vos règles sont fossiles ! Car, avec l’air profond, vous êtes imbéciles ! Car vous enseignez tout, et vous ignorez tout ! Car vous êtes mauvais et méchants ! — Mon sang bout Rien qu’à songer au temps où, rêveuse bourrique, Grand diable de seize ans, j’étais en rhétorique ! Que d’ennuis ! de fureurs