évaluation Des Procédures De Contrôle Interne Du Cycle Tresorerie

Comptabilité générale Budget (M.T.) Rétroviseur Contrôle budgétaire Comptabilité analytique Manager Poste de pilotage Leviers d’actions 6 3. Maîtrise de l’environnement LE MARCHE LES BESOINS DES CLIENTS LA CONJONCTURE LA CONCURRENCE ENTREPRISE LES TECHNOLOGIES LES CAPACITES DES FOURNISSEURS LA LEGISLATION Fiscale Sociale 7 4. Les informations financières disponibles Les comptes annuels Avantages Inconvénients - - Précision Rigueur Contrôle Transparence - Etats périodiques Etat synthétique

jugé nécessaire de réfléchir sur des outils clés d’évaluation de la performance d’une entreprise. La performance elle-même est l’atteinte continue des cibles définies autour de l’intention stratégique. Ce qui veut dire que pour réussir une bonne évaluation de la performance d’une entreprise il faut mettre sur place un ensemble de stratégie cohérente avec les aspirations de futurs de l’entreprise tant sur le plan qualitative que quantitative. Intégrer la performance dans la stratégie de l’entreprise

aide et conseil en matière d’organisation, de formation, d’audit interne des différentes fonctions de l’entreprise et d’expertise comptable. A. L’organisation : • Définition des principes de gestion et d’organisation les mieux adaptés à la société ; • Conception des systèmes d’information ; • Etablissement et mise en œuvre de manuels de procédures adaptés. B. L’audit : • Assistance à la mise en place de l’audit interne ; • Etablissement de diagnostic général et formulation de recommandations

directeur de projet et responsable du contrôle de projets dans plusieurs sociétés d’ingénierie 1. 2. 2.1 2.2 3. 4. 4.1 4.2 4.3 4.4 5. 5.1 5.2 5.3 5.4 6. 7. 8. 9. Périodes principales du projet ............................................................. Principes de classement ........................................................................ Classement par nature des processus ....................................................... Classement suivant le cycle de vie du projet .............

4 Alliances stratégiques 9 2.5 ( Responsables de l’institution 9 2.6 Gestion des ressources humaines 9 2.7 Structure organisationnelle 11 2.8 Système d’information de gestion 12 2.9 Système de contrôle interne, audits et supervision 13 2.10 ( Directeur financier 14 2.11 ( Expérience et recommandations d’autres bailleurs de fonds 14 3 Services, clientèle et marché 15 3.1 Services 15 3.2 Impact 17

Le contrôle stratégique Réalisé par: AHNYNE REDOUANE Encadré par : Mme. LAMRANI BOUTAHRA SAAD ZAH MERYEM EL OUASSI MUSTAFA CHAFIK FERDAOUSSE LAFROUJI AHMED SAMIR Plan I. Présentation du contrôle stratégique: 1.Définition du contrôle stratégique 2.Les approches du contrôle stratégique 3.Le processus du contrôle stratégique 4.Les types du contrôle stratégique 5.La qualité d un système de contrôle efficace 6.La contingence des processus de contrôle stratégique II. Méthodes et outils du contrôle

| |Usages en matière d’écrits professionnels | | | |Mobiliser les fonctionnalités des logiciels |Procédures de contrôle de la qualité | | | |bureautiques (ici : traitement de textes) |Communication orale | | | |

Sciences et de l’école d’ingénieurs IFIPS de Paris XI, membre de la commission enseignement supérieur du MEDEF IDF, enseignant le management de projet à Paris XI et directeur de la société CMS Informatic. Monsieur Fernand Castro, Estimation-Cost Control & Scheduling – Groupe Arkema. Monsieur Serge Chantreuil, membre et administrateur de l’AFITEP, chef de projet et ingénieur Qualité-Méthodes à Technip Paris. Monsieur Bélaïd Hafid, membre et ancien secrétaire général et administrateur de l’AFITEP,

La nouvelle réglementation bancaire constitue un texte structurant. Tout en renforçant les prérogatives de la Banque Centrale, elle permet au système bancaire national de répondre aux aspirations tendant à garantir la stabilité des prix et un contrôle prudentiel efficace. Section 2: la structure du système bancaire marocain : Le mouvement de concentration et de rationalisation du secteur bancaire, amorcé depuis quelques années, s’est poursuivi en 2005. Ainsi, le nombre d’établissements de

généralement perçu comme pour l’entreprise ; cette situation est imputable au fait que les entreprises doivent respecter des dispositions nombreuses, complexes et qui évoluent en permanence. En outre, le législateur s’est ménagé la possibilité de contrôler l’application qui était faite de ces règles de sanctionner, parfois lourdement les errements constatés. Il en résulte que les entreprises vivent en situation de risque fiscal. La réalité est plus complexe encore dans la mesure où le droit fiscal