éloge Sur La Fidélité

classique sont abordés ; la religion, le roi. DJ., un héros qui incarne le mal ; « grand seigneur méchant homme » (oxymore). Personnage ambiguë, athée, libertin. Sganarelle : violence de vocabulaire pour choquer les spectateurs, attiser leur curiosité. Éloge du tabac ; à la mode à l'époque, vient d'Amérique. Possible clin d'oeil de Molière : tabac = théâtre ? Il s'adresse au public ? – – ▶ Scène choquante, personnage de Sganarelle ambiguë ; fière d'être le valet de Dom Juan, même s'il le critique (prend

fournaise, une rumeur aigre, aiguë, acérée, sifflante comme les ailes d'un moucheron. […] Gringoire fut touché au fond du coeur de la fidélité de son unique spectateur. Il s'approcha de lui, et lui adressa la parole en lui secouant légèrement le bras ; car le brave homme s'était appuyé à la balustrade et dormait un peu. […] Il fallut que Gringoire se contentât de cet éloge, car un tonnerre d'applaudissements, mêlé à une prodigieuse acclamation, vint couper court à leur conversation. Le pape des fous

d'amour à Elsa notamment grâce à la description de ses yeux et les images qui y sont associées; la deuxième partie portera sur la souffrance causée par la guerre, ainsi que la souffrance personnelle de l'auteur. Les yeux d'Elsa est avant tout un éloge amoureux dédié à Elsa Triolet, c'est un blason de ses yeux. Il a été écrit après les combats de 1940 dans le nord de la France, lorsqu'Aragon était soldat dans l'armée francçaise. De la même façon que René Char dans Ma renarde, il nous invite à voir

quoi l’Odyssée est-elle une épopée ? Intro : Epopée = long poème d’envergure nationale narrant les exploits d’un héros ou d’un peuple. Issu du grec ancien ‘’ récit ou parole d’un chant ‘’. On parle également de registre et de tonalité épique. I. Eloge du héros ( ici Ulysse = vocabulaire mélioratif ‘’ ingénieux , endurant , patient ‘’ , connu pour sa force : lorsqu’il bat les Phéaciens au disque et pour sa ruse , image du héros guerrier, quête de son épouse , de sa terre ) II. Nombreuse péripéties

Bougainville, « le chef des brigands », avec mépris. Il le blâme de son influence néfaste sur les Tahitiens et fait un portrait machiavélique des Européens qui ont eu pour seul but de détruire leur bonheur. Très rapidement le discours se transforme en un éloge de la vie sauvage et un réquisitoire contre les Européens. Il énumère les différents méfaits causés par l'expédition : les dénaturer, éveiller en eux la jalousie et la rivalité, violer leur liberté, voler leurs biens, ne pas les avoir respectés comme

de Toscane).· Les âmes cherchent en elles-mêmes et dans la création qui les environne des degrés pour monter à Dieu. Tout dans la création révèle l’existence de Dieu.· Qq uns de ces hymnes sont d’inspiration nettement chrétienne et même catholique (éloge à Jésus et foi catholique).· Ce sentiment serait plutôt déiste à la manière de Rousseau et d’une aspiration platonicienne : la communion avec la nature n’est qu’un moyen d’élever l’âme jusqu’aux beautés éternelles.· 4 Grandes Harmonies : I. Jéhovah

des affranchis qui pourront exercer pleinement les droits du citoyen. Les femmes passent de la tutelle de leur père à celle du mari mais elles sont plus libres qu’en Grèce. Les matrones et les veuves disposent des droits civils du citoyen (héritage, éloge funèbre) mais pas des droits politiques. Sont exclus de la citoyenneté les étrangers (pérégrins) et les esclaves. Si la possession du statut du citoyen est plus ouverte qu’à Athènes, cela reste un privilège qui offre un certain nombre de droits et

artificielles, arbitraires et contradictoires. Puis ils revisitent les conventions de la vie amoureuse instituées par le code civil et le code religieux au regard du code de la nature : le mariage, la galanterie, la coquetterie, la constance, la fidélité, la pudeur. La conversation se poursuit sur les conséquences désastreuses des lois policées et sur un réquisitoire à l'encontre des sociétés européennes : en refusant de suivre les lois de la nature, l'homme est devenu malheureux, il s'est imposé

philosophe qui sait allier la théorie à la pratique libertine. -Le principe d’inconstance : *I,2 « Quoi tu veux qu’on se lie à demeurer au premier objet(…)la constance n’est bonne que pour les ridicules » tourne en ridicule ce qui passe pour vertu, la fidélité, mais plus par jeu ; il recherche le plaisir du divertissement (cf Pascal) il aime moins les femmes que l’amour des femmes *Il met en pratique ses théories sur la question : à peine a-t-il délaissé Dona Elivre, en apercevant Charlotte (II,2)que

personne devait fournir les alliées, combien devaient-ils payer. Toga qui fait référence à la toge, signe évident de la romanisation. Femme : soumise à leur père puis à leur mari. Pas de droit des citoyens mais peuvent témoigner, hériter et avoir un éloge funéraire. C- les non libres Les esclaves : réalité accepté par tous, aucune idée d’abolition. L’esclave est une chose, une propriété du maitre. On peut le vendre. L’esclave ne peut pas se marier. Ils pouvaient accumuler un petit pécule, concubinage