éloge Sur La Fidélité

«Que m’avaient-ils fait ?» vers.27 question rhétorique ou il se positionne en tant que victime, «mais» vers.30 un connecteur logique. Le renard ne s’exprime pas sur le fond, mais cherche à persuader l’auditoire de l’innocence du roi, et le roi de sa fidélité : «Sire» vers.34, «Seigneur»vers.37 marques de respect quand il s'adresse à son supérieur, « Eh bien ! » ponctuation expressive suscitant l’émotion, il fait l'éloge du roi « trop bon roi» vers.34. Celui ci  pose aussi une question rhétorique pour

montre le déclin actuel de l’Empire. Retour des vertus : travail, frugalité, fidélité à la patrie, piété,… Les Individus autres que les citoyens : Les Femmes : Les femmes romaines n’avaient pratiquement aucun droit dans la société, mais étaient plus souvent prises en comptes que les femmes grecques : Elles pouvaient témoigner devant un tribunal, hériter et, pour les plus nobles d’entre elles, obtenaient un éloge funèbre à leur mort. On note une nette évolution de la condition féminine de

dans la logique du roman d'analyse, elle s'efforce de remonter aux origines de la perfection morale de son héroïne en insistant sur l'éducation que lui a transmise sa mère afin de la préparer à la vie mondaine. II. Une éducation irréprochable A) Eloge de Mme de Chartres chargée de l'éducation de sa fille Tout d'abord le narrateur fait l’éloge de Mme de Chartres qui s'est chargée de l'éducation de sa fille et lui a transmis ses valeurs. Elle est présentée comme une femme méritante car elle était

d’opérette est le lieu de la fantaisie. Les costumes du XVIIIe siècle sont, quant à eux, remisés dans la garde-robe ou suspendus au plafond. Comment interpréter ces robes accrochées au-dessus de la scène : présence suggérée du XVIIIe siècle ? Éloge du travestissement? Symboles des multiples conquêtes du comte ? • Les décors. Ils sont très éloignés des recommandations de Beaumarchais et n’indiquent rien sur l’époque ou le pays. Le parc lui-même, loin d’un jardin aménagé, orné de kiosques et

même occasion de mieux se découvrir soi-même. Telle est la démarche du deuxième narrateur, qui apparaît dès la deuxième page… 3. Gaston. La transcription de ce récit enchâssé, à la première personne, s’accompagne de problèmes d’expressivité, de fidélité, et de lisibilité. En effet, le narrateur principal, qui recueille cette parole, donne un aperçu de l’oralité patoisante du personnage tout en la restituant à l’univers romanesque. Ce passage, qui représente 14 pages sur les 63 du roman, pose donc

Les sons [an] et [on] qui dominent renvoient à une certaine mélancolie. B- L'hymne à l'amitié Evocation de la profonde amitié qui le lie à ceux qui lui sont chers → interrogation oratoire + enjambements, introduisent le registre lyrique, montre la fidélité des amis de Ronsard Les amis de Ronsard sont désignés par des expressions hypocoristiques (=terme d'affection, de tendresse). C- La solennité de la cérémonie des adieux Rythme binaire → solennité à la cérémonie des adieux. Structure antithétique

Bougainville, « le chef des brigands », avec mépris. Il le blâme de son influence néfaste sur les Tahitiens et fait un portrait machiavélique des Européens qui ont eu pour seul but de détruire leur bonheur. Très rapidement le discours se transforme en un éloge de la vie sauvage et un réquisitoire contre les Européens. Il énumère les différents méfaits causés par l'expédition : les dénaturer, éveiller en eux la jalousie et la rivalité, violer leur liberté, voler leurs biens, ne pas les avoir respectés comme

passion et l'amitié la fidélité. .Si on désir c'est parce qu'on est dans le manque, la souffrance = Platon. La réponse de Socrate est qu'il faut plutôt préférer la fréquentation d'un ami qu'à l'amant car la passion est instable, éphémère et qui peut parfois être porté par les intérêt les plus charnels, bas : relation amoureuse. En revanche, Socrate est saisi d'un doute (=signe qu'on rentre dans la réflexion philosophique) et va proposer un second discours sur un éloge de l'amour en réfutant son

conduisent toujours, Et ma juste douleur choisira les plus courts. Cruelle ! quand ma foi vous a-t-elle déçue ? Songez-vous qu’en naissant mes bras vous ont reçue ? Mon pays, mes enfants, pour vous j’ai tout quitté. Réserviez-vous ce prix à ma fidélité ? PHÈDRE Quel fruit espères-tu de tant de violence ? Tu frémiras d’horreur si je romps le silence. ŒNONE Et que me direz-vous qui ne cède, grands dieux ! À l’horreur de vous voir expirer à mes yeux ? PHÈDRE Quand tu sauras mon crime et le

pensée et de l’acte), l’accord de l’acte et du propos, l’accord de la pensée avec soi. » Ainsi y aurait-il trois manières d’être sincère : par la conformité de la parole et de la pensée ; par la conformité de la parole et de l’action ; et par la fidélité à soi-même. C’est dire que la sincérité est essentiellement cette vertu qui tente de percer le mystère de soi. En essayant de comprendre ce qu’est la sincérité, on expérimente donc ce qu’il y a de plus soi en soi. Voilà pourquoi, après plusieurs