éloge Paradoxal Hypocrisie

virilité – Beaucoup d’adjectifs mélioratifs – Bel-Ami est remarqué par les femmes Un personnage paradoxal * « Elégance tapageuse », expression étrange et contradictoire – Personnage médiocre (« chapeau haute-forme défraîchi ») – Personnage entre deux univers (soldat-civil) Un incipit programmatif Un regard critique * Chute (« tomber dans le civil ») – Arrogant, violent séducteur → héros paradoxal (médiocre) Thèmes de l’œuvre * Argent – Femmes – Alliances des deux avec la caissière

amoureuse" : il s'agit d'enlever une belle, au cours de la promenade en mer que lui offre son fiancé. Mais survient Elvire, douloureuse et indignée. Elle reproche à Dom Juan sa trahison et lui demande des comptes. Dom Juan se réfugie dans une impudente hypocrisie et lui répond avec le cynisme le plus odieux. Elvire appelle sur lui la punition du ciel et le quitte en le menaçant de sa vengeance. Dom Juan, impassible, s’apprête à mener à bien "l’entreprise amoureuse" dont il a parlé à Sganarelle ACTE Il

barbares. La gradation ascendante « déchirer, enfoncer, le retourner » met en valeur la montée en puissance de sa cruauté véritable scène de torture. -Déclaration fracassante et antithétique : la souffrance extrême est une condition de l’amour. Eloge paradoxale de la femme cruelle qui est mise sur un piédestal avec l’adj « adorables » (hyperbole) : Raphaël la met au-dessus de tout/ il est en adoration (valeur religieuse)  son aveuglement total pour F. = son masochisme (Raphaël prend du plaisir à souffrir)

s’aiment. La religion : Molière dénonce les faux dévots, les hypocrites, ceux qui se servent de la religion, même il ne dénonce pas la religion. Prenons l’exemple de « Tartuffe » de Molière, cette œuvre est une comédie polémique qui dénonce les hypocrisies des religieux. Les personnages sont en proie à des idées fixes et tout le problème des autres personnages est de leur faire prendre conscience de leur passion et de leurs défauts. Mais ils se heurtent à la mauvaise foi, à l’entêtement, à l’aveuglement

l’œuvre de la nature. * Ironie L.1 antiphrase. -> explication de l’ironie L.6 Gwynplaine n’est pas défiguré volontairement. Sont-ils des élus humains à part entière ? Hannah Arendt, Eichmann à Jerusalem (1961) Thèse d’Hannah Arendt -> Paradoxal : pas d’acte pour des motifs objectent par haines des juifs. Sa monstruosité est d’autant plus effrayante que les psychiatres l’on considérer comme normal. Conscience du mal que tout homme devrait avoir. L’argumentation :

sentiment d'injustice. Mais à Rome, la fable empêche précisément cette sécession d'aboutir.   Nous pouvons donc nous demander si cette fable ne s'organise pas sur le mode du trompe-l’œil.   II - Du trompe-l’œil au "miroir du prince":   A -  Un éloge paradoxal de la royauté:   A la première lecture, cette fable semble en effet relever de la poésie encomiastique: poésie qui fait l'éloge d'un grand de ce monde, de ses actions. - le v 5 énonce une vérité (présent gnomique) et présente l'Estomac comme

dissimuler leur sauvagerie. C'est donc une expression paradoxale. Il oppose ainsi le naturel à l'artificiel, le barbare au civilisé. Les Indiens sont plus près de la nature et moins corrompus que leurs colonisateurs qui dévoient leurs qualités en créant des produits artificiels. Les Indiens ont cette pureté originelle (préadamite en quelque sorte) dont les Européens se sont éloignés. La civilisation ne serait à tout prendre qu'une hypocrisie. Montaigne introduit aussi la notion de relativité :

Nouveau Monde (= signe de barbarie). Montaigne relativise, et fait l'éloge de ces « sauvages ». ➊ Genre et registres Genre* : Essai. Registre* : argumentatif, et même polémique (contre les xénophobes et les « racistes »). + registre épidictique : éloge de ces prétendus « sauvages ». ➋ L'énonciation Qui parle ? À qui ? – C'est Michel de Montaigne lui-même, l'auteur, qui essaie de nous convaincre. En faisant quoi (actes de parole) ? – Il argumente pour nous convaincre d'un paradoxe*. ➌ La démarche

qui s'entrecroisent et peuvent rester inachevées (Matamore retrouvé après plusieurs jours). L'histoire principale est enlacée par des histoires secondaires. Cette inconstance de la diégèse est renforcée par l'inconstance amoureuse des personnages (éloge de l'infidélité par Clindor : V, 3). Cette instabilité confine même au tourbillon sur la fin de la pièce lorsque Pridamant et le lecteur avec lui ne savent plus ce qui ressort de la réalité ou de la fiction. Transgression de la règle des trois unités

voyelles nasales qui adoucissent l’impératif (“Songe”) +  assonances et rythme ± irrégulier, rimes +idée de rêve, donc d’idéal commence à s’installer avec “Songe”· Seules activités de ce lieu : aimer -> aimer = vivre là-bas· “pays qui te ressemble” : éloge de la ♀ ? (j’ai ajouté mais suis pas sûre) · “soleil s ”, “ciel s ” -> éternel · “ciels” -> terme de peinture -> tableau imaginaire, irréel· oxymore “Soleils mouillés” : impossible