éloge Du Papillon

feuilles s’ouvrirent comme si tout un printemps se déployait en un instant, et leurs branches répandirent sur les Hobbits étonnés des fleurs rayonnantes qui disparurent avec un doux parfum juste avant d’atteindre les visages levés. Des fontaines de papillons s’envolèrent en étincelant dans les arbres ; des colonnes de feux colorés s’élevèrent pour se muer en aigles, en navires sous les voiles, en une phalange de cygnes volants ; il y eut un orage rutilant et une averse de pluie jaune ; une forêt de javelots

vivante, étonnamment vivante, une nature riche en couleurs, en sons, en parfums... en paroles également, nous le verrons. Le refrain de la mer, le bruissement des feuilles, le craquement des branches, le piaillement des oiseaux, le frétillement des papillons, le rayonnement d’une fleur, autant d’éléments qui concourent à la « poésie vivante », à la musique de la nature et qui inscrivent Maupassant dans son siècle, celui du Romantisme, même si ce courant est dévalorisé à la fin du XIXe siècle - nous avons

de ruiner des orphelins. Sans attendre la réponse d’Eugène, madame de Restaud se sauva comme à tire-d’aile dans l’autre salon, en laissant flotter les pans de son peignoir qui se roulaient et se déroulaient de manière à lui donner l’apparence d’un papillon ; et Maxime la suivit. Eugène furieux suivit Maxime et la comtesse. Ces trois personnages se trouvèrent donc en présence, à la hauteur de la cheminée, au milieu du grand salon. L’étudiant savait bien qu’il allait gêner cet odieux Maxime ; mais, au

de ruiner des orphelins. Sans attendre la réponse d'Eugène, madame de Restaud se sauva comme à tire−d'aile dans l'autre salon, en laissant flotter les pans de son peignoir qui se roulaient et se déroulaient de manière à lui donner l'apparence d'un papillon ; et Maxime la suivit. Eugène furieux suivit Maxime et la comtesse. Ces trois personnages se trouvèrent donc en présence, à la hauteur de la cheminée, au milieu du grand salon. L'étudiant savait bien qu'il allait gêner cet odieux Maxime ; mais, au

de ruiner des orphelins. Sans attendre la réponse d'Eugène, madame de Restaud se sauva comme à tire-d'aile dans l'autre salon, en laissant flotter les pans de son peignoir qui se roulaient et se déroulaient de manière à lui donner l'apparence d'un papillon ; et Maxime la suivit. Eugène furieux suivit Maxime et la comtesse. Ces trois personnages se trouvèrent donc en présence, à la hauteur de la cheminée, au milieu du grand salon. L'étudiant savait bien qu'il allait gêner cet odieux Maxime ; mais, au

de ruiner des orphelins. Sans attendre la réponse d'Eugène, madame de Restaud se sauva comme à tire-d'aile dans l'autre salon, en laissant flotter les pans de son peignoir qui se roulaient et se déroulaient de manière à lui donner l'apparence d'un papillon; et Maxime la suivit. Eugène furieux suivit Maxime et la comtesse. Ces trois personnages se trouvèrent donc en présence, à la hauteur de la cheminée, au milieu du grand salon. L'étudiant savait bien qu'il allait gêner cet odieux Maxime; mais, au

de ruiner des orphelins. Sans attendre la réponse d'Eugène, madame de Restaud se sauva comme à tire−d'aile dans l'autre salon, en laissant flotter les pans de son peignoir qui se roulaient et se déroulaient de manière à lui donner l'apparence d'un papillon ; et Maxime la suivit. Eugène furieux suivit Maxime et la comtesse. Ces trois personnages se trouvèrent donc en présence, à la hauteur de la cheminée, au milieu du grand salon. L'étudiant savait bien qu'il allait gêner cet odieux Maxime ; mais, au

de ruiner des orphelins. Sans attendre la réponse d’Eugène, madame de Restaud se sauva comme à tire-d’aile dans l’autre salon, en laissant flotter les pans de son peignoir qui se roulaient et se déroulaient de manière à lui donner l’apparence d’un papillon ; et Maxime la suivit. Eugène furieux suivit Maxime et la comtesse. Ces trois personnages se trouvèrent donc en présence, à la hauteur de la cheminée, au milieu du grand salon. L’étudiant savait bien qu’il allait gêner cet odieux Maxime ; mais, au

feuilles s’ouvrirent comme si tout un printemps se déployait en un instant, et leurs branches répandirent sur les Hobbits étonnés des fleurs rayonnantes qui disparurent avec un doux parfum juste avant d’atteindre les visages levés. Des fontaines de papillons s’envolèrent en étincelant dans les arbres ; des colonnes de feux colorés s’élevèrent pour se muer en aigles, en navires sous les voiles, en une phalange de cygnes volants ; il y eut un orage rutilant et une averse de pluie jaune ; une forêt

feuilles s'ouvrirent comme si tout un printemps se déployait en un instant, et leurs branches répandirent sur les Robbits étonnés des fleurs rayonnantes qui disparurent avec un doux parfum juste avant d'atteindre les visages levés. Des fontaines de papillons s'envolèrent en étincelant dans les arbres, des colonnes de feux colorés s'élevèrent pour se muer en aigles, en navires sous les voiles, en une phalange de cygnes volants, il y eut un orage rutilant et une averse de pluie jaune, une forêt de javelots