éloge Dun Chien

intelectuelle, c’est quelqune de tres naïf, qui ne c’est pas mentire, L’exterieur et l’interieur est parielle. Moralment il a le jugement droit, il est quelqu'un de pas compliquer. b) Le cadre. * La scene se situe dans un chataux, cest und ecore dun compte mervielleux * Il y avait : compte, temps imprecie. * Temps imparfait : qui renforce l’idee que c un univers figé * Un univer depuis tjs tout va bien dans le mellieu des monde c) Un monde idéal. Ideal : idyllique. Vocabulaire mélioratif :

âge inférieur à celui qui l’avait précédé, mais préférable à l’âge du bronze jaunâtre qui le suivit. »Ovide, Les Métamorphoses, Livre I, vers 89-115 (traduction).· Ovide fait l’éloge d’une période où les hommes vivaient dans le bonheur. Comment cet éloge est-il mené des lignes 1 à 8 ? …………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………….……………………………………………………………………………………………………………..· Relevez les procédés de l’éloge de la nature employés dans les lignes 8 à 14……………………………………………………………………………………………………………

fer (le) • Cheval entre deux eaux (à) • Chevalier de la décadence (le) • Chevalier des lavabos (le) • Chevalier servant (le)* • Chevaux fantômes (Les) • Chez ces gens là • Chicago nous voici ! • Chienne de vie • Chienne de vie • Chiffres qui nous définissent (ces) • Choc • Choc des titans (le) • Choix de vie (un) • Choix délicat • Choix des grands (le) • Choix difficile (un) • Choix incontestable • Chronique

les horizons sont nettement plus larges au plan his­ torique. Cette constatation s'impose au premier coup d'œil : Première couch e : Aftlighem 1083 1086 Evénements eletérieurll (*) fondation de l'abbaye (8 statut bénédictin (9 1.) 1.) éloge d'Arnoul de Soissons 25 P. GOB IB S�, op. cU., pp. 46-57, 69-76 et 83-84. Voir, en dernier lieu, L. GE:'i"ICOT-P. TOM BECB, [ndele Scriptorum Operum­ que Lafino-belgicorum M cdii Aevi, t. I I P, XII" siècle. Œuvres non hagio­ graphiques, par M.

occupé toute la terre éclairée par le soleil, il ne lui restait plus de terre à occuper. Alexandre décida alors de partir découvrir le monde inhabité. Au bout de dix jours, ils rencontrent des femmes sauvages anthropophages. Alexandre fait lâcher des chiens pour les faire fuir et les dévorer. Ensuite, ils sont surpris par des fourmis qui sortaient d'un sol sablonneux pour ravir les hommes et les chevaux. Alexandre pense à allumer un feu pour s'en protéger. Puis, ils atteignent un fleuve immense « dont

recouvrait presque entièrement et recouvrait le cimetière tout entier. Le clair de lune amena un nouveau grondement de l’orage qui menaçait de recommencer et, en même temps, – 14 – j’entendis les hurlements sourds mais prolongés de loups ou de chiens. Terriblement impressionné, je sentais le froid me transpercer peu à peu et, me semblait-il, jusqu’au cœur même. Alors, tandis que la lune éclairait encore le tombeau de marbre, l’orage, avec une violence accrue, parut revenir sur ses pas. Poussé

d’un homme, et avoir vu une ombre. De retour, Jean Valjean lui montra qu’elle n’avait été victime que d’une illusion. Pourtant, alors qu’il est de nouveau absent, d’autres indices d’une présence l’épouvantent. Elle trouve un papier où est écrit un éloge enflammé de l’amour. Elle comprend que c’est un message de Marius, qui enfin se montre et lui parle, lui raconte sa quête, lui déclare son amour : «Vous êtes mon ange». À ces mots, elle s’évanouit ; il la prend dans ses bras ; «leurs lèvres se rencontrèrent»

Grand Fleuve Anduin, et ils craignaient moins les Hommes. Ils vinrent dans l’Ouest après les Pieds velus et suivirent le cours de la Sonoronne en direction du sud ; et là, ils furent nombreux à demeurer entre Tharbad et la frontière du Pays de Dun avant de repartir vers le nord. Les Pâles, les moins nombreux, étaient une branche nordique. Ils avaient plus de rapports amicaux avec les Nains que les autres Hobbits, et ils s’entendaient davantage au langage et au chant qu’aux travaux manuels ; et

Grand Fleuve Anduin, et ils craignaient moins les Hommes. Ils vinrent dans l’Ouest après les Pieds velus et suivirent le cours de la Sonoronne en direction du sud ; et là, ils furent nombreux à demeurer entre Tharbad et la frontière du Pays de Dun avant de repartir vers le nord. Les Pâles, les moins nombreux, étaient une branche nordique. Ils avaient plus de rapports amicaux avec les Nains que les autres Hobbits, et ils s’entendaient davantage au langage et au chant qu’aux travaux manuels

bords du Grand Fleuve Anduin, et ils craignaient moins les Hommes. Ils vinrent dans l'Ouest après les Pieds velus et suivirent le cours de la Sonoreau en direction du sud, Et là, ils furent nombreux à demeurer entre Tharbad et la frontière du Pays de Dun avant de repartir vers le nord. Les Pâles, les moins nombreux, étaient une branche nordique. Ils avaient plus de rapports amicaux avec les Nains que les autres Hobbits, et ils s'entendaient davantage au langage et au chant qu'aux travaux manuels, et