éloge Des Philosophes Des Lumières

dénonçant les maux de l'époque (l'esclavagisme, l'inquisition, le fanatisme religieux, les cruautés et dérives du système monarchique, etc.). Les philosophes des Lumières n'envisagent aucunement de rester impassibles face à la noirceur humaine et font souvent preuve d'ironie pour véhiculer leurs idées. La littérature d'idées, dans toute la variété de ses formes (éloge, essai, blâme, pamphlet, sermon, utopie, apologue, etc.), dénonce au nom de la Raison et de valeurs morales les oppressions qui perdurent

clairement. » Art poétique) Remarque 9 Arrias Portrait de l’archétype du fanfaron, du menteur éloquent. Remarque 12 Théodecte Portrait du fat = le sot prétentieux et glouton qui n’a de complaisance que pour lui- même. Remarques 15 à 22 Éloge du silence et de la tempérance dans les échanges. L’honnête homme sait se taire et ne parler qu’à propos. Remarque 24 Euthyphron Le portrait d’Euthyphron est une antonomase (Désigner une personne par un nom commun ou une périphrase qui la caractérise

infini, une sorte d' apogée renforcée par cette accumulation dans le premier paragraphe. Puis, le père parlera du domaine de la médecine. Les thermes et l' énumération au pluriel sur les livres concernant les soins et les peuples antiques mette en lumière le savoir total et spécialisé des peuples anciens tels que les grecs et les arabes. L'anatomie est également sujet à l'étude, car le père conseil à son fils de pratiquer fréquemment des dissections avec toujours une recherche de l' excellence marquée

imposer ses façons de penser.En effet les pays découverts,libres de toute convention sociale,politique,ou religieuse,vivant en toute quiétude,sont l’occasion de dénoncer le poids de l’ absolutisme royal,du conformisme social et religieux.Ainsi les philosophes de ce siècle,s’interrogeait déjà sur certaines conséquences du progrès,tel un nouvel asservissement de l’homme. II. Problématique et cadre théorique : 1. La visée de la démonstration : Le « sauvage »

position de l’homme politique, du guerrier ou du philosophe = un affranchissement de la nécessité de travailler. · Le fait de travailler était donc non valorisé, MAIS le loisir oui · REF : La critique de Nietzsche* à l’encontre de la « glorification » moderne du travail :· Ne juge pas le travail en tant que tel mais + le discours qu’il en est fait· Travail = « actes impersonnels et utiles à tous » : éloge de l’altruisme· « La peur de tout ce qui est

lisant cette description. KANT explique que le sentiment du Sublime est de l'ordre de « la nuit », c'est-à-dire de l'obscurité, de « l'éternité », du « mépris du monde », tandis que le sentiment du Beau est de l'ordre du « jour », c'est-à-dire de la lumière, de l'éclaircissement, de la légèreté, de la pureté, et renvoie à un sentiment agréable. Car en effet, le Sublime renvoie à l'émotion, tandis que le Beau renvoie au charisme. Le sentiment du Sublime renvoie donc aux passions, comme à la peur, à l'effroi

mars 1769. Il a ensuite écrit une oeuvre intitulée "Voyage autour du Monde" en 1771 (goût de l'aventure mais en même temps esprit scientifique animé par les Lumières). Il avait ramené un tahitien appelé Aotourou qu'il a fait connaître à tout Paris (engouement des parisiens). Mais Diderot est resté de glace (Philosophe du siècle des Lumières, l'un des principaux artisans de l'Encyclopédie, véritable arme contre les abus du pouvoir matérialiste ; s'intéresse à tous les arts, écrit dans tous les genres)

"l'herbe" et au vers 8 par "vert".     Impression de luminosité avec "les haillons d'argent" vers 2 ; renforcée au vers 3 et vers 13 par le soleil et dont la luminosité est reprise au vers 4 "mousse de rayons" et vers 8 " lumière qui pleut" : métaphore qui donne une matérialité à la lumière.     Nature très colorée : vers 9 "les glaïeuls", couleurs assez intenses. Personnification de la rivière qui "chante" vers 1, animation.     Sur le plan olfactif, "parfums" vers 12, impression de bien-être et bonheur

invraisemblance des préjugés Exaspération puis concession ("Ah ! s’il nous faut des fables"). Eloge de l'esprit critique ("J’aime les fables des philosophes"). Les fables doivent être sous la forme d'un apologue avec une morale. c) Les pensées de l'Ingénu Rythme ternaire rhétorique ("J’aime les fables des philosophes, je ris de celles des enfants, et je hais celles des imposteurs.") -> hausse de son esprit -> éloge de la réflexion. Capacité de discernement, ''haïr'' : très fort (renvoi au début du

thèmes chez d’autres auteurs Honnête homme, philosophie 18ème siècle : siècle des lumières La Fontaine : philosophe, s’inscrit dans l’idéal de l’honnête homme => recherche la sagesse « Rien n’est si dangereux qu’un ignorant ami ; Mieux vaudrait un sage ennemi » => dénonciation des excès => modération dans les désirs « Un tiens vaut mieux que deux tu l’auras » Le petit poisson et le pêcheur => éloge de la médiocrité « La pauvreté vaut mieux qu’une telle richesse. Retirez-vous, trésors