Eloge Du Béton

Le corpus étudié est composé de quatre poèmes : « A une passante » tiré du recueil les fleurs du mal de Baudelaire ,  « Roman » paru dans Poésies de Rimbaud , « La chanson du mal aimé » de Alcools par Apollinaire et finalement Eloge du béton de B-H Levy sont respectivement publié en 1860, en1870,en 1913 et en 1986.L’intérêt de l’étude de ces textes est de mettre en avant la représentation de Paris qui en ressort , représentation passant tout d’abord par les cinq sens puis par Paris , lieu de rencontre

Construire en France, construire en fer, construire en béton de Sigfried Giedion HISTOIRE DE L’ARCHITECTURE Fiche de lecture L’ouvrage sélectionné Giedion (Sigfried), Construire en France, en Fer et en Béton, Paris, Editions de la Villette, 2000, 127 pages. Traduit de l’allemand par Guy Ballangé 148 illustrations en noir et blanc En début d’ouvrage : Avant-propos de Jean-Louis Cohen, architecte et historien (11 pages) Prémaquettes de Sigfried Giedion (16 pages)

Poésie irrégulière tercets, quatrain 1vers seul poésie 13 quatrains rimes riches Registre 4 Lyrique épidictique épidictique Comique = autodérision Épidictique comique Thème 2 Araignée animal/ plante répugnants Éloge du pou Crapaud, poète une personne exclue Éloge du peigne Figure de 3 style antithèse Comparaison (l5 et 6) personnification hyperbole interpellation du lecteur Comparaison animalisation métaphore vers 10 Personnification vers 16, 37 antithèse vers 18, 42

pour piétons enfin, soulignés par la présence de pergolas, de bancs qu’accompagnent des arbustes. Seuls trois immeubles de trois étages respectent le plan imaginé au départ par Tony Garnier, tous les autres ayant cinq étages. Ils sont construits en béton de mâchefer avec des toitures-terrasse et des loggias en façade, devenues des « bow-windows ». Chaque immeuble, en forme de « H », est desservi par une seule entrée qui donne sur une cage d’escalier qui donne, demi-niveau par demi-niveau, sur les appartements

questions pausent problème les théorie s’opposent mais “ elle enveloppe les règles émises par d’autres comme le béton enveloppe son armature” c’est à dire qu’elle a un rôle essentiel en droit : Celui de pouvoir s’imprégner de différents points de vues et de pouvoir se créer sa propre opinion . La controverse est essentielle car elle permet une certaine évolution II : L’auteur fait une éloge de la doctrine A : elle participe a la structuration de l’ordre social La doctrine est essentielle en droit

les êtres au grand jour, Maylis de Kerangal propose une visite de chantier hors du commun, sans casque ni combinaison de protection. Attention aux escarbilles, étincelles, coups de foudre et chutes d'humeur : les têtes pensantes et les athlètes du béton sont des bombes à retardement dont le décompte intime cliquette magistralement, dans la torpeur d'une nature vampirique. « Leurs peaux que l'obscurité fusionne prennent même température et mêmes nuances carbone, ils se tendent une main jusqu'à se toucher

DEMATERIALISATION DU MUR qui permet d’être mur et cloison qui s’ouvre sur l’extérieur = Le mur verre, transparence Espace à la fois ouvert et fermé, rapprochement de l’intérieur et l’extérieur Faire camoufler l’espace intérieur, qui devient un simple mur. ELOGE DE L’ORDINAIRE – INTERFACE – NOUVEAU CONCEPT HABITAT – OUVERT/FERMER – ABSENCE DE LIMITE - DOUBLE FONCTION DU MUR - ABSENCE/PRESENCE – APPARITION/ DISPARITION – CONFIGURATION – PANNEAUX PIVOTANTS Max Azria Shop par Patrick Dougherty - Los

texte court qui résume le message politique. La composition de l’affiche : taille et disposition des éléments, lignes de construction, couleurs… Seconde partie : interprétation * Quel est le message de l’affiche de propagande ? Critique, dénonciation, éloge, glorification… * Pourquoi vouloir faire passer un tel message ? Conclusion : impact de l’affiche * D’après vos connaissances et /ou vos recherches, comment ce message t-il été reçu ? Analyser une peinture Introduction : présentation de l’œuvre et

Marie-Sophie Laborieux aura connu les métamorphoses de Texaco, d'autant qu'elle est ici présentée comme la cheville ouvrière du lieu. La partition qu'en donne l'auteur le dit à suffisance: Temps de paille, Temps bois-caisse, Temps de fibro-ciment, Temps béton. C'est également la charpente du livre. Marie-Sophie ne connaîtra que les trois dernières périodes, et la première par les propos de son père, chassé du temps de paille aux environs de Saint-Pierre par l'éruption (c'est la première migration de sa

vivre : «Jamais, jamais l’Indien ne se doutera à quel point il exaspère l’Européen. Le spectacle d’une foule hindoue, d’un village hindou, ou même la traversée d’une rue, où les Indiens sont à leur porte est agaçant ou odieux. Ils sont tous figés, bétonnés. On ne peut rien y faire.» Puis s’ouvre une phase d’émerveillement : «Les Indes, le premier peuple qui, en bloc, paraisse répondre à I'essentiel, qui dans I'essentiel cherche I'assouvissement, enfin un peuple qui mérite d'être distingué des autres