égoïste Lâche Hypocrite

vie. III-Le portrait des protagonistes 1. le portrait général des protagonistes Paule Pluvignec est mariée à Jacques Rezeau , c’est la mère de jean .Celui-ci la décrit comme anormalement autoritaire, cruelle ,violente, menteuse, hypocrite, égoïste, avare, jalouse. Elle lui voue avec ténacité et férocité un combat obstiné pendant toute son enfance et son adolescence. Elle n'a qu'une passion, les timbres. Ferdinand Rezeau : est surnommé Chiffe ou Frédie, il est le frère aîné de Jean

Bovary.Julien, le vicomte de Lamare apparait tout d’abord comme un homme séduisant, dévoué à sa femme et tendre. Il pourrait représenter l’image de l’homme parfait. Mais, après son mariage avec Jeanne, il apparait comme hypocrite, menteur, avare, égoïste, paresseux, superficiel, lâche et infidèle ; changeant de personnalité chaque fois qu’il a obtenu ce qu’il souhaite. On peut donc le rapprocher du personnage de Rodolphe, lui aussi volage, dans le roman de Flaubert.Maupassant représente donc grâce à

se nomme » (vers 17-22). Il nomme Philinte de traître (vers 339) lorsqu’il ment. Lorsqu’il parle de son procès, son rival est bien vu partout et peut gagner à l’honnête homme (lui) alors que tout le monde le déteste et savent à quel point il est lâche (vers 124-142). Il est d’ailleurs prêt à perdre son procès quitte à faire valoir la vérité (vers 203-204). Et dans la scène 6 de l’acte II (lorsqu’on vient le chercher pour parler sur le sonnet d’Oronte) on voit qu’Alceste ne veut pas mentir sur ce

profession et leur place dans la société. Chaque personnage représente un degré d’un type social. Dans cette nouvelle réaliste, Maupassant a une vision pessimiste de la société. Il dénonce la bassesse de la « bonne » société qui est égoïste, lâche, hypocrite et sans aucun sens patriotique. Le problème qu’ils ont eu à surmonter à l’auberge n’a pas changé leur caractère. Quant à Boule de Suif, elle est toujours aussi exclue et méprisée à la fin qu’elle l’était au début malgré son sacrifice (elle

nouvelle leur principale fonction est de servir d’intermédiaire entre le peuple et la noblesse. | Les Brévilles | Ils représentent la noblesse et sont des aristocrates Normands. Il affirme être un descendent de Henri IV, or son comportement est lâche. Il invite Boule de Suif à accepter les avances de l’officier, avec des arguments contraires aux valeurs qu’il défend. La comtesse, au départ, n’appartient pas à la noblesse ? Cependant ses gestes et son attitude lui ont permis de rentrer dans l’aristocratie

flatteur, méchant homme d'une insolence totale, parfois violent, maniant avec aisance l'ironie et le sarcasme, l'impertinence et l'offense, l'irrévérence et l'irrespect ; et plus particulièrement les trois défauts rédhibitoires : fils indigne, impie et hypocrite. Une autre lecture insiste davantage sur la dimension du personnage : un être de la démesure et de l'excès, faiseur d'expériences, transgressif, remettant en question les valeurs de son époque : mariage, honneur, famille, religion. Ses rapports

Elle s'en va donc de chez elle avec son père et sa mère qui lui lèguent un château pour y vivre avec son prochain mari. Celui-ci, Julien de Lamare, qu'elle rencontre dans les quelques jours suivants sa sortie du couvent, est un véritable avare et un égoïste, mais elle ne le découvre qu'après leur mariage. Il trompe Jeanne avec sa domestique Rosalie, puis avec une voisine du nom de Gilberte de Fourville. Jeanne accouche de son premier enfant, Paul, qui connaît de graves problèmes de santé. Son deuxième

flatteur, méchant homme d'une insolence totale, parfois violent, maniant avec aisance l'ironie et le sarcasme, l'impertinence et l'offense, l'irrévérence et l'irrespect ; et plus particulièrement les trois défauts rédhibitoires : fils indigne, impie et hypocrite. Une autre lecture insiste davantage sur la dimension du personnage : un être de la démesure et de l'excès, faiseur d'expériences, transgressif, remettant en question les valeurs de son époque : mariage, honneur, famille, religion. Ses rapports

esclavage », accuse les esclavagistes de faire preuve de violence, d’inhumanité et qui plus est de cruauté. - Dans le second argument (paragraphe 3), la présence des termes « cher » et « faire travailler » met en accusation le comportement cupide et égoïste des négriers car ceux-ci privilégient leur confort quitte à entraîner le malheur des noirs. - Dans le troisième argument (paragraphe 4), les termes « noirs » et « nez si écrasé » dénonce l’intolérance, la discrimination, l’orgueil et l’européocentrisme

Brasse-Bouillon, et est le narrateur. Il est très dynamique, un peu égoïste, mais peut aussi être altruiste. Jean est également gourmand et curieux. Il a un caractère assez semblable à sa mère. Sur son physique, on ne sait seulement qu'il a les mêmes dents que sa mère. Il aime surtout son frère aîné, aime bien son père et Marcel. Le benjamin: Marcel, surnommé Cropette. Son physique n'est pas harmonieux. Il est péniblement studieux, hypocrite et très peu affectif. Il n'éprouve pas de sentiments particuliers