égalité Naturelle

Liberté, égalité, fraternité » « Liberté, Égalité, Fraternité » est la devise nationale de la France depuis 1848. Cette expression reprend les idées de liberté et d'égalité contenues dans la Déclaration des droits de l'homme et du citoyen de 1789 mais également l'idée de fraternité qui figure dans le préambule de la Constitution de 1848 rédigée pour la mise en place de la Deuxième République. Cependant, ces trois termes forment une étrange association, et notamment ceux de liberté et égalité. En effet

concession de l'État, sont ceux des grands principes de la Révolution : Liberté, Égalité et Fraternité, que l'on va maintenant étudier dans trois parties. - La liberté : Comment est-elle conçue dans la Déclaration d'août 1789 ? Il est certain qu'elle n'est pas conçue du tout comme l'anarchie. Je cite : “ART. 4 _ La liberté consiste à pouvoir faire tout ce qui ne nuit pas à autrui: ainsi, l'exercice des droits naturels de chaque homme n'a de bornes que celles qui assurent aux autres membres de la

par les esclaves affranchis à Rome. L'hymne national est la Marseillaise. C'est un chant de guerre qui a été composé par Rouget de Lisle, un officier français, à la suite de la déclaration de guerre à l'Autriche. La devise de la France : « Liberté, Égalité, Fraternité » est un héritage des idées des philosophes du siècle des Lumières. La fête nationale française du 14 Juillet à pour origine la prise de la Bastille de 1789 qui représente la première victoire du peuple contre la royauté. Tous ces symboles

La discrimination marque une séparation. Toute personne dans le monde a droit d'être traitée en pleine égalité et, par conséquent, à la protection contre la discrimination. D’un point de vue juridique, la discrimination est un délit. Ce délit consiste dans le fait de sélectionner - à l’emploi, la formation, l’insertion, etc. - ou de traiter inégalement des personnes ou des groupes en se fondant, directement ou indirectement, sur des critères prohibés. La loi définit une liste de critères interdits

III- Inégalités politiques En France, les femmes ont longtemps eu un statut juridique inférieur à celui des hommes. Leur égalité juridique n'est venue que dans les années 1960-70 (permission d'utiliser un carnet de chèque sans l'autorisation du mari, responsabilité parentale, etc.). Malgré la loi de 2000, les partis politiques français peinent à présenter autant de femmes que d'hommes sur leurs listes, quitte à payer des pénalités financières. Ainsi, lors des éléctions législatives de 2002, où

hommes se déchirent pour l'obtenir. Ce n'est qu'à partir de 1789, avec la Révolution française que la notion d'égalité des droits fait son apparition dans l'énoncé "Liberté, Egalité, Fraternité". Elle visait à la base à abolir les privilèges afin que tous les citoyens soient sur un pied d'égalité. Alors qu'entend-on par égalité ? L'égalité à proprement parler est le principe selon lequel les être humains doivent être soumis aux mêmes devoirs et avoir les mêmes droits, quelque soit leur origine ethnique

et médico-sociaux • Une affirmation et une promotion des droits des bénéficiaires et de leur entourage. => L'action sociale en France en cours de l'histoire: Charité => Assistance => Aide sociale => Action sociale => Solidarité => Citoyenneté => Égalité des droits et des chances (2006) → Les origines de la loi: • la loi du 30 juin 1975 relatives aux institutions sociales et médico-sociales • 1995: un premier rapport d'évaluation de la loi du 30 juin 1975 - Incohérence entre les différents niveaux

l'avenir. C'est le droit d'être libre, en se donnant les moyens de le devenir. C'est comme une justice anticipée, et anticipatrice : c'est protéger l'avenir, autant que faire se peut, contre les injustices du passé » Allant plus loin que la simple égalité des droits, l'égalité des chances consiste principalement à favoriser des populations qui font l'objet de discrimination afin de leur garantir une équité de traitement. Elle implique que les écarts liés au milieu d'origine soient neutralisés. La qualité

Débat : Doit-on accorder la citoyenneté à celle qui porte le voile OUI NON -Car après l'interdiction des filles voilés d'aller en cours, sa serai la nationalité puis enfin la citoyenneté. (dzfoot.com)-Porter le voile ou ne pas le porter et un droit de base. (dzfot.com)-Car si ce n'est pas le cas elle ne peut pas se proclamer " pays des droits de l'homme " ou encore terre d'accueil en n'accordant la citoyenneté qu'au gens civilisé. (dz foot

de la société, et égalité juridique de tous les individus le 14juillet et le 4 août), les révolutionnaires étaient méfiants à l’égard de l’électeur rural, qui risquait de faire échouer la Révolution. Très vite, on voit apparaitre la volonté de faire prévaloir l’influence des bourgeois sur les masses populaires, et on cherche à éviter de donner à tous les citoyens des droits politiques. Les débats politiques sont lancés à partir d’octobre 1789. Ces débats reconnaissent une égalité civile pour tous :