Vocatif

qu’il est « Autrefois ». Face à la fuite du temps, c’est d’abord un sentiment d’horreur qui saisit l’humanité. En effet, l’horloge est comparée à un « dieu effrayant » et menaçant. De surcroit, le premier mot du texte est vocatif (ce que l’on peut déduire grâce a l’emploi du point d’exclamation). On a le sentiment que c’est le poète qui crie d’horreur face a la vision d’un dieu horrible. L’Horloge évoque même son « gosier de métal » (v.14) ce qui fait d’elle une sorte de

chéris", 16 : "flots harmonieux") et la métaphore du navigateur (vers 3, 4, 35) renforce le sentiment d’impuissance : l’homme est un marin qui navigue sur l’océan des âges et voudrait jeter l’ancre pour arrêter le temps. Le poète apostrophe ("ô" vocatif -> invocation) tous les éléments de la nature pour qu’ils témoignent du passé, des sentiments du poète -> le réseau lexical de la nature (vers 5, 9, 11, 18, 49, 54-55, etc.). L’apostrophe "Ô Lac !", caractérisée par l’usage de la majuscule donne au

pronoms - la différence de sens des verbes (« tu fuis » = départ brusque et volontaire ; « je vais » = errance malheureuse). - Le dernier vers, particulièrement important dans un sonnet, est une invocation soulignée par l'anaphore du vocatif lyrique « ô ». L'irréel du passé (« que j'eusse aimée ») présente un amour demeuré imaginaire. • Le poète en attente de l'idéal : la fugacité de la beauté - Le poète se trouve en position d'infériorité par rapport à la femme. Son attitude

Le discours de Vaise reste donc le dernier témoin de l’engagement de l’homme politique occitan pour la paix et la fraternité entre les travailleurs des différentes nations.Jaurès commence son intervention en s’adressant au public avec le vocatif « Citoyens ! », un terme qui nous rappelle les valeurs de la Révolution Française et de la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen avec lesquelles un socialiste démocrate comme lui se sentait

l’origine céleste puis l’origine infernale. A – ANGE, ORIGINE CELESTE Vers 1 « Viens-tu du ciel profond » : le « tu » es une apostrophe à la Beauté et question sur son origine. Le « ciel profond » est un oxymore. Vers 2 « O beauté » Le « ô » est vocatif et un rejet de l’apostrophe sur le vers 2. « Nom unique » : L’Unique est le nom de Dieu dans la Bible. « Ange ». Vers 1 + Vers 9 : Confusion entre ascension et la chute B – DEMON, ORIGINE INFERNALE « Sors-tu du gouffre noir ? » : Il s’agit d’une

phénomène d’accumulation par l’intervention d’énumérations aux vers 10, 11, 17, 18, 19 et 25 .et exprime bruyamment le ravissement et la satisfaction de l’auteur par l’emploi du O vocatif et des exclamations des vers 21 et 36 .mais reste néanmoins naturel, ainsi qu’en attestent les interrogations des vers 29, 33, 41 et 43. Ce bonheur insiste sur la matérialité des

poème, devient évidente dans la dernière strophe.  Le « Et » qui ouvre le vers 14 montre que le poète ne peut s'empêcher d'avouer ouvertement et passionnément son amour pour l'automne : «  Et que j'aime ô saison que j'aime tes rumeurs ». L'emploi du vocatif « ô » et la répétition du verbe épouse étroitement l'élan irrésistible du cœur, avec ce qu'il peut avoir d'un peu trop éloquent parce que trop passionné. Le poète revient au registre lyrique de la déclaration d'amour. Mais ce transport ne dure pas

événement de ma vie ». Cette phrase s’illustre notamment par la domination de la première personne du singulier dans les poèmes « Vendémiaire », « Zone » ou encore « Cortège ». La veine lyrique transparait également grâce à de nombreuse utilisation du vocatif, par exemple, dans « Les Fiançailles » trois fois en trois lignes mais également dans « Zone » (« Bergère Ô Tour Eiffel » ou « Ô Christianisme »). Des thèmes lyriques traditionnels romantiques sont aussi présents dans ce recueil. Ses deux liaisons

femme est très valorisant : elle est idéalisée par le poète : Métaphore des astres : « Etoile de mes yeux, soleil de ma nature ». insistance car occupe le vers entier, parallélisme de construction et les mots portent l’accent Emploi du vocatif 2 X : « ô la reine des grâces » 42, « ô ma beauté » 45 Amour marqué par l’emploi de l’adjectif possessif « mon », « ma » associé à terme très fort : « passion » 40 . mise en valeur par place à la rime, fin de strophe et diérèse : passi-on

succéder à son oncle. A. Les marques d'un discours à l'intensité lyrique _ Une ouverture lyrique, propre à un discours de l'exhortation à la résistance : les deux premiers sizains constituent un même mouvement dynamique lancé par le o vocatif (« ô! Vous») et porté constamment par les anaphores de « vous » qui donnent un côté incantatoire au discours. Ménageant un suspens, ce mouvement de douze vers préserve l'identité du destinataire du discours jusqu'au onzième vers (« Filles de la lumière