Vocatif

sa vie : Allumer la passion dans le cœur des femmes, ne jamais avoir réfréné les siennes. ● Il choie en enfer, comme l’atteste le champ lexical de la profondeur : « La terre s’ouvre, abîme ». • Sa mort est douloureuse, comme le prouvent : le vocatif « Ô Ciel » ; la question rhétorique « Que sens-je ? » ; les hyperboles « tout mon corps » et « brasier ardent » ; l’interjection « Ah ! » combinée à la modalité exclamative. =► Registre merveilleux, tragique et pathétique. CONCLUSION. Frappé

traduisent ce langage. - on ne peut pas penser sans les mots) auteur présente uen femme dans tous ses états. Discours qui émergent. Confine à la poésie, au lyrisme. Dimension poétique dans le texte. « ça » = instanse psychique. Délice d'Ariane. Vocatif. Simplement nomme. Pas de syntaxe. Les autres phrases sont très longues, trop longues. Polysyndèse : énumération de 3. à l'intérieur du'ne pensée qui ne pense pas à ce qui va se passer dans la phrase. Effet d'ajout. Ellipse du verbe. Processus temporel

très lyrique, l'arrivée des hommes européens. En effet il utilise des anaphores : « pleurez, malheureux Otaïtiens, pleurez Un jour vous les connaitrez mieux. Un jour ils reviendront ! Un jour vous servirez sous eux ! ». Il répète également le Ô vocatif pour traduire un sentiment de douleur, de crainte : » Ô Otaïtiens ! Ô mes amis ! »  Ce paragraphe sert à amplifier ses dires, à les rendre plus élogieux, plus marquants pour le destinataire, le peuple Otaïtien. Il continue cet effet lyrique, théâtral

poème, devient évidente dans la dernière strophe.  Le « Et » qui ouvre le vers 14 montre que le poète ne peut s'empêcher d'avouer ouvertement et passionnément son amour pour l'automne : «  Et que j'aime ô saison que j'aime tes rumeurs ». L'emploi du vocatif « ô » et la répétition du verbe épouse étroitement l'élan irrésistible du cœur, avec ce qu'il peut avoir d'un peu trop éloquent parce que trop passionné. Le poète revient au registre lyrique de la déclaration d'amour. Mais ce transport ne dure pas

« confesser » (v. 10), c’est-à-dire d’exprimer ses sentiments. Plus loin dans « Zone », il évoque son enfance pieuse : cette veine autobiographique se rattache elle aussi à une certaine tradition poétique et lyrique. On peut aussi noter l’utilisation du vocatif « ô », très utilisée dans la littérature classique (« ô tour Eiffel », v. 2, « ô Christianisme », v. 7), qui souligne l’élan lyrique du poète. C – Le rôle de la religion La religion occupe une place importante dans « Zone », et Apollinaire y revient

des pronoms - la différence de sens des verbes (« tu fuis » = départ brusque et volontaire ; « je vais » = errance malheureuse). - Le derniers vers, particulièrement important dans un sonnet, est une invocation soulignée par l'anaphore du vocatif lyrique « ô ». L'irréel du passé (« que j'eusse aimée ») présente un amour demeuré imaginaire. • Le poète en attente de l'idéal : la fugacité de la beauté - Le poète se trouve en position d'infériorité par rapport à la femme. Son attitude est

est idéalisée par le poète : ➢ Métaphore des astres : « Etoile de mes yeux, soleil de ma nature ». insistance car occupe le vers entier, parallélisme de construction et les mots portent l’accent ➢ Emploi de tournure emphatique (vocatif) 2 X : « ô la reine des grâces » 42, « ô ma beauté » 45 ➢ Amour marqué par l’emploi de l’adjectif possessif « mon », « ma » associé à terme très fort : « passion » 40. mise en valeur par place à la rime, fin de strophe et diérèse (séparation

pathétique. Puis au vers 17, il dit clairement qu’en faisant travailler ces jeunes innocents, c’est « défaire  l’œuvre de dieux » et donc aller contre sa volonté. Victor Hugo exprime implicitement sa colère grâce des points d’exclamations. Et l’article vocatif « Ô », l’adjectifs « infâmes », « étouffants », « insensée », « mauvais », et surtout « maudit », montre bien son indignation par rapport au travail de ces jeunes enfants. Il y a plein de détail implicite qui montre que Victor Hugo s’implique beaucoup

procédés hérités de l'indo-européen comme l'alternance vocalique, l'utilisation du redoublement et de l'augment pour les verbes. Système nominal [modifier] Article détaillé : Déclinaisons du grec ancien. Les noms possèdent cinq cas (nominatif, vocatif, accusatif, génitif et datif), trois genres (masculin, féminin et neutre, parfois réduits à une opposition animé/inanimé) et trois nombres (singulier, duel, pluriel et collectif pour les neutres). Le grec moderne n'utilise plus le datif, excepté dans

apparence, mais semble en réalité adressée avant tout aux hommes pour insister sur leurs erreurs. L’étude de l’énonciation nous montre ainsi un homme bien plus présent que Dieu lui-même : Dieu apparaît quelque fois au début du texte par son vocatif «Dieu» (L1) ou encore via différents pronoms «tu/te/toi» et des adjectifs possessifs «ta bonté» (L28), mais ils sont moins nombreux que les pronoms qui renvoient à l’homme, ou encore à l’auteur. Par ailleurs, Voltaire parle aux noms des hommes en