Vocatif

et tourmentés, pour finalement regretter l’éternel affrontement de ces jumeaux ennemis. Aussi la dernière strophe s’oppose-t-elle aux trois autres. Première strophe : L’entrée en matière est remarquable. Le poète apostrophe l’être humain, le vocatif initial, «Homme libre», étant habilement isolé, et la coupe irrégulière du vers 1 donnant beaucoup d’élan à la phrase exclamative qui affirme l’amour de l’être humain pour la mer. Il est tutoyé, et tout le poème est marqué par la récurrence de «tu»

du discours sur la religion. Le plus surprenant → association modernité / religion : - v. 5 « toute neuve », v.7 « tu n’es pas antique », avec insistance v.8 par l’hyperbole « le plus moderne » - s’associe à célébration du christianisme : « ô » vocatif, adresse directe au Pape (reproduire la forme de la prière ?) et à regret que la religion ne se pratique plus : v.9-10. Comprendre ainsi le v. 20 : la cloche est « rageuse » car ne parvient plus à se faire entendre dans le monde moderne des sirènes

chéris", 16 : "flots harmonieux") et la métaphore du navigateur (vers 3, 4, 35) renforce le sentiment d’impuissance : l’homme est un marin qui navigue sur l’océan des âges et voudrait jeter l’ancre pour arrêter le temps. Le poète apostrophe ("ô" vocatif -> invocation) tous les éléments de la nature pour qu’ils témoignent du passé, des sentiments du poète -> le réseau lexical de la nature (vers 5, 9, 11, 18, 49, 54-55, etc.). L’apostrophe "Ô Lac !", caractérisée par l’usage de la majuscule donne au

une pure solitude, sans code vestimentaire (cheveux) ou société de consommation ( cabane), de plus il ajoute une hypothétique preuve d'amour de la part de sa mère qui pourrait regretter son abandon. Il joue aussi sur la tonalité du "Ô ma mère" ,vocatif. Par cette litote, il évoque la fatalité et le drame , qu'il peut retrouver dans d'autres livres, le désir de reconnaissance est clairement évoqué, il veut se mettre en avant. C'est également un jeu de mot que l'on peut confondre avec la mer, en

éléments du début du poème : → Le lexique associé à la femme est très valorisant et l'amour paraît idéalisé, idéal (d'une façon trop exagérée) : - Métaphore stéréotypée (pétrarquiste) des astres : «étoile de mes yeux, soleil de ma nature».- Emploi du vocatif et de l'interjection lyrique « ô » qui réinscrit dans son ancrage amoureux. : « ô la reine des grâces» v.42, « ô ma beauté» v. 45- Amour marqué par l’emploi de l’adjectif possessif « mon », « ma » associé à terme très fort: « ma nature », « mon ange

premier mot du texte, où il revient à sept occasions (tandis qu’on trouve quatre adjectifs possessifs de la première personne du singulier). Elle s’exprime d’emblée sur un ton péremptoire, avec un orgueil qui lui fait mépriser les «mortels» (le «ô» vocatif étant ici une apostrophe ironique sinon cynique), qui ne sont pas doués de son éternité (qui sera bien marquée par le dernier mot du poème : «éternelles»), se comparer à une pièce sculptée. «Rêve de pierre», qui associe l'impalpable du songe à la

Milon par le fortissimo viro. Son but est de s'assimiler lui-même et son client aux groupes des bons citoyens (virtuti Milonis, eum civem, tota nostra est...civium, multitudo...civium). 2. Les jurés : Utilisation de la 2em personne du pluriel, vocatif, impératif qui servent à donner des conseils. Il cherche à les flatter et cherche à se les mettre dans la poche (vestrae autoritati). Le but est que les jurés ont une meilleur réception de ses arguments. 3. Pompée : (surtout paragraphe 2) dont

orsus sum : commencer (voir exorde = début) « Cum » est la conjonction temporelle, elle comporte donc un verbe à l’indicatif  orsa [est]. Omission fréquente en poésie. sero,is,ere,sevi,satum : semer, engendrer (p p employé comme adjectif, au vocatif, au sens de « fils », « rejeton ») divum = deorum (fréquent) Avernus,i, m : le lac Averne et sa région Averno : datif de but, terme du mouvement (fréquent en poésie  en prose  in + ACC : cela permet de se passer de la préposition, et d’alléger la

fatalité contre laquelle, lui, ne peut plus rien, tel le héros tragique. 1) La fatalité La mort, inéluctable pour Hernani devient donc une fatalité dans cet extrait. Le désespoir se fait ressentir à travers de nombreux « oh » (v2, v17, v31), vocatifs latins souvent utilisé dans les pièces tragiques, dénotant l’imploration et le désespoir. La fatalité n’est pas seulement extérieure mais c’est une malédiction que le héros, Hernani, porte en lui comme une grave maladie contagieuse  au V2 « je porte

est idéalisée par le poète, par la métaphore des astres « Étoile de mes yeux, soleil de ma nature » v.39, d'où l'insistance car il y a un parallélisme de construction et les mots portent l'accent. L'idéalisation est montré également par l'emploi du vocatif « ô la reine des grâces » v.42, « ô ma beauté » v.45, et par l'amour marqué par l'emploi de l'adjectif possessif « mon », « ma » associé à un terme fortifiant : « passion » v.40 mis en valeur par la place à la rime, a la fin de strophe et a la diérèse