Un Survivant De Varsovie

1933, lorsqu'il monte au pouvoir de l'Allemagne, Hitler ouvre des camps de concentration destinés, dans un premier temps, aux opposants politiques puis très vite aux juifs. Ensuite, des ghettos sont mis en place dans les villes comme par exemple à Varsovie. Un ghetto est un quartier fermé, déstiné à isoler une communauté juive pour pouvoir mieux la contrôler, mieux la déporter et donc mieux l'exterminer. Puis la loi "Nacht unt Nebel" ("Nuit et Brouillard" en français) autorise la Gestapo ainsi que

l’école Elémentaire, - C- à partir du collège,- L- au lycée -T Témoignange Ces mentions ne sont qu’indicatives et concernent la lecture individuelle et autonome. C /T- CAIN Larissa J'étais enfant à Varsovie Syros Jeunesse ISBN 2 7485-0127-6 Larissa vit une enfance heureuse avec ses parents confiseurs, à Varsovie. Lorsque les allemands envahissent la Pologne, sa vie va peu à peu changer, jusqu'à connaître la faim, la peur, les caches, mais aussi l'immense élan de solidarité dont ont fait preuve les gens

fascistes. La portée de cette nouvelle est de mettre en garde contre les lachetés individuelles qui font de chacun de nous des collaborateurs de ces systèmes. On peut faire un parallèle avec l'oeuvre étudié en Education Musicale : « Un Survivant de Varsovie », qui dénonce également le régime nazi lors de la 2nd Guerre Mondiale.

film est inspiré de la tragédie de la rafle du Vél' d'Hiv' le 16 juillet 1942, date où la police française a arrêté à leur domicile treize mille personnes fichées comme juives, dont quatre mille cinquante et un enfants, et notamment les deux rares survivants Anna Traube[] et Joseph Weissman, interprété par le jeune Hugo Leverdez. Ce film évoque l'arrestation par des policiers français, le 16 juillet 1942 et leur détention au Vélodrome d'Hiver, dans des conditions épouvantables, des treize mille cent

l'Allemagne de la moitié de la Pologne où vivent 2 millions de Polonais juifs : les autorités allemandes les regroupent par déportation dans la région de Lublin et dans des ghettos surpeuplés (celui de Varsovie compte 550 000 personnes). La famine est organisée par les nazis (dans le ghetto de Varsovie, chaque personne dispose de 300 calories par jour contre 2 300 pour un Allemand). De la nourriture de contrebande est vendue au marché noir à des prix très élevés, mais la pauvreté et le chômage frappent

l’importante communauté juive de Pologne est parquée dans des ghettos, où les conditions de vie sont misérables et où la mortalité est très élevée en raison du manque de nourriture et des épidémies : par exemple, le ghetto de Varsovie ne compte en 1945 que 250 survivants par rapport aux 400 000 du début de la guerre. A partir de juin 1941, les Einsaztgruppen (groupes spéciaux de soldats SS) accompagnent la Wehrmacht sur le front russe et ont pour objectif d’exécuter par balles les Juifs et les opposants

l’Ouest (ex : Oradour sur Glane) en représailles d’actes de résistance 2. Les ghettos (=quartiers fermés où sont regroupés les Juifs) dans les villes d’Europe de l’Est, sans ravitaillement => famines, épidémies… Survivants déportés vers les camps de la mort. Ex : ghetto de Varsovie 3. Les Einsatzgruppen (commandos d’intervention spéciaux) dans les territoires conquis par l’armée Allde en Europe de l’Est (Pologne, URSS…) exécutent les opposants, les communistes et surtout les Juifs. Ex : massacre

H.D.A GASSING/GAZAGE  David Olère Présentation de l’œuvre : Gazage, sans date L’artiste : Prénom NOM : David Olère | Prénom NOM de naissance : David Oler | Dates (naissance-mort) ; siècle : 19 Janvier 1902 Varsovie en Pologne-2 août 1985, Noisy-le-Grand France ; ème S | Nationalité : nationalisé par la suite, français | Ville de travail : Paris | L’œuvre : Titre : Gazage | Date de réalisation : sans date, on sait tout de même que cette œuvre est datée entre 1945 à 1962. (période

souvenir, Louis Aragon Nuit et brouillard, Jean Ferrat L’Affiche rouge (affiche de propagande) L’Armée du crime, Robert Guediguian Guernica, Pablo Picasso Differents trains, Steeve Reich Penderecki + Enola Gay + Nolde Schonberg, un survivant à Varsovie Mickaël Moore

film mélange donc la réalité des camps de concentration avec celle des camps d’extermination. En effet, dans l’après-guerre, les témoignages de résistants revenus des camps de concentration nazis sont beaucoup plus nombreux que ceux des rares survivants d’Auschwitz. Ce n’est que dans les années 1970 que la Shoah sera considérée comme un crime spécifique par ses victimes et par ses méthodes industrielles d’assassinat. Le film n’en montre pas moins la réalité des camps d’extermination, d’Auschwitz