Un Singulier Aveu

amour et que sûrement elle aurait préféré que jamais il ne puisse exister. Mais paas seulement la honte d'être amoureuse de son beau-fils, mais aussi la honte envers les Dieux et surtout la honte d'avoir osé avouer comme il est dit au vers 33 "Cet aveu si honteux, le crois-tu volontaire?". Ici elle se montre encore en victime de tout ce qui lui arrive. L'emploi des Dieux ici aussi pourrait signifier quelque chose. Ici il signifierait que Phèdre est victime certes mais pas seulement de cet amour mais

On va du cas particulier à la maxime générale, de la fiction à la vérité universelle qui provient souvent du fonds commun des proverbes populaires. Ce principe qui date d’Esope est parfois repris ouvertement par La Fontaine. Il passe ainsi du singulier au général en utilisant : - des blancs typographiques - des passage au présent de vérité générale - des tournures à l’impératif ou à l’infinitif - des formules conclusives  Mais La Fontaine n’hésite pas à varier les formulations de la leçon

l’aider en lui soufflant les bons mots ; une chance s’offre à lui : à la faveur de la nuit et dissimulé par le feuillage, il est invisible et peut enfin laisser libre cours à ses sentiments.     A la joute des mots entre Roxane et Cyrano succède un aveu sincère dans une tirade exaltée et spontanée. Registre lyrique empreint de pathétique quand la déclaration laisse entendre la contradiction intime de Cyrano.     Quel est l’enjeu de cette déclaration d’amour ? Son rôle dans la pièce ? I  Une déclaration

les mêmes rimes, qui est quelque peu malmené par les enjambements inattendus, par les ruptures qui sont autant de pieds de nez à un genre parfaitement maîtrisé). Premier quatrain : Au début du poème, l'utilisation de la première personne du singulier indique que l'expérience du voyage est rapportée par le jeune voyageur lui-même, qui trace de lui une sorte de portrait. S’imposent des termes appartenant au champ lexical du mouvement, les verbes : « je m'en allais » - « ,j'allais » dont la reprise

se rend dans le salon de Madame de Bonnivet où il se trouve placé en face d’Armance de Zohiloff, sa cousine. Elle est décrite au chapitre V comme une fille d’une noble famille russe, recueillie par Madame de Bonnivet, droite, sérieuse, au regard singulier et à la « beauté russe ». Elle seule dans le salon ne semble pas empressée auprès de lui du fait de sa fortune nouvelle. On apprend au chapitre suivant qu’Octave est sujet à des accès de fureur : de même qu’il a un jour agressé un domestique sans

elle faisait semblant d’aimer Usbek pour pouvoir mieux le trahir. . Champ lexical de la tromperie, de la feinte : « je me suis jouée de ta jalousie », « te paraître fidèle », « lâchement gardé dans mon cœur », « tu as eu l’avantage de croire ». Cet aveu prend aussi la forme de la vengeance. . Roxane a aussi des regrets : ses années de soumission sont une humiliation. Conditionnel passé « j’aurais dû faire paraître à toute la terre » (regret) + nombreux termes qui assimilent son mensonge à une faiblesse

embarras, la gêne y sont montés avec moi, et dès lors, au lieu qu’auparavant dans mes voyages, je ne sentais que le plaisir d’aller, je n’ai plus senti que le besoin d’arriver. » Et d’ailleurs, route et récit se confondent dans les pages qui précèdent cet aveu : « Mais c’est assez de réflexions pour un voyageur ; il est temps de reprendre ma route. » (Id., p. 86) L’auteur parle d’ « ambulante félicité » lors de son voyage en compagnie de Bâcle, avec la fontaine de héron (Livre III, C I, p. 135). Au Livre

personne du singulier : 31 occurrences de « je » + Enonciation à la 2eme personne du pluriel : 21 occurrences de « vous » * Registre lyrique, Valmont dévoile ses pseudo-émotions à la Présidente, c’est une confidence de Valmont. Montre l’implication de la Présidente dans son désespoir afin de la faire culpabiliser. CL du tourment (l.1-2, l.13 : « le trouble », l.19 : « les tourments », l.24 « délire ») * Valmont montre à la Présidente toutes les souffrances qu’elle lui fait subir. Aveu de sa

il est annonciateur du dénigrement du père à propos de son fils, sentiment qui dominera et conclura d'ailleurs l'extrait.Pour poursuivre, l'implication du personnage dans le récit semble être évidente grâce à l'outil : « Je », première personne singulier ou encore par le complément d'objet direct « las ». Ces deux procédés permettent de mieux cerner l'état d'esprit du Roi qui exprime ouvertement son ressenti sur sa situation, sa vie, dans laquelle l'abattement semble régner.Egalement, le parallèlisme

de résultats avec le minimum d'efforts, de moyens etcetera. Cela fait écho aux notions de rendements et de performances très présentes dans une entreprise. La conjugaison de ces deux concepts ne semble pas aller de soi. En effet, le caractère singulier de l’administration, son objectif d’intérêt général, semble difficilement conciliable avec un impératif d’efficacité pur. Pourtant cette notion est redondante lorsqu’on évoque l’administration. Il convient donc de s’interroger sur l’association