Un Singulier Aveu

Roxane du vers 31 au vers 36 où seul le spectateur entend et écoute ce qu’il dit à défaut de Roxane. 2. Les métaphores du baiser faites par Cyrano sont du vers 12 au vers 19 : « Un serment fait d’un peu plus près, une promesse plus précise, un aveu qui se veut se confirmer, un point rose qu’on met sur l’i du verbe aimer ; c’est un secret qui prend la bouche pour oreille, un instant d’infini qui fait un bruit d’abeille, une communion ayant un goût de fleur, une façon d’un peu se respirer le cœur

enjeux ? 1. Étapes de la tirade de DJ 1. Début --> nos coeurs 2. Pour moi --> changement 3. On goûte --> conquête à faire 4. Enfin --> fin 2. Portée de la tirade : a. Une argumentation qui cherche à avoir une portée universelle : • Alternances du singulier et du pluriel comme pour confirmer la thèse “tout le plaisir est dans le changement” : - inclinations naissantes -> charmes -> plaisir - La beauté / des yeux / toutes / le mérite... - = valeurs générales / • Personnes = généralisations : 1. Indéfini

Dubois est un vrai valet de comédie ? Quelles sont les caractéristiques qui font de lui un valet de comédie ? Quels aspects de lui s’éloignent de la comédie ?I. Dubois est un valet de comédie :II. Cependant il s’en éloigne et propose des aspects singuliers :1. Il est au centre de la pièce, il noue l’intrigue principale et construit la ruse pour que Dorante puisse épouser Araminte et être aimé d’elle. Il est aussi l’instigateur de la ruse avec Marton. On note son intelligence dans la scène 14 de l’acte

vient d’avouer à sa nourrice que le désespoir dans lequel elle est plongée vient de cet amour et de son caractère abominable : épouse de Thésée, elle ne peut aimer son fils sans se rendre coupable, non seulement d’adultère, mais aussi d’inceste. Cet aveu, au vers 264, intervient au terme d’un long dialogue au cours duquel les deux femmes s’échangent la parole, l’une interrogeant, l’autre retardant sa réponse. La surprise d’ Œnone entraîne une pause dans le dialogue et ouvre une place pour un récit

lui-même, qui va permettre un retour sur soi pour faire le point sur son action. Et c'est un faux monologue qui s'engage, Caligula va se parler à lui-même, s'interpeller comme le montre l'alternance des pronoms de première et de deuxième personne du singulier : « Je sais pourtant, et tu le sais aussi. » B) Caligula exprime ses sentiments face à une mort attendue. Tout d'abord, Caligula exprime sa peur, il reconnaît simplement en entendant « des bruits d'armes », « j'ai peur » et, aussitôt, le dégoût

particulière, des données de l’expérience. Une organisation tributaire des traditions, de la mentalité, du contexte géographique, des intérêts propres du groupe. Une langue est l’expression d’un peuple avec ses croyances, ses coutumes, son rapport singulier au monde. Mounin dans Clefs pour la linguistique dira à cet effet que « Chaque langue reflète et véhicule une vision du monde » C’est pourquoi pour avoir la même vision d’une chose, il faut parler le même langage. Ainsi, par exemple un baoulé de

que vous vous en aperceviez aussi> adresse indirecte à la PC formulée à la 3ème personne du singulier ou du pluriel donner d’autres marques de la passionqu’on apour ellesque par des choses qui neles· Emploi du pronom indéfini « on » par le DN pour déclarer son amour à la PC indirectement : le « on » désigne tous les hommes amoureux + mais stt le

à quelqu’un, on perd la distance instaurée par le délai épistolier. Destinataire clair : Usbek. Style qui imite le discours direct, la parole : phrases assez courtes, beaucoup d’exclamations, importance du destinataire (la deuxième personne du singulier est omniprésente dans la lettre.) Cette lettre s’apparente à la catastrophe qui clôt toute tragédie. - Un but : dénoncer l’aveuglement d’Usbek. . Questions rhétoriques : Comment as-tu pensé que je fusse assez crédule … ? (l. 5 ; l. 10-13) →

déséquilibre de la parole * Le dialogue est impossible à cause des tirades d’Electre qui monopolise la paroles. - Oreste est réduit à ne prononcer que des phrases courtes rappelé par un verbe au présent d’énonciation et à la deuxième personne du singulier « tu m’étouffes » L 18 - Les questions d’Oreste restent sans réponse exprimé par deux interrogations oratoires « pourquoi hais-tu à ce point notre mère, Electre ? » L2 ; « Pourquoi la hais-tu ? » L29 - Il manifeste cependant sa volonté de s’exprimer

Kemmerich : blessé à la jambe puis amputé, il meurt lentement dans de terribles souffrances. Paul est chargé d’annoncer la mort de Franz à la mère de celui-ci par courrier mais ne peut s’y résoudre, il le fera de vive voix lors d’une permission. Cet aveu est difficile puisque la mère de Franz lui avait demander de veiller sur son fils, de plus elle se doute que son fils a souffert ; cependant Paul lui assure que ce n’est pas le cas. Paul fait ensuite le récit de leur formation à la caserne par le