Un Récit Plaisant Candide

les puissants en dénonçant le pouvoir arbitraire du roi – sa naïveté – sonobséquiosité – son hypocrisie – Le plus faible est le cerf mais s'en sort grâce à la ruse – il sort vainqueur Lecture analytique : I – L'art de plaire / Un récit – une fiction attrayant(e) – Récit riche en rebondissements – principales étapes de la fables : vers 1 : le narrateur annonce tout de suite la mort de la reine = entrée in medias res / vers 2 à 16 : les courtisans accourent → relation de cause à effet – protocole mis

frappants. Dans le premier type, le discours est en principe pris en charge par l’auteur, nous parlerons alors d’essai au sens large ; dans le second type, le discours est plutôt délégué à un narrateur et à des personnages, nous aurons alors affaire au récit et à la fiction, au genre général de l’apologue. Quant au dialogue, il appartiendrait aux deux types puisqu’il est une argumentation directe, un débat entre plusieurs thèses ; mais il relève aussi de l’argumentation indirecte, de la fiction sous sa

voies, et allient la pertinence d'arguments convaincants à un style frappant et persuasif. L'énonciation dans un texte argumentatif Puisque l'auteur défend une position, il s'exprime généralement dans le registre du discours plus que dans celui du récit (même si des exceptions existent). On trouve donc dans le texte argumentatif : la présence plus ou moins nettement marquée du locuteur : « je », termes modalisateurs (indiquant une évaluation, une vision subjective), mots mélioratifs ou péjoratifs…

voies, et allient la pertinence d'arguments convaincants à un style frappant et persuasif. L'énonciation dans un texte argumentatif Puisque l'auteur défend une position, il s'exprime généralement dans le registre du discours plus que dans celui du récit (même si des exceptions existent). On trouve donc dans le texte argumentatif : la présence plus ou moins nettement marquée du locuteur : « je », termes modalisateurs (indiquant une évaluation, une vision subjective), mots mélioratifs ou péjoratifs… ;

surnaturelles publié en 1772, d’Holbach dénonce a travers un apologue qui est un court récit imaginaire ou parfois réel dont on peut tirer une vérité morale, la guerre et la religion. Nous verrons comment à travers un texte présenté sous la forme d’un conte oriental enchanteur d’Holbach développe une critique de la société du XVIIIème. Une anecdote sous la forme d’un conte orientale D’Holbach retrace ce récit à travers une histoire semblable à un conte traditionnel merveilleux, comme dans un

VOLTAIRE, CANDIDE (1759). Candide ou l'Optimisme est un conte philosophique écrit par Voltaire et paru à Genève en 1759. C'est sans aucun doute l'œuvre la plus connue et la plus étudiée du philosophe des Lumières.Ce court récit est un condensé efficace de la philosophie de Voltaire. Tout cela est permis par le voyage de Candide, personnage qui se caractérise, comme son nom l'indique, par sa naïveté : fervent élève d'un philosophe optimiste

(Micromégas, Candide, L'ingénu). S'inspirant du conte traditionnel, celui-ci respecte le schéma narratif. Dans une oeuvre telle que L'ingénu, à travers un thème trivial (un Huron qui retrouve des parents et tombe amoureux), Voltaire critique la société de son temps. Dans ce récit, il use du procédé de distanciation crée par la venue d'un étranger qui, découvrant un nouveau monde, s'interroge sur de nombreux points comme la légitimité des pouvoirs du Pape et du roi. Derrière ce plaisant récit, se cache

vivent sur paradis terrestre possède valeurs… Fénelon, Les Aventures de Télémaque, septième livre, 1699 : rapproche à un récit de voyage > infos géo, décrit envi et paysage > végétation luxuriante, climat chaud et agréable, facilite agri + description ethnologique > peuple généreux et accueillant, mode de vie simple, harmonie avec la nature > éloge de Tahiti et habs Voltaire, Candide, Chap XXX (30), 1759 : ? J.M.G. Le Clezio, Poisson d’or, 2008 : jeune fille qui voyage, subit l’esclavage, la xénophobie

avant la Révolution française. Il fait partie des nombreux philosophes des Lumières qui ont été sources d'inspiration de la Révolution. Il défend de grandes idées politiques et religieuses. Il a de même écrit de nombreuses oeuvres comme Micromégas, Candide, Zadig... dans lesquelles nous retrouvons ses idées. Ici, nous allons nous intéresser à l'expression «  petites coïneries » qu'il utlisait lorsqu'il évoquait ses contes philosophiques. Cette dernière désigne quelque chose que l'on ne peut pas prendre

plaire au lecteur. Récit utopique, fable ou encore conte, nombreuses sont les formes, dont un écrivain dispose pour rendre agréable une argumentation. Montesquieu dans ses Lettres persanes (1721) use d'une forme tout à fait singulière: celle de la lettre. À travers le portrait en situation de personnages, il dénonce les vices féminins, et plus précisément le goût de l'artifice chez la femme. L’écrivain ne cesse d'accumuler les brèves séquences narratives afin de dynamiser le récit. Ainsi, le temps