Un Roman Doit Instruire Son Lecteur

LES REGISTRES  émotion/sensibilité du lecteur : faire rire ou pleurer.  registres associé à des genres: le tragique à la tragédie / l’épique à l’épopée / le comique à la comédie… (genres on parfois disparu ex : épopée / épique  registres sérieux : épique, pathétique, tragique, lyrique, polémique, didactique, épidictique, fantastique  registres plaisants : comiques, satirique 1. Le registre épique  origine : épopée, long récit d’exploits et d’aventures à la gloire de héros

LE ROMAN ET LE GENRE NARRATIF 1. Les fondements de la narration 2.1 Les premières définitions du genre Avant d’évoquer le cas particulier du roman – le mot, et même la chose apparaîtront assez tardivement – il convient de parler de la forme littéraire à laquelle il appartient, la narration. Aristote, dans La Poétique, oppose à une mimésis dans laquelle les personnages sont représentés directement (le dramatique) une autre forme d’imitation où l’action est racontée par un narrateur (le

(selon lui, toute connaissance dérive des sensations) ; la sensibilité est exaltée dans le roman de l'abbé Prévost, Manon Lescaut (qui nous intéresse ici); et paradoxalement, pour le moraliste Vauvenargue, « les passions ont appris aux hommes la raison ». À la lecture de Manon Lescaut, de l’abbé Prévost, nous pouvons constater que la sensibilité, les émotions, les passions tiennent une place primordiale dans le roman. Publié en 1753, cette œuvre semble être un témoignage intime de la vie même de l’auteur

nous a souvent justifié les œuvres en valorisant l’aspect esthétique qui éveillent chez nous le sens du beau, comme par exemple La Joconde de Léonard de Vinci. D’autres ont encore insisté sur le caractère didactique puisque les œuvres peuvent nous instruire, par exemple sur le plan moral. Ainsi La Fontaine nous instruit-il ou bien écrit-il des fables uniquement pour plaire ? Baudelaire écrit-il des poésies pour communiquer ses impressions ou bien également pour nous éveiller à un champ de correspondances

ignorée". Ces trois participies passés énoncés en rythme ternaire nous montre que le père veut préserver Jeanne physiquement et moralement. D'où le participe présent: "ignorante" qui reprend le terme et nous montre que, comme le dit Rousseau, Jeanne doit rester loin des autres hommes qui corromptent et bien-sûr de la sexualité, "les choses humaines". Mais l'adjectif "ignorante" qui nous rappelle la chasteté ("chaste") de Jeanne nous promet déja que sa vie sera un échec. b-Le baron s'octroie

De la séduction dans Les Égarements du cœur et de l'esprit de Crébillon fils La préface du roman Les égarements du cœur et de l'esprit semble répondre, a priori, à toutes les normes usuelles qui justifient généralement une préface, à savoir la présentation de la position de l'auteur par rapport à son œuvre, l'établissement d'un contact de complicité et de compréhension entre l'écrivain et le lecteur, les définitions des idéaux romanesques et sociaux qui déterminent la dite œuvre et un bref résumé

l’affirmation de Montaigne : « c’est un sujet merveilleusement vain et ondoyant que l’homme » ? Vous devez commenter une citation. La question de l’homme dans les genres de l’argumentation. « Les héros de roman sont-ils forcément admirables ? » Vous devez répondre à une question générale. Le personnage de roman. 2. L’interprétation du sujet et la recherche des idées • Au brouillon, recopiez le sujet. Soulignez les mots importants. Définissez les notions-clés, les points que vous devrez approfondir. Reformulez

Peut-on penser, comme Jean Duvignaud et Jean Lagoutte, qui l’écrivent dans un ouvrage général, que le vrai public est celui qui va au théâtre pour « passer une soirée », revendiquant ainsi la fonction surtout divertissante du genre dramatique ? Ne doit-on pas cependant distinguer des types de théâtre, avec des objectifs et des fonctions multiples qui parfois se conjuguent ? I. Le théâtre ne paraît-il pas avant tout un spectacle visant au divertissement ? A. Le théâtre est une fête 1. Un décor

grande forme en mouvement : la lecture ». De fait, si un ouvrage provoque l’ennui et la déception de son lecteur, peut- être ne sera « qu’un petit tas de feuilles sèches ». A contrario, s’il répond aux attentes du lecteur, alors le livre devient « une grande forme en mou‐ vement », c’est-à-dire un grand livre. Comme nous le comprenons, l’acte d’écriture est le corrélat de l’activité même  du lecteur  ; ainsi pouvons-nous nous poser la question : « qu’est-ce qu’un bon livre ? ». __________Nous répondrons

rester fidèle à sa version originelle. Certes, un mythe peut assurer sa permanence grâce aux modifications apportées par son auteur. En effet, l'auteur peut actualiser son récit afin de le mettre aux ''goûts du jour'' afin qu'il plaît aux lecteurs contemporains. Comme nous le montre Jean Anouilh avec sa réécriture du mythe d'Antigone de Sophocle réécrit en 1944, plusieurs auteurs s'en inspirent afin de pouvoir donner leur point de vue sur un événement actuel tout en le ''maquillant'' afin