Un mari idéal

père désirant la marier à un homme noble et digne d’elle s’adressa à un devin, sa sentence était comme suit : « le futur mari de la princesse devrait être le plus humble, le plus vertueux et le plus fort, il devait réussir les épreuves suivantes : Tendre l’arc de Nembrod, tuer un lion féroce lancé dans une arène, avoir beaucoup d’esprit, être le plus complet des hommes ». Le roi Belus convaincu de ce que l’oracle lui affirma organisa une épreuve pour essayer de trouver le mari idéal à sa fille unique

l’existence : se trouver un mari. Quand un riche célibataire élit résidence dans une demeure du voisinage, les Bennet se réjouissent : nul ne doute que les sœurs trouveront un bon parti parmi les nombreux amis du nouveau voisin. Mais lorsque Elizabeth fait la connaissance du très charmant et- dit-on –très snob M. Darcy, la guerre des sexes éclate.... (Résumé donné en classe) Les cinq sœurs Bennet ont été élevées par leur mère avec seul objectif dans la vie de trouver un mari. Toutefois, la deuxième

certaines époques comme les XIXème et XXème siècles. A un monde de la bienséance, de la propriété et de la possession matérielle s'oppose un monde des désirs et des plaisirs éphémères et immatériels. Ce monde est une échappatoire, une fuite vers un idéal de vie où les êtres ne sont pas enchaînés par les mœurs sociales et religieuses, où les vies ne se passent pas de façon cadrée et monotone depuis la naissance jusqu'à la mort. C'est de cela que parlent les romans de Gustave Flaubert et de François

sentiments de la jeune femme. Dans cet extrait qui se situe dans les premières pages du roman, nous est présentée Melle de Chartres lors de sa première apparition à la cour. Nous allons voir que ce passage présente le personnage éponyme comme un idéal de la perfection classique, le portrait de l’honnête femme en quelque sorte, et il préfigure d’un destin remarquable. Plan du texte: l.1 à 4 : une incarnation de la perfection l. 5 à 20 : une éducation irréprochable l. 21 à 29: un portrait annonciateur

Épouse bourgeoise et mère comblée de deux enfants, Nora Helmer a été modelée, telle une poupée de cire, par son père, puis par son mari. Les deux hommes en ont fait une gentille petite femme, un peu frivole, avec laquelle on ne parle jamais sérieusement et que l’on n’ennuie pas avec des problèmes auxquels elle est censée ne rien comprendre. Il y à quelques années, le mari de Nora, très malade, devait pour sa santé voyagé dans un pays méditerranéen. Afin de payer le voyage, et dans le plus grand secret

prolétaires sont paysannes, ouvrières, lingères, repasseuses, couturières, commerçantes, nourrices ou domestiques. Menant une vie plutôt remplie, elles ne se croisent qu'à la fontaine, au lavoir ou au marché. Pour les ouvriers, la "ménagère" représente un idéal de respectabilité. En 1898, la CGT (Confédération Générale du Travail) , tout en souhaitant l'égalité des salaires, précise que seules sont "autorisées" à travailler les célibataires et les veuves. Les bourgeoises doivent quant à elles rester ces épouses

liens familiaux et conjugaux, des différences de taux de suicides. Il compare les fréquences par état civil et va notamment comparer le suicide des célibataires et des gens mariés par tranche d’âge et par sexe. Il va alors constater que les célibataires masculins ont une propension beaucoup plus élevés que les hommes mariés. Les époux et les épouses sont deux fois plus protégés du suicide que les hommes célibataires masculins, les veufs et les veuves. La cohésion familiale est un facteur extrêmement

à Madame Raquin car sa mère est décédée. Cela dit, Madame Raquin avait déjà un fils Camille. Camille étant un enfant souffrant, Thérèse passe son enfance auprès de lui. Lorsque les deux enfants on atteints l’âge adulte, Madame Raquin décide de les mariés. Peu après leur mariage, Camille souhaite quitter sa campagne natale et s’installer en ville. Camille trouve un travail puis Madame Raquin et Thérèse décident d’ouvrir une mercerie. Tous les jeudis soirs, une soirée thé et domino est organisée,

leur attitude modeste et élégante, par leur langage retenu et sincère, par leur idéal de simple vertu et de bonheur honnête, des bourgeoises et des jeunes filles délurées de Dancourt et de Regnard. La Surprise de l’amour nous montre comment Lelio et la comtesse, obligés de se rapprocher pour discuter sur l’établissement de leurs gens, en arrivent peu à peu à s’aimer sans se le dire, puis à se l’avouer et à se marier. Le Jeu de l’amour et du hasard a un début de joli vaudeville : Silvia va recevoir

Le magasin choisi se nomme ATTAC (grande distribution). Nous enquêterons uniquement ces deux personnes sur le rayon des vins. Une fois arrivée au niveau des vins, le couple semble déjà avoir des attitudes différentes. La femme demande à son mari de choisir le vin rouge tandis qu’elle part choisir le vin rosé. Première remarque, elle se dirige vers une bouteille en promotion dans le rayon parfaitement présentée. Il s’agit d’un sauterne du Hayot très moelleux, millésime 1999 pour un prix de