Un mari idéal

Banquo Banquo assassiné sous l’ordre de Macbeth, fut celui qui, de par sa loyauté, incarnait le serviteur idéal .il incarne le sort du témoin qui doit mourir juste parce qu’il sait des choses sans qu’il ne l’ai voulut forcement .Cependant, même s’il peut être considérer comme innocent, il ne faut pas oublier qu’il a été aussi complice de Macbeth à un certain moment donné. Bien qu’il fût manipulé par Macbeth, cela ne justifie pas totalement sa position. Trahi, il est victime de la conspiration

glorifiéadj « beauté » → flatte sa fille pour mieux la manipuler« par une extrême défiance de soi-même et par un grand soin »→ hyperbole qui apporte un caractère exeptionel à cette conduite vertueuse qui est idéalisé, parfaite« qui est d'aimer son mari et d'en être aimé »→ chiasme qui montre une idée de réciporcité entre l'amour de l'homme et de la femme2ème mouvement :ligne 10 à 16 l'admiration d'une mère pour sa filleMme de Chartres idéalise le comportememt de sa filleverbe « admirait » x2→ récurrence

jeune fille, blonde aux yeux bleus. Ayant reçu une éducation destinée à éveiller en elle l'amour de la nature, elle ne connaît rien des réalités et rêve de l'homme idéal. Elle est persuadée de la beauté et de l'innocence du mariage. Si elle croit le trouver en Julien, elle ne connaîtra comme amour que la bestialité sexuelle de son mari, et son hypocrisie. Elle consacre sa vie à son fils qui part à l'âge de 15 ans. Elle reste en contact avec lui mais il lui manque énormément et elle souffre beaucoup

l’auteur avec l’hyperbole « avec tant d’amour» peint la maternité qu’habite le cœur de cette dernière. Ensuite, Blanche correspond à l’idéal féminin préconisé dans la littérature du terroir, puisqu’elle vie une harmonieuse. Dans l’extrait, Didace, son mari, pense à la vie de sa femme et affirme « sa vie assurée; pas l’ombre d’un souci» (l.5-6), où l’auteur avec la métaphore «pas l’ombre d’un souci» accentue le fait que celle-ci n’a rien à craindre. On peut donc comprendre que Blanche vie idéalement

pleure pas, qui ne sort pas le soir, bref un enfant idéal. Idéal, il est bien obligé de l'être, lui qui n'a jamais connu son père et sa mère est morte lors de l'accouchement, il vit donc chez sa grand-mère depuis son plus bas âge. Mais cette dernière n'est pas vraiment drôle : depuis dix ans elle n'a pas dit un seul mot à son petit-fils. Elle passe son temps à dormir, manger (surtout pas de matière grasse), lire une vieille lettre de son mari à la guerre qu'elle n'arrive pas à déchiffrer et regarder

d'augmentation de la population car ces taux se compensent. D'après Platon, la cité idéale se composerait de 5000 citoyens mais on pouvait arriver jusqu'à 40000 citoyens. Il n'y a pas beaucoup d'évolution dans ces sociétés. Toutes les cités grecques sont constituées de citoyens, d'étrangers libres et des esclaves. I/ Famille : A/ Naissance et éducation : L'avortement est autorisé mais la femme doit avoir l'accord de son mari. Cette pratique esr relativement courante. A la naissance, seul le père peut

hospitalisée. Elle meurt le dimanche 3 mars 1996 à Paris. Les personnages principaux Madame Desbaresdes: Personnage principale du roman, Anne desbaresdes est mariée depuis 10 ans avec le directeur des fonderies de la côte. Elle vit avec son mari et son enfant dans une grande maison. Anne est une femme insatisfaite: sa seule et vraie joie est son enfant qui l'aide à échapper de la monotonie de la vie qu'elle conduit. Le fils de Madame Desbaresdes: l'enfant prend, une fois par semaine des

le repudium et le divorcium. Dans l’ancien droit romain, on parle surtout de répudiation, et ce dernier n’appartient qu’au mari, la femme ne peut pas dissoudre l’union. C’est le mari qui peut en décider, mais que pour des motifs graves et le motif le plus grave, c’est l’adultère de la fin, ou pour des crimes de la femme, cette dernière peut être répudiée par le mari. Si le mari répudie la femme sans motifs, il y a des sanctions graves, comme des sanctions patrimoniales (on lui prend ses biens).La formation

vivre dans le monde de rêve dont parlent les romans à l'eau de rose qu'elle a lu. Un bal au château de Vaubyessard la persuade qu'un tel monde existe, mais le décalage qu'elle découvre avec sa propre vie déclenche chez elle une maladie nerveuse. Son mari décide alors de s'installer dans une autre bourgade, siège de comices agricoles renommées, Yonville-l'Abbaye. Là, elle fait la connaissance des personnalités locales. La naissance d'une fille la distrait un peu, mais bientôt Emma cède aux avances de

plaisir peut très bien être une simple utopie. En effet, on entend toujours parler de l’Homme et son éternel recherche du bonheur, et que l’acquisition de celui-ci définirait la finalité de son existence. Cependant, le bonheur n’est-il pas un but idéal impossible à atteindre ? Savons-nous vraiment ce qu’il nous faut pour y accéder ? Peut être devrions-nous nous poser la question si ce n’est plutôt le bonheur qui est une illusion et qu’au contraire ce sont les plaisirs qui peuvent être reposés sur