Un mari idéal

son mariage, et de son fils jusqu’à l’âge où il devient guerrier. La femme devait d’être mère et de s’occuper du foyer. Une veuve pouvait remplacer son mari à la tête de la famille. Une femme devait marier un homme du même rang social au moins. Finalement, les paysannes étaient les plus libres en ce qui concerne le mariage et pouvaient se marier avec qui elles voulaient. f) Qu’est-ce qui a rendu la renaissance carolingienne si importante ? (Qu’est-ce que Charlemagne a fait ?) Charlemagne a régné

lui, le terme « concubinage » signifie l’état d’un homme et d’une femme non mariés vivant ensemble. Alors que l’Eglise prône le mariage, les statistiques sont sans équivoques : près de trois mariages sur quatre finissent en divorce. En dépit des valeurs traditionnelles et de la pression des familles sur les jeunes couples, ceux-ci se posent aujourd’hui de nombreuses questions : vaut-il mieux céder à la pression, se marier et choisir la sécurité ou vivre avec son compagnon en refusant de signer l’acte

de Tostes, petit village normand, a épousé Charles Bovary, un officier de santé. La jeune femme très vite s’ennuie. Elle trouve insupportable de médiocrité son mari, son milieu, la vie qui mène, qui ne correspondent en rien aux images de bonheur qu’elle s’est imaginés dans les livres et dans ses rêves. Pour casser cette routine, son mari décide de partir à Yon-ville- l’Abbaye. Mais, Emma retrouve l’ennui, en dépit de Léon Dupuis, jeune clerc notaire qui l’aime en silence mais qui quitte bientôt

qui ne se sent pas obliger de prendre mari et avoir des enfants. Tout le long du livre, elle rencontre des personnages auxquels elle fait comprendre qu’une femme peut être indépendante, déterminée et intelligente. J.L.B. Matekoni Il a 45 ans. Pas nécessairement beau, mais il a un visage ouvert et rassurant. Originaire de Mochudi p.95 De compagnie agréable, c’est un mécanicien, bon bricoleur. p. 95 très serviable. Matekoni symbolise l’homme à marier idéal, celui qui viendra changer les idées que

Un soir, elle découvre sa domestique, Rosalie, dans le lit de son mari. Prête à se suicider, Jeanne sombre dans un profond état de prostration. Un docteur venu la consulter lui apprend alors qu’elle attend un enfant. Sa grossesse se déroule tristement et elle accouche dans de terribles souffrances ; déçue par le mariage, Jeanne témoigne un amour excessif à son fils, Paul. Quelques temps après, Jeanne surprend de nouveau son mari dans les bras d'une autre femme, mais se sent d’autant plus trahie

ville de l’île). Cette ile bénéficie de beaux jardins au cœur de l’industrie d’agrumes jamaïcaine. Les visiteurs sont attirés par le temps agréable, le terrain de golf, les courts de tennis et les équipements pour faire de l’équitation. C’est le point idéal pour passer une magnifique lune de miel. La Jamaique est bordée par la baie Montego. La baignade est un plaisir à Gloucester et kent Avenues, ou se trouve une vue splendide de l’eau claire des Caraïbes et du récif qui protège la baie. La plupart

sur les phénomènes sociaux. » G. BOUTHOUL, Histoire de la sociologie. Bouthoul gomme l’intention scientifique, l’intention d’observation neutre, de la sociologie. Pour lui la sociologie remonte à l’Antiquité avec Platon qui décrivait la société idéale et Aristote qui voulait montrer comment fonctionne une société. Bouthoul passe en revue tout l’histoire de la pensée, la philosophie sociale est pour lui de la sociologie. La genèse de la sociologie à partir du 19ème siècle. Série de penseurs qui

l’acceptation de tous les préjugés, de tous les « on-dit ». Lisette semble très sensible à l’apparence extérieure, à la beauté (l.61) et surtout à la bonne mine (l.66-67). En fait, Lisette semble être réaliste car elle accepte un mari avec tous ses défauts, elle ne recherche pas une image idéale. B. Silvia ou l’obsession du malheur conjugal Silvia est au contraire obsédée voire hantée par le malheur conjugal. Le malheur des autres femmes (l.83 à 90, l.93 à 98, l.103 à 111) l’a fait réfléchir sur le sujet

femme « lambda ». Ainsi cela peut encourager les femmes à être fortes et supporter les maux quotidiens, finalement, à ne pas être désespérées. Le thème de la famille est central dans cette série, chaque personnage se bat pour ressembler à l’image idéale de la famille parfaite même si c’est impossible. Il semble que l’ont peut expliquer le succès de la série par cette quête impossible de la famille parfaite. Ainsi l’audience principalement féminine peut se reconnaitre dans la série. L’audience est

Sylvia est bien aise qu’il l’a marie » donc le but de Lisette est de convaincre Sylvia de se marier. Lisette donne le portrait du futur, « un des plus honnêtes », «bien fait, aimable, de bonne mine », « d’un meilleur caractère », mais Sylvia ne semble pas être convaincue, elle « s’ennuie pas d’être fille », elle est heureuse avec son père et craint de perdre ce bonheur au pouvoir d’un mari, elle est très intelligente et a reçu une bonne éducation, elle a peur que le jeune homme