Un mari idéal

sens contraire afin de mette une idée en relief par un effet de contraste) entre la vertu et l'amour → Mme de Chartres valorise l'amour dans le mariage. Les malheurs domestiques qd il y a des engagements, serment d'amour à quelqu'un d'autre que son mari.. → Elle veut convaincre que la vertu est mieux que l'amour passionnelle. Figure de l'antithèse qui oppose vertu et amour. Eloge de la vertu, blâme de l'amour passionnelle... Il y a + d'arguments contre l'amour, et 2 arguments pour la vertu. → Donc

demander si le mariage est ouvert à tout le monde et s’il n’y a vraiment aucune restrictions, si tout le monde peut se marier comme il le souhaite. Nous parlons du mariage et non du pacs ou du concubinage, en effet les effets juridiques de ces actes sont différents de ceux du mariage. Nous voyons bien que le terme « pour tous » est assez inexact puisque nous ne pouvons pas nous marier comme nous le désirons, en faisons ce que nous voulons. Existe-t-il encore aujourd’hui des restrictions pour la contraction

grâce et élégance grammaticale^^^ Nous venons de voir que l’auteur se sert des traditions pour mieux moderniser son écriture et offrir une image de son idéal tant féminin que poétique. L’omniprésence des sens alliée à une recherche rythmique originale donnent à « Chanson d’après-midi » une dimension plus large que celle du simple blason. Marier tradition et modernité est donc pour Baudelaire une façon de renouveler les thèmes anciens tout en respectant les domaines privilégiés du lyrisme. La vision

mises de l’avant dans 
 cette œuvre. 
 En premier lieu, la condition féminine de l’époque se retrouvant dans La Parure peut 
 être observée lorsque les inégalités entre une femme et son mari sont mentionnées. En 
 effet, les femmes ne pouvaient gérer leur propre compte bancaire. C’était le mari qui 
 gérait les finances et ce, même si une partie de l’argent venait de la famille de la 
 femme : « Il emprunta, demandant mille francs à l’un, cinq cents à l’autre, cinq louis 
par-ci

cette époques ne dérogent pas à cette règle. Le héros peut carrément avoir le statut de demi-dieu, l’apogée du personnage idéal. C’est très souvent le cas. L’exemple d’Ulysse est pertinent dans beaucoup de points mais nous pouvons développer celui de sa fidélité. Sa femme, est restée modèle de vertu pour la patience dont elle a fait preuve en attendant le retour de son mari. Elle ne cède pas aux tentations, aux mariages très intéressants qui peuvent lui être proposés. Les romans chevaleresques:

rêve d’histoires d’amour émanant de ses romans et à chaque retour chez elle, elle doit affronter la réalité d’un mari, qualifié d’« éteint » dans le paratexte. Luttant contre la tentation d’autres aventures, elle cédera un jour pour des amants lâches et intéressés. Face à une femme libertine, amoureuse d’un idéal romantique parti en fumée, le monde s’écroule sous les pieds de son mari, il n’a sans doute pas pu lui donner ce qu’elle pensait avoir besoin. Il ne peut alors que s’écrire : « Empoisonnée

en existe beaucoup ; il est possible pour l'intégralité (ou presque) de le la gente féminine de se retrouver dans le personnage . Madame Bovary n'est finalement pas une héroïne ayant pour but de faire de ce livre un roman conformiste de la société idéale, ce roman « n'a pas été fait dans le but d'une morale quelconque » dit George Sand . C'est ce que la plupart des personne en ont déduit . Le roman n'est, pour beaucoup, pas considéré comme étant éxagéré en rapport à la société actuelle . Etait-ce

quelle conception de la Femme ce portrait renvoie-t-il ? Arnophe a quarante-deux ans, d’ou le désir qu’il éprouve d’épouser Agnès qui n’a rien de scandaleux. Arnolphe voit les femmes comme un être intelligent, qu’elles ne peuvent trompent pas leur mari. Si elle n’est pas tenue solidement en main, elle est pour lui une créature rusée, occupé à tromper naturellement faible d’esprit, crée pour l’obéissance, elle s’égare. Ce qui lui fait horreur est l’émancipation intellectuelle de la femme. Les compliments

renforce leurs liens, et les remords de la princesse qui repart à la campagne. Elle décide d’avouer à son mari qu’elle en aime un autre, mais ne dit pas son nom. Il sera content de cette sincérité, mais en colère et cherche à savoir qui il est. Le duc assiste à l’aveu, et voit ses espoirs s’envoler il raconte l’histoire au vidame, en taisant les noms, mais il a compris que le duc en fait partie. Son mari comprend que c’est le duc dont elle est éprise. Des quiproquos sont sources de discordes dans le couple

son amant ; le bel officier brille par ses qualités de cavalier qui s’impose à sa monture aussi bien qu’à ceux qui l’entourent. Dans le monde idéal et convenu de Delly, les privilèges de la naissance et des « quartiers de noblesse » de l’archiduc s’accompagnent de qualités humaines « supérieures » qui lui valent l’« admiration » de sa fiancée. • Le mari, chez Sarraute, représente une version édulcorée de ces modèles ; sa supériorité se fait moins distante, son autorité plus amicale (il se moque