Un mari idéal

printemps en fleurs sur ses pantoufles brille. Que lui fait l'astre d'or, que lui fait la charmille Où l'oiseau chante à l'ombre, et que lui font les cieux, Et les prés verts et les gazons silencieux ? Monsieur Prudhomme songe à marier sa fille Avec monsieur Machin, un jeune homme cossu. Il est juste-milieu, botaniste et pansu. Quant aux faiseurs de vers, ces vauriens, ces maroufles, Ces fainéants barbus, mal peignés, il les a Plus en horreur que son éternel

George Dandin Ou Le mari confondu Comédie Par J.-B.P. de Molière 1. Présentation du dramaturge Jean-Baptiste Poquelin, dit Molière, est né à Paris en 1622. Il est issu d’une famille aisée et se retrouve l’aîné de six enfants. Pourtant ses frères et sœurs ne survivent pas. Sa mère meurt quand il a dix ans. Jean-Baptiste poursuit huit ans d’études à Paris. En 1643 il fonde l’Illustre Théâtre. En 1644 il prend le nom de Molière, mais il n’a jamais évoqué la raison. L’Etourdi ou

mariage et du conjoint idéal, ensuite nous verrons en quoi cette conception du mariage peut créer des éléments de comique. Le mariage est l'enjeu principal de ces pièces. Molière a voulu refléter les divers points de vue qui ont lieu dans les querelles de ces deux pièces en associant la question du savoir à celle du mariage. Dans l'École des femmes, deux amis, Arnolphe et Chrysalde, discutent du futur mariage d'Arnolphe. Arnolphe expose son point de vue sur l'épouse idéale et l'éducation qu'elles

laquelle sont prédestinés tous ceux de sa condition. De même, Félicité Rougon, que l'on retrouve dans de très nombreux romans de Zola dans le cycle des Rougon-Macquart, est caractérisée par son âpreté aux gains, son envie de pouvoir. Tout comme son mari, elle possède une avidité maladive, et rêve d’être bourgeoise : elle est le parfait exemple du vice le plus tristement banal de notre société contemporaine, de la maladie la plus contagieuse de notre époque, et par sa médiocrité peut éventuellement

institué par Ponocrates : activités intellectuelles alterne activités physique. Educ reli > a accès direct aux Ecritures. Domaines de connaissance de G très variés : astronomie, médecine, connaissance texte antiquité > image savoir vaste > G ho complet > idéal d’un savoir encyclopédique > pas anodin G = géant. Montaigne, Essais, « de l’institution des enfants », I – 25, 1590 : maitre doit s’adapter à son élève, prendre en compte niveau + capacités. Enfant doit comprendre ce qu’il apprend \ se contenter de

CORPUS 4Document 1)Dans ce document : Il existe 2 extraits de Barbe Bleue de l’auteur Charles Perrault.Dans ce document, l’auteur raconte une maison de campagne : un lieu de villégiature, un endroit idéal de vacances.La maison de Barbe Bleu attire la curiosité des jeunes filles et devient un jeu d’exploration dans lequel elles découvrent de multiples trésors. Les matériaux précieux…. Cette joie retombe en découvrant la pièce secrète, celle des horreurs dans laquelle des meurtres ont été commis.Cette

fait qu’évoluer. Des gentes dames vivant dans des châteaux au jeunes femmes qui se drogue, passant par des histoires d’amour a l’eau de roses à des histoire d’adolescentes. Quelle que soit l’époque, la femmes a toujours été représentée comme un idéal de beauté. Elle est le reflet des fantasmes de la gente masculine et le canon des époques. Par exemple, au XVIIème siècle, le roman qui nous représente le plus la femme à cette époque est la Princesse de Clèves de Marie-Madeleine de Lafayette écrit

décrit-il le possible assassine de M. Grandmorin ? - Les Roubaud sont sortis du train à Rouen tandis que Grandmorin est resté dans le coupé. - Il ajoute que peut-être quelqu´un est monté après. 2) Pourquoi Cabuche est-il l’assassin idéal aux yeux du juge ? - Parce que il a été le petit ami de Louisette, la fille qui était violentée par M. Grandmorin. - Il a tué un autre homme et il a été en prison pour cinq ans. 3) Pourquoi Jacques ne dit-il la vérité ?

incessante du bonheur, en vain. Le ménage a tout le potentiel pour être heureux, pour bien élever la petite Berthe, l’éduquer ; cependant, Mme Bovary méprise son mari et son manque de courage dans la vie et ce sentiment est pour elle la cause d’une grande souffrance, qui la mène au suicide. Charles Bovary, quant à lui, il est l’emblème du « bon mari »: c’est un homme qui a accepté ses responsabilités, qui a assumé pleinement son rôle dans la société et qui dévoue toute son âme au bien-être de sa famille

épouse parle de liberté et doit le dire souvent puisque l’auteur précise (1) « Tu le sais , je te laisse absolument libre, reprit-elle après un silence, tout en continuant à classer les papiers... ». Le fait que Lisa parle de la liberté absolue de son mari nous parait drôle parce que n’est pas vrai. Elle veut attirer notre attention par cette reprise « absolument libre » qui met en relief le fait que Quenu ne prend pas de décision dans cette maison. Lisa a une attitude contradictoire. (4) « Tu es