Un Drame Vrai Maupassant

ou ma nouvelle » : cette hésitation montre que les frontières entre la nouvelle et le roman sont assez floues. De même, les Trois Contes de Flaubert proposent trois histoires dont la première a le caractère réaliste d'une nouvelle. Les Contes de Maupassant posent le même problème : le titre met l'accent sur la dimension orale et quasi folklorique ou populaire de ces histoires, inscrites, pour la plupart, dans le terroir normand. La citation : Roman : « œuvre d'imagination en prose, assez longue

état privilégié douloureux et inspirateur, comme le rêve, tantôt doux et enchanteur, tantôt glaçant et terrifiant. Cette dualité, chez Nodier, permet de tenter une esthétique du fantastique en puisant aux sources « d'un fantastique vraisemblable ou vrai. » Le rêve fantastique se rencontre également chez Gautier, par exemple dans « Le Pied de la momie » (1840), où la réalité et le rêve se distinguent difficilement dans l'esprit du héros romantique. C'est un état psychologique proche d'une démence fantastique

Guy de Maupassant – Pierre et Jean Le roman Je veux m'occuper du Roman en général. "Le plus grand défaut de cette oeuvre, c'est qu'elle n'est pas un roman à proprement parler." On pourrait répondre par le même argument: "Le plus grand défaut de l'écrivain qui me fait l'honneur de me juger, c'est qu'il n'est pas un critique." Quels sont en effet les caractères essentiels du critique? Il faut que, sans parti pris, sans opinions préconçues, sans idées d'école, sans attaches avec aucune

dans notre monde réel? Qu'ils décrivent un monde imaginaire ou réaliste, tous les romans ne traitent-ils pas finalement de la condition humaine? Stendhal s'est inspiré d'un fait divers, l'affaire Berthet je crois, comme Flaubert s'était servi du drame des époux Delamare. Il est évident que chaque auteur s'est servi d'un matériau réel pour le faire entrer dans un projet plus personnel. Le sujet : "Pouvez vous dire comme Stendhal "le roman est un miroir que l'on promene le long d'un chemin" ?"

PREMIÈRE PARTIE Le Horla, Guy de Maupassant Extrait 1 (p. 8) Repérer et analyser 1. a. Le récit est mené à la première personne du singulier. b. La date mentionnée au début du texte est le 8 mai, date de la mort de Gustave Flaubert, grand ami du jeune Maupassant. La nouvelle se présente sous la forme d’un journal intime, destiné au seul narrateur. Jamais il n’évoque la possibilité de le montrer à quiconque. En fait, le véritable destinataire est le lecteur. c. Dans la mesure où le diariste relate

réalisme expressif si cher à Zola. Un naturaliste peut-être ? comme Gervex ou Bastien-Lepage, « artistes doués qui doivent leur succès à l’application de la méthode naturaliste dans leur peinture » (« Lettres de Paris », 1879). Ce qu’attend Zola, c’est un vrai tempérament, un caractère trempé, solide et énergique. Ce n’est pas le génie de Cézanne ou des impressionnistes qu’il remet en cause, mais plutôt leur manque de vitalité et leur excès d’orgueil. Il faut se mettre en valeur, savoir « se vendre » car

philosophes libertin (=qui défendent une conception matérialiste du monde). Le baroque naît de la prise de conscience que le monde est véritablement instable, ils vont alors mettre en scène l’instabilité du cœur à l’aide d’éléments naturels, et montrer le vrai sens de la vie qui conduit un jour ou l’autre à la mort. Mise en évidence des thèmes (métamorphose; le goût de l’ornement…). Plan littéraire: Shakespeare et l’Espagnol Caldéron qui ont écrit « la vie est un songe » . Au niveau de la poésie et du roman

réalistes d'imiter le réel et d'en rendre compte tel quel implique non seulement l'observation mais une véritable documentation. Il faut aller voir sur place, comme le font Goncourt et Zola, accumuler des notes, s'informer auprès des spécialistes : Maupassant et Flaubert fréquentent les milieux médicaux. Ce souci constant du réel explique aussi que l'étude psychologique des individus perde de son importance au profit de l'analyse du milieu et de la mise en relief des types sociaux. C'est en cela que

L’Assommoir de Zola * Le Mariage de Figaro * Phèdre de Racine * Gargantua de Rabelais * Madame Bovary de Flaubert * Les Femmes Savantes de Molière * La Parure de Maupassant * Jeannot et Colin de Voltaire * Le Mariage de Figaro de Beaumarchais * L’Avare de Molière * Une Vie de Maupassant * Le Tartuffe de Molière * Un Secret de Philippe Grimbert * Rhinocéros de Ionesco * La Leçon de Ionesco * Ruy Blas de Victor Hugo * Vipère au Poing de Hervé

cette période ne me revient en tête car s’entendre lire une histoire et la lire soi-même sont deux choses totalement différentes. C’est pour cela que je pense pouvoir dire que le souvenir le plus frappant que j’ai, a été à la lecture de mon premier “vrai” livre : « Charlie et la chocolaterie ». C’est un livre de Roald Dahl, aux éditions folio junior, que ma tante m’a offert pour mes 10 ans avec un billet de 50franc glissé à l’intérieur. Bien sûr, à cette période là, le billet m’intéressait plus