Un Discours De Persuasion Amoureuse

sont enfermés dans un passé tragique. -modernité : représentation métaphorique du tragique par le palais lui-même : présenté comme un « mirage » (l 9), façade décrite par les petites filles (l 8 à 9) puis par le jardinier (l 13 à 21) l 8-9 : discours invraisemblable qui intrigue le lecteur qui cherche ainsi à donner un sens à cette façade l 13 à 21 : le jardinier veut détromper les petites filles qui veulent faire du lieu une illusion mais sans le savoir il confirme sa dimension métaphorique

accordé; c’est ce qui leur donne, pour traverser le temps, le peu d’éclat, le bref éclair qui les porte jusqu’à nous”2. Mais au fond dans cette position, dans cette attitude théorique de celui qui prête l’oreille au pouvoir pour saisir dans son discours quelque fragment de la “légende des hommes obscurs”3, il y avait “toujours la même incapacité à franchir la ligne (...) à écouter et à faire entendre le langage qui vient d’ailleurs ou d’en bas; toujours le même choix, du côté du pouvoir, de ce qu’il

« fouille » dans le texte, en observant le choix des thèmes (des thèses parfois), des significations explicites et implicites puis la mise en forme du texte, les procédés utilisés (organisation énonciative, lexicale, grammaticale et des types de discours, des structures syntaxiques, figures, registres, références contextuelles, du statut du genre repéré : théâtre, poésie, roman, argumentation, …). Les éléments et significations essentiels du texte ressortent au cours de cette étape. Ex : seq1 doc1 :

chapitres d’Ulysse parus dans le journal d’avant-garde américain The Little Review (avant que l’œuvre de Joyce ne fût condamnée pour obscénité). Woolf reste dans le récit à la 3ème personne mais avec d’autres instruments que Joyce utilise : soit le discours indirect libre, qui donne « le monologue narrativisé ». (La Chambre de Jacob (1922) et Mrs Dalloway). Thèmes dans Mrs Dalloway : leitmotiv de la cloche Big Ben qui sonne (premier titre de Mrs Dalloway : The Hours) et celui du « no fear » shakespearien

devez savoir : - analyser la situation d'énonciation ; - repérer une thèse, un argument, un exemple ; - repérer les connecteurs logiques ; - distinguer les types de raisonnement ; - connaître les procédés de l'argumentation, notamment de la persuasion et de la délibération ; - juger une stratégie argumentative. Suivent ci-dessous quelques précisions pour mieux appliquer les consignes les plus fréquentes. Repérer le (ou les) point(s) commun(s) aux documents Il est très fréquent qu'on

poétique ou esthétique de Prévost ? Autrement dit, si l’on mettait au jour un soupçon moral envers les larmes d’un héros de la fiction, faudrait-il en conclure que le romancier démystifie la persuasion par la voie pathétique ? Pour qu’il en soit ainsi, il faudrait que de la morale romanesque se dégage un discours poétique, et que du plan fictionnel le roman puisse sans barrière ni difficulté passer à une théorie générale des passions. Or l’on se trouve face à un problème de taille, tant le roman repose

l'un comme l'autre sont-ils responsables de la tragédie. De plus, comme l'a montré Jacqueline de Romilly, Créon ne pense que par opposition et évidences (hommes/femmes, opposants/alliés) qui le conduisent à la tyrannie, quitte à contredire ses beaux discours initiaux. Il veut la cohésion et tout se détruit, sa famille comme l’État, car il souille la cité et veut se substituer au divin. Antigone et Créon, c’est l’affirmation de soi qui exclut les autres, ce qui implique la solitude, caractéristique du

peinture occupe certes une place fondamentale dans les traités de la Renaissance italienne ; mais les théoriciens refusent bien vite de réduire l’activité du peintre à une simple duplication de la réalité. Parallèlement au discours sur la fidélité au réel se développe tout un discours sur l’idéalisation, sur la beauté que le peintre doit atteindre : Alberti lui-même, enclin à mettre l’accent sur le seul réalisme du portrait, exhorte les peintres à s’attacher « non seulement à la ressemblance des choses

| | |Interprétation: | | |Dans cet exemple, l'anaphore crée un effet d'écho, d'obsession et de persuasion. | |Le pléonasme |Le pléonasme est une figure de construction qui consiste "en une surabondance de | | |termes, donnant plus de force à l'expression". (Gradus)

tabac » (p. 15)). 6 Dans la suite du chapitre 1, l’Ingénu est soumis à un véritable interrogatoire. Montrez que le recours aux questions permet de compléter le portrait du personnage. La modalité interrogative est fréquente. Certains passages au discours direct permettent de compléter le portrait de l’Ingénu. On mesure la patience de l’Ingénu qui prend le temps de répondre à toutes les questions : « le Huron ne s’en émouvait pas. Il semblait qu’il eût pris pour sa devise celle de milord Bolingbroke :