Tuer Selon Kant

La justice désigne avant tout une valeur, un idéal moral, un concept philosophique dont la caractérisation paraît à la fois instinctive (le sentiment d’injustice ou de justice s’impose à nous par automatisme car chaque individu selon ses expériences, son vécu ou son milieu social aura une opinion différente) et complexe (il est impossible de définir abstraitement les critères du « juste »). L’idée de justice fait référence sinon à l’égalité, du moins à l’équilibre dans les relations entre les hommes

d'Ephialte et d'Otos, on le dit d'eux, à savoir qu'ils tentèrent d'escalader le ciel pour combattre les dieux. Alors Zeus délibéra avec les autres dieux sur le parti à prendre. Le cas était embarrassant : ils ne pouvaient : ils ne pouvaient se décider à tuer les hommes et à détruire la race humaine à coups de tonnerre, comme ils avaient tué les géants ; car c'était anéantir les hommages et le culte que les hommes rendent aux dieux ; d'un autre côté, ils ne pouvaient non plus tolérer leur insolence. Enfin

| « Si je ne peux pas savoir ce que je suis avec la simple conscience, je peux déjà savoir que je suis ». Cette reconnaissance du sujet par lui-même va ainsi permettre l’unification des différents états de conscience. Pour Emmanuel Kant également, le « je pense » doit pouvoir accompagner toutes mes représentations : « toutes les représentations, connaissances, expériences que je fais sont unifiées autour de ce “Je pense”, sinon j’aurais un moi aussi divers et aussi bigarré qu’il y

unique et détaillée - C’est une réponse sur le modèle de la démonstration mathématique : qui peut être argumentée selon les règles de la logique (cf. modèle de la résolution d’un problème dans les sciences justement appelées “exactes” pour les différencier des sciences humaines). - Une réponse exacte à une question suppose l‘objectivité, c’est-à-dire ce qui est à étudier doit être selon l’étymologie, placé, jeté (jectum) devant nous (ob), à distance de notre esprit connaissant. - Le “je” est à la

religion particulière, et tenter de situer ce qui est commun à toutes, et même au-delà, jusque dans des formes apparentées, telles que les sectes et certains mouvements sociaux politiques. . Il ne sera pas ici question de Dieu (dont on sait depuis Kant qu’il ne peut être prouvé par l’exercice de la raison), mais d’un phénomène social et psychologique humain, commun à toutes les sociétés et à toutes les époques, y compris  «  l’âge de pierre »(traces magico- religieuses) et les sociétés officiellement

s’organiser socialement), s’oppose la tradition du catéchisme révolutionnaire de Netchaïev. Idée que pour parvenir à mes fins, j’ai le droit de tuer. Pour justifier la meilleure des fins, c'est à dire la société anarchiste qui par la révolution se débarrassera de la société politique, il faut être prêt à mourir et tuer. Il va jusqu’à l’idée qu’on peut tuer des enfants et des innocents pour parvenir à la société idéale. « Au fond de lui même, non seulement en parole mais en pratique, le révolutionnaire

thème développé notamment par Platon et Aristote. De même, la « philia » (amitié) comme vertu sociale remonte à la Politique d’Aristote. Mais la Boétie s’inscrit également dans son temps, et il sera un précurseur du contractualisme qui est la théorie selon laquelle la société est fondée sur le contrat social, et de la conception moderne de l’Etat. L’ouvrage est comparable à l’Utopie de More et au Prince de Machiavel, auquel la Boétie semble répondre dans certains passages du Discours. En effet Machiavel

atteindre la vérité dans la domaine métaphysique ? D’après Kant, la métaphysique est un « champ de bataille », « un théâtre de combats sans fin ». Combat : entre thèse (âme immatérielle et immortelle) et antithèse (l’âme est matérielle et mortelle). Sans fin : parce qu’il est impossible de savoir laquelle des deux est vraie (pas de possibilité de faire une expérience dans le domaine de la métaphysique (différent de la physique)) . Pour Kant, la métaphysique ne peut pas faire l’objet d’une connaisance

cependant pu détourner certains critiques d'une étude approfondie de son œuvre philosophique. Beaucoup de "Propos" sont parus dans la revue "Libres Propos" fondée par un disciple d'Alain, Michel Alexandre. Ses maîtres à penser furent Platon, Descartes, Kant et Auguste Comte — mais il se réclama avant tout de Jules Lagneau, qui fut son premier professeur de philosophie. Le but de sa philosophie est d'apprendre à réfléchir et à penser rationnellement en évitant les préjugés. Humaniste cartésien, il est

Pascal). Principes du raisonnement Principe d'identité Article détaillé : Principe d'identité. Le discours philosophique a besoin de cohérence. Une expression de ce besoin est le principe d'identité qui énonce que ce qui est, est soi même. C'est, selon Aristote (la Métaphysique, livre gamma), l'exigence fondamentale du discours rationnel. Si on ne l'admet pas alors le sens des concepts peut changer à tout instant, ce qui revient à dire qu'on ne peut rien dire qui ne soit contradictoire. Une chose