Triffin

leurs taux de change fixe. Il en résultait que les dollars émis sur le marché pour subvenir aux besoins de chaque pays du monde excédaient la réserve d’or qu’avaient les Etats unis. Cette situation a favorisé la réalisation de l’hypothèse de Robert TRIFFIN sur le problème de confiance au dollar américain : « Au fur et à mesure que les besoins de réserves internationales des banques centrales augmentaient dans le temps, leurs avoir en dollar augmenteraient nécessairement jusqu’à excéder le stock d’or

la cohésion du camp anti-communiste, à faire des alliés les pays ayant besoin d’aide, et à renforcer bien sur le capitalisme américain. 2) mais des premiers dérèglements apparaissent dès les années 60 1960 : 1ère critique de l’économiste belge Triffin : parle du paradoxe du dollar. D’un côté la valeur du dollar doit être garantie et le dollar doit inspirer confiance. Pr cela le dollar doit resté rare, dc recherché. Mais ce dollar rare fait planer la menace d’une sévère déflation mondiale. Pr une

chaos monétaire ; Plan White / plan Keynes ; Bancor ; Etalon-dollar-or ; 35$ l’once d’or ; Le dollar devient le pivot du SMI ; Une nouvelle institution multilatérale : le FMI ; La Banque Mondiale). La fin du système de Bretton Woods (Le dilemme de Triffin. La demande de conversion des avoirs en dollar en or ; Nixon et la levée de la convertibilité le 15 août 1971). La crise économique et la dépression du commerce international ont profondément marqué les esprits, soulignant l’incapacité à mettre

étant donné que les USA ont une balance commerciale (Importations déduites des Exportations) déficitaire, il y a une perte de confiance envers le dollar ce qui incitera les Etats à convertir les dollars qu’ils possèdent en or…C’est le paradoxe de TRIFFIN En effet en 1944, les USA possédaient 70 % des réserves d’or alors qu’en 1970 ils n’en possédaient que 40 % environ… Ainsi, afin que les réserves d’or des USA persistent, et afin d’éviter d’arriver à une situation inévitable à terme où les réserves

moyen de paiement, unité de compte. Dans le SMI de Bretton Woods, le dollar est la seule monnaie internationale. Il y a stabilité hégémonique car les monnaies s’ancrent sur cette devise clé. Dès les années 1960 est mis en évidence le paradoxe de Triffin : « d’un côté, le rôle de ‘devise clé’ du dollar exige que celui-ci demeure stable et que sa création soit strictement contrôlée par les autorités monétaires américaines ; mais, d’un autre côté, il y a alors une véritable ‘soif de dollars’ dans le

.37 5.1. La construction Européenne et les principales missions de l'Euro système......................37 5.1.1. Les grandes étapes de l'UEM.....................................................................................37 A – Du rapport Triffin au rapport Delors.........................................................................37 B – Les étapes du plan Delors.........................................................................................38 5.1.2. Présentation du Système

système de Bretton Woods est le dollar. Le principe est que les autres monnaies vont être définies par une parité fixe par rapport au dollar et le dollar va être garanti par l’or (car l’or garantit la crédibilité d’une monnaie). Le paradoxe de Triffin est la faille de Bretton Woods. Il correspond à la création d’eurodollars et va être à l’origine de la fin des accords de Bretton Woods. Au début des années 1960, JF Kennedy met en place aux USA une politique sociale coûteuse sur le long terme et

nations des moyens de paiement et par la mise en place d’institutions comme l’UEP. A plus long terme, le dollar gap a été résolu par les déficits américains. On a parlé de dilemme de Triffin (un conseiller de Kennedy) qui permet de bien comprendre le problème de l’inconvertibilité du dollar. En 1960, Robert Triffin, de nationalité Belge, professeur à Yale, avait déjà dénoncé l’importance prise par les monnaies de réserves et notamment le dollar américain dans les réserves de change par rapport à

réserves et n’utilisaient pas leur Droit d’échanger ces dollars contre de l’or américain, la contrainte extérieure pesant sur les Etats-Unis apparaissait plus légère que celle pesant sur les autres pays du système. En 1960, l’économiste américain Robert Triffin mit en évidence le fameux dilemme qui porte son nom, qui explique la croissance de l’engagement des américains à l’étranger face à la baisse des réserves d’or aux Etats-Unis. Le monde avait besoin de réserves de dollars sans cesse croissantes, en

envers l’organisme émetteur. Il s’agit des monnaies fiduciaires. La « mort » des monnaies métalliques a définitivement été actée le 15 août 1971 lorsque Nixon a suspendu la convertibilité du dollar en or. 3. FORMES DE LA MONNAIE Le paradoxe de Triffin: Le bon fonctionnement de l’étalon de change-or reposait sur la capacité des Etats-Unis à défendre la parité-or du dollar ; ce qui supposait de leur part une stricte discipline monétaire. Les autres pays doivent disposer des dollars pour défendre