Tribu Et Classe Sociale

UNE PÉRIODE DE GRAVES TENSIONS SOCIALES ET POLITIQUES A) APERÇUS GÉNÉRAUX Nombreux conflits armés entre cités ou peuples comme à l’intérieur des cités. Régimes
 aristocratiques.
 Probablement
 création
 des
 premières
 magistratures,
 peut‐être
des
premières
assemblées,
réservées
aux
familles
dominantes
=
classe
 possédante
(propriété
encore
très
largement
foncière).
+
pouvoir
judiciaire
à
une
 époque
où
le
droit
reste
oral
et
coutumier.
 B) UNE PÉRIODE D’INNOVATIONS IMPORTANTES À partir du ~VIIe

sans parfum soit la fiabilité des tests d’allergies. Ces produits dermatologiques attirent les femmes et les hommes dont la peau s’irrite facilement ainsi que les personnes cherchant des soins personnalisés. D’abord, nous allons mettre en place une tribu afin de réussir le lancement d’une crème auto bronzante destinée aux jeunes hommes ; Dans un deuxième temps, nous trouverons des démarches pour créer une communauté des clientes habituelles. Puis nous finirons par une fragmentation de l’activité vers

Mauss, Marcel (1931), "La cohésion sociale dans les sociétés polysegmentaires", Dans ce texte, Marcel Mauss montre tout d'abord que pour comprendre la structure sociale des « hordes » australiennes, il faut regarder non pas la horde dans sa totalité, mais les petits groupes de quatre à six familles établies ensembles, les « groupes locaux » qui la composent de façon assez lâches. À cette échelle, les sociétés primitives australiennes apparaissent différenciées selon des critères de sexe, d'âge

entendu de la taille du groupe. Par exemple, dans un groupe où les frontières sont régulièrement élargies, une hiérarchie bien respectée par tous prend tout son sens, et permet une intégration facilitée des nouveaux arrivants. La hiérarchie sociale se manifeste par des signes extérieurs qui symbolisent le pouvoir exercé. Il connaît des relations de pouvoir lorsque le pouvoir est accepté on dit qu’il est légitime. Ce qui donne de l’autorité à son détenteur : le chef. Ce chef doit avoir pour

autoritaire, n'est pas le seul modèle. Il existe d'autres modes d'organisation possible : des sociétés sans États. Trop souvent la société « moderne », la société industrielle et technicienne, est considérée comme l'aboutissement de l'organisation sociale ou, pour les plus modérés, un stade plus évolué par lesquelles devront passer les sociétés dite primitives. Il n'en est rien, et Pierre Clastres nous le démontre dans ce texte. La société primitive n'est pas une société « sous évoluée », société

peuple prend part aux décisions, et qu’elle est composée par plusieurs institutions. Premièrement, un survol des réformes de Clisthène sera présenté, suivi d’un bref historique de la politique à Athènes, puis les critères de la citoyenneté et les classes sociales seront énoncés et pour terminer, les institutions fondamentales athéniennes seront présentées. Au Ve av. J.-C., un nouveau système politique apparaît à Athènes : il s’agit de la démocratie. Mais qu’est-ce que la démocratie? À l’époque

la retraite de l’École Dominique-Racine de Chicoutimi, Québec et collaboratrice bénévole Courriel: mailto:mabergeron@videotron.ca Site web: http://www.geocities.com/areqchicoutimi_valin Dans le cadre de la collection: "Les classiques des sciences sociales" dirigée et fondée par Jean-Marie Tremblay, professeur de sociologie au Cégep de Chicoutimi Site web: http://www.uqac.uquebec.ca/zone30/Classiques_des_sciences_sociales/index.html Une collection développée en collaboration avec la Bibliothèque Paul-Émile-Boulet

civils. Cet effacement de la dette constitue une étape importante dans l'évolution d'Athènes vers une citoyenneté démocratique. Si la mesure a avant tout un caractère économique, elle témoigne aussi, pour la première fois, d'une préoccupation sociale associée à une volonté politique. • La nouvelle citoyenneté : La sisachtie s'accompagne d'une série de réformes : la nouvelle législation porte sur la famille, les droits de succession, la circulation et le commerce des biens de première nécessité

assemblée Les citoyens étaient répartis en 4 classes censitaires (c’est-à-dire en fonction de leurs revenus) qui permettaient notamment d’organiser l’armée : 1ère classe des pentacosiomédimnes (généraux et chefs de la flotte) ; 2ème classe des hippeis (cavaliers) ; 3ème classe des zeugites (hoplites) ; 4ème classe des thètes (rameurs). Les citoyens sont aussi organisés en 10 tribus et chaque tribu est toujours composée d’éléments de toutes les classes sociales et de toutes les régions (grâce au système

première fois dans le Bulletin économique et social du Maroc, n° 138-139, 1979, p. 105 à p. 119. Reproduit avec l’aimable autorisation de la Société d'études économiques, sociales et statistiques, Rabat, Maroc. A Paul Pascon’s text first published in Bulletin économique et social du Maroc, n° 138-139, 1979, pp. 105-119, and published here with the kind authorization of the editor. Texto de Paul Pascon publicado por primera vez en Bulletin économique et social du Maroc, n° 138-139, 1979, pp. 105-119 y