Torture 18ème

TEXTE BAC X CHARLES BAUDELAIRE, RECEUILLEMENT Auteur du 19eme siècle, Charles Baudelaire est connu pour sa vie de bohème. Poète torturé, il publie en 1857, un recueil de poèmes, Les Fleurs du Mal. Cette œuvre fut condamnée et censurée dès sa parution car estimée choquante pour la morale bourgeoise. Baudelaire y met en lumière la dualité qui s’exprime entre violence et volupté, beauté et laideur, enfer et Ciel. Le poème Recueillement s’inscrit dans ce recueil et traite de l’intimité de Baudelaire

En ce matin d’hiver, d’une obscurité et d’une bise glaçante traversant sa mince veste, elle marchait dans un silence de mort. Elle suivait d’un pas régulier le chemin de bitume sans prêter attention aux chuchotements. Elle rentra dans le hall regarda, fixa, chercha. Elle avait à sa droite quelques casiers de divers coloris ; tandis que des bancs alignés accueillaient les élèves à la mine macabre. Elle avança vers l’extrémité de la pièce austère qui, éclairée par des néons pales et blafards s’apparentaient

Garcin se sent épié, scruté par quelqu’un de malveillant et mal élevé. c) Une affectation de virilité et de courage Garcin prend un engagement solennel vis à vis de lui-même et des autres : il se fait fort d’être courageux, héroïque face aux tortures physiques (ou morales) comme l’indique les futurs de certitudes ≪crirai≫ (l.3), ≪gémirai≫ (l.4). Aux lignes suivantes ce caractères trempé se manifeste dans la répétition du verbe ≪vouloir≫ à la forme affirmative puis négative. B) L’incompréhension

Dans cet extrait de la tragédie « Phèdre » de Racine, le personnage principal dévoile son amour à son beau-fils, Hippolyte malgré toute sa honte et sa souffrance. De quelle manière ce sentiment se manifeste-t-il ? Tout d’abord, le champ lexical de la haine et de la violence (l.47 : « monstre », l.56 : « ta haine », l.49 : « ce monstre affreux »), omniprésent dans le récit et la ponctuation forte (l.48 : «  Hippolyte ! ») nous montre à quelle point Phèdre souffre de son amour incestueux.

et bourgeois qu’est le docteur B… est en effet torturé comme le furent tous ceux qui voulaient rester fidèles à l’Autriche mais dont la Gestapo espérait pouvoir tirer profit : « la pression qu’on voulait exercer sur nous pour nous arracher les renseignements recherchés était d’une espèce plus subtile que celle des coups de bâton et des tortures corporelles » (p. 51). M. B… connaît ainsi les interrogatoires dépourvus de violence physique et la torture psychologique qui les accompagne cependant. 2.

commentaire : une histoire sans nom Introduction : C’est à une scène d’horreur sanglante digne de figurer dans le scénario d’un film d’Hitchcock (Psychose) à laquelle Jules Barbey d’Aurevilly, nous convie, dans l’extrait p96 à p98 d’une « Histoire sans nom » (Edition G-F 12714 - septembre 1990). Le romancier aux idées monarchistes, de surcroît très catholique, nous conte une histoire se situant aux tous débuts de la Révolution française. Il s’agit d’un relation quasiment en tête-à-tête,

un contrôle physique de la population : même un tic facial peut provoquer une arrestation. Les individus effectuent tous un travail harassant pour maintenir la population dans un état de fatigue extrême, ce qui accroît leur niveau d’obéissance. La torture est également une pratique généralisée, signe que le corps appartient à l’Etat. L’histoire, de même, est contrôlée puisque le Parti réécrit les archives 1984 est donc un roman dont la teneur philosophique est évidente : ses thèmes (subjectivité, Etat

développé des arguments différents. Pour Victor Hugo, l’abolition de la peine serait un progrès (lignes 4 à 5) : « L’adoucissement de la pénalité est un sérieux et grand progrès. Le dix-huitième siècle, c’est là une partie de sa gloire, a aboli la torture, le dix-neuvième siècle abolira la peine de mort. » et tôt ou tard elle sera abolie (ligne7 à 8). De plus, les trois caractéristiques morbides de la peine de mort  sont nuisibles à la société, ce qui rappelle l’idée du premier argument de Victor Hugo

côtés ma perte était certaine : J’ai repoussé la mort, je la reçois pour peine ; D’un péril évité je tombe en un nouveau, Et des mains d’un rival en celles d’un bourreau. Je frémis au penser de ma triste aventure ; Dans le sein du repos je suis à la torture ; Au milieu de la nuit et du temps du sommeil Je vois de mon trépas le honteux appareil, J’en ai devant les yeux les funestes ministres ; On me lit du Sénat les mandements sinistres ; Je sors les fers aux pieds, j’entends déjà le bruit, De l’amas

souvent été représentée comme étant banale comme si le christ n’avait pas souffert on peut le voir dans certains tableaux comme celui de Andrea nommée prédelle du polyptique de saint Zénon alors qu’en réalité cette méthode d’exécution relève de la torture qui inflige de longues et douloureuses souffrances. Il ne faut pas oublier que le christ ne fut pas le seul à avoir été crucifié et que de nombreuses crucifixion ont été faites, les premières ayant été faites par les perses les autres peuples ont