Topos Romanesque

différenciant de la nouvelle, distinction relativement récente. Pour mémoire, nous vous rappelons qu’au XIXe siècle, la distinction ne se faisait pas encore. Le conte, c’est la magie du verbe, la magie de la parole. C’est aussi un récit populaire romanesque ou d’aventures, ancré dans le folklore et les traditions, le plus souvent plaisant, qui met en scène des personnages merveilleux, c’est-à-dire dont les caractéristiques diffèrent de celles des humains. Le lieu et le temps ne sont pas identifiables

parole à ses personnages et recourt à toutes les formes de discours (direct, indirect, indirect libre). Il utilise des éléments dramatiques, et définit la fable comme « une ample comédie à cent actes divers ». Mais on y trouve aussi des éléments romanesques et épiques. n Si le « corps » de la fable est l’objet d’un travail stylistique précis, il n’en reste pas moins que c’est son âme qui lui donne un sens. cours ➜ 3. Un récit fait pour instruire n La Fontaine a toujours affirmé la fonction

va plus de soi : la littérature est souvent remise en question. 10 Fiches de révision-FR40 • Au début du siècle, les écoles (naturaliste, symboliste) s’effacent. Les écrivains prônent la liberté poétique (APOLLINAIRE) ou l’exploration romanesque du moi (PROUST). • Le surréalisme (1924-1940) Il entend rompre avec le conformisme littéraire pour libérer le langage de toutes les entraves de la morale et de la conscience (BRETON, ARAGON, ÉLUARD). • La littérature engagée (1930-1960) MALRAUX

parole à ses personnages et recourt à toutes les formes de discours (direct, indirect, indirect libre). Il utilise des éléments dramatiques, et définit la fable comme « une ample comédie à cent actes divers ». Mais on y trouve aussi des éléments romanesques et épiques. n Si le « corps » de la fable est l’objet d’un travail stylistique précis, il n’en reste pas moins que c’est son âme qui lui donne un sens. cours ➜ 3. Un récit fait pour instruire n La Fontaine a toujours affirmé la fonction didactique

parole à ses personnages et recourt à toutes les formes de discours (direct, indirect, indirect libre). Il utilise des éléments dramatiques, et définit la fable comme « une ample comédie à cent actes divers ». Mais on y trouve aussi des éléments romanesques et épiques. n Si le « corps » de la fable est l’objet d’un travail stylistique précis, il n’en reste pas moins que c’est son âme qui lui donne un sens. fées de Perrault). La traduction des contes des Mille et Une Nuits va apporter le goût de

milieu urbain et campagnard, avec cette différence que L’Incendie envisage de le traduire en terme de conflits opposant les fellahs, travailleurs de la terre dont ils ont été dépossédés, et les colons, exploitants et exploiteurs. L’histoire romanesque se chargera de métaphoriser et thématiser ce rapport par la description des lieux et des situations préparant l’évènement incendiaire. A l’ouverture du roman, le prologue met en place les prémisses de l’éveil des consciences qui se manifeste

« horribles ». Pour avoir le demi-point, il faut six occurrences et moins de deux erreurs. b- On attend hyperbole ou exagération. c- On peut parler d’atmosphère inquiétante. Les caractérisations adjectivales relevées plus haut relèvent d’un topos, celui du locus horribilis inverse du locus amoenus : lieu sauvage et effrayant. 3. a- Il s’agit d’une sensation de confort. La nature est assimilée à un lit douillet. b- « Réduire », « réducteur » ou « réduction » sont des mots de la même

Roman original car écrit à la deuxième pers du pluriel => ce qui fait que le «vous» s’adresse au pers mais aussi au lecteur. Ainsi le romancier s’intéresse à la perception du mon de par le pers . Peut aussi reprendre les code romanesque ou utiliser une con crainte ui fait sens avec l’oolipo. III- frontière entre autobiographie et roman pas aussi étanches 1) Dans l’autibio la promesse de vérité factuelle ne peut pas tjrs être tenue car y’a défaillance

existence et prouve ainsi que toute démarche autobiographique ne peut en aucun cas être considérée comme définitive. Comme elle l’écrivait déjà dans L’Amant : « L’histoire de ma vie n’existe pas. Ça n’existe pas. Il n’y a jamais de centre. » 3. Un topos littéraire, la scène de première rencontre (question 5) Duras renouvelle la scène en inversant les rôles traditionnellement dévolus aux personnages (cf. son allusion « aux livres », dont les deux personnages semblent sortir). C’est ici la jeune fille

« examen comparé » et évalue des « types de discours »15 comme d’autres en linguistique textuelle parlent après Bakhtine de genres de discours. On veillera ainsi à lire « la discursivité spéculative » à l’épreuve « du mimétique, du poétique, du romanesque » par exemple, à démontrer comment « la philosophie communique avec la littérature » (ibid., p. 420), ou du moins à relever des « points de passage ou de conversion entre littérature et philosophie » (p. 425). Une telle position a deux conséquences