Topos Romanesque

............................................................................................ 38 Thème, thématique, structure thématique ........................................................................................................... 38 Topos ................................................................................................................................................................... 38 Transtextualité.................................................................

aux splendeurs infinies. Nous discernerons à travers cette sublime morte, une femme fatale funèbre qui malgré sa posture inerte fait l’objet d’un commun accord artistique. Gautier, peintre dans l’âme nous dévoile un tableau ancré dans le tableau romanesque. « J’ai un pressentiment que nous trouverons dans la vallée de Biban-el-Molouk une tombe inviolée » (p.47). C’est par cette prémonition, quasi-prophétique, émise par le docteur Rumphius, que débute le roman. Le lecteur est averti et n’est donc

du Chevalier (« Ce dont ele ot au cuer grant ire », v. 696)17: le terme est certes entendu ici dans son sens fonctionnel, celui 12Glyn 13 S. BURGESS, op. cit., p. 40. Ibid, p.42. 14 Luminita DIACONU, L’imaginaire médiéval de la sexualité: le topos du « cœur mangé », Bucarest, Editura Universitãtii din Bucuresti, 2006, p. 160. 15 Glyn S. BURGESSE, op. cit., p. 41. 16 Ibid, p. 46. 17 Ibid, p. 45. d’organe, mais est également lié aux sentiments puisque ce sont ces derniers qui lui donnent

parle du théâtre, pas livre de farces. C’est une parodie du roman héroïque, personnages modestes, qui subite le rire, il est aussi long, foisonnant, beaucoup de personnages, péripéties invraisemblables, goût pour les structures enchâssées). C’est le ROMANESQUE. A partir de 1650, on se met à préférer la nouvelle. - La « nouvelle » ou « histoire » (Princesse de Clèves, Les Lettres Portugaises de Guilleragues) : la brièveté, une certaine sobriété, une structure linéaire (pas de prolepse, analepse…)

auquel l’auteur le rapproche. = rêverie poétique sr â d’or, inspi arcadienne prste en Europe depuis Renaissance. Chch vers 1780 à se renouveler ds contenu et la forme : prétentions moralisatrices et plus de vie ds intrigue : amène utilisation forme romanesque. Paul et V = accomplissemt de cette mode. Style simple, naïf (//perso naïfs qui ne parlent que par le cœur) ms noble aussi car il est qstion de vertu. Alliage diffcil naïvté-noblesse propre au genre pastoral : idéalisation. -> esthtique de la belle

endure et des menaces qu'il élude grâce à son courage et à son intelligence, Zadig ne parvient pas par lui-même à la compréhension des choses : il a la chance de rencontrer un ermite qui sait le fin mot de tout. Son ascension sociale rapide est un topos des romans picaresques de Lesage et des romans de Marivaux, La Vie de Marianne (1731-1741) et Le Paysan parvenu (1731-1735). Son apprentissage s'arrête quand le héros admet qu'il n'y a rien à comprendre sur la terre. L'ingénu, de la nature à la

beau ; mademoiselle de chartres est encore plus belle. « une beauté » : métonymie (dire le tout pour la partie)  c’est la beauté en elle-même Effet d’idéalisation : on sait qu’elle est très belle mais pas plus (description physique minimale : le topos, cliché de la beauté à l’époque), rien de pittoresque dans le portrait de Mlle de Chartres. Ce qui est fascinant dans sa beauté est qu’elle est envisagé du point de vue des autres personnages : le regard (admiration, surprise). Elle attire les yeux

l’histoire littéraire a longtemps négligée. Qui connaît encore Boisrobert, L’Estoille Mairet, Rotrou et bien d’autres ? Les tragicomédies à la mode, sombrées dans l’oubli le plus total, multiplient à l’excès les péripéties dont le public épris de romanesque raffole. Entre désir de plaire à ses contemporains et volonté de hausser la dignité du texte dramatique au statut de grand texte, donc d’en référer à l’autorité des anciens et en premier lieu d’Aristote, s’installe une tension qui informe tout l’oeuvre

LE MULTIVERS ROMANESQUE Introduction. Le camembert de SIMENON et les antinomies de l’anti-genre romanesque : « Défense de l’Infini ». Autoreproduction du camembert. Métaphore du roman. Roman fait appel à facultés de reconstitution. ‘Le propre du roman c’est de déjouer tous les critères qui permettent de définir’ Encadrer = séquestrer, roman = inséquestrable. Conclusion. La madeleine de PROUST et la dépassement mytho-poétique de ROM (roman occidental moderne). Poétique ? roman = ce qui tend à

médiocre. Emma Bovary, l’héroïne du roman, intoxiquée par ses lectures romanesques et romantiques, se sent à l’étroit dans sa vie. Elle n’aime plus son mari Charles. B) Les éléments essentiels pour l’analyse du texte Il s’agit d’un PORTRAIT, celui de Charles Bovary. Le portrait moral ou physique du personnage est très important dans le roman, car il oriente notre vision et nous fournit des informations . C’est aussi un topos du roman romantique (comparer avec le portrait d’Horace de Beuzeval par