Topos Romanesque

Propontide en passant par Paris. Récit de voyage, roman d’aventures, quête amoureuse, roman d’initiation, la variété de la matière romanesque est le maître mot de ce récit propre à susciter la curiosité du lecteur. b. L’utopie dans Candide Au cœur du récit de Candide, se glisse un autre genre de l’apologue : l’utopie. Ce terme qui vient du grec u-, « non », et topos, « lieu » et qui signifie littéralement « ce qui n’existe nulle part », est celui donné par Thomas More (1478-1534) à la cité idéale

manière de Balzac, Flaubert ou Zola 1-L’évocation du cadre spatio-temporel se fait par touches tout au long du passage, ce qui évite les descriptions liminaires susceptibles d’entraver la dynamique du récit. ( un cadre spatial qui constitue un topos du roman réaliste : Paris, évoqué par « la rue Notre-Dame- de Lorette » qui crée un effet de réel. ( La mention du « restaurant », de la « gargote », du « boulevard » esquisse un cadre banal. ( Le cadre temporel indique une date précise :

Qu’est ce que la dystopie ? On peut dire que c’est le contraire de l’utopie. Utopia est un livre de Thomas More de 1516 qui parle d’une cité idéale c’est là qu’apparait la notion d’utopie. Topos = en grec le lieu U = en grec un privatif Utopie = le lieu idéalisé qui n’existe pas. La dystopie est un terme plus récent, crée plus tard et plus rare. Dys = en grec quelque chose ne vas pas Le préfixe eu en grec ) le bien le bonheur, l’idéal La dystopie = genre littéraire ou cinématographique apparu

une curieuse et inhabituelle rêverie emplie de tristesse vague, qui peut s’apparenter à de la nostalgie, nostalgie peut-être de ses moments où il avait cru à cet amour singulier, qu’il s’était laissé entraîner par la possible réalité du topos des âmes sœurs , ou alors nostalgie du temps où il se caractérisait libertin, n’ayant pas d’attaches sentimentales assez fortes pouvant procurer à des mots un pouvoir aussi prégnant. Finalement sa tristesse est difficilement définissable

du balcon, dans laquelle il est question du rendez-vous entre Roxane et Christian où Cyrano prend la parole à la place de ce dernier.  Une scène incontournable (on appellera ça un amoureux transi. « topos ») de la littérature amoureuse et romanesque.  Le balcon est aussi un lieu qui symbolise l’espace théâtral (cf le théâtre dans le théâtre) et où on peut déclarer sa flamme. En effet, c’est un lieu qui surplombe l’espace scénique. · Nous montrerons dans quelle mesure

ailleurs dans le roman, les notions de décors, d’ambiance, de geste, et enfin car s’y manifeste le travail de style flaubertien et le travail parodique également. I) La traditionnelle scène de rencontre débarrassée de tout romanesque excessif = un topos de la littérature romanesque et sentimentale transposé en étude de mœurs A- Le point de vue est celui de Charles : focalisation interne même si narration n’est pas prise en charge par Charles. Le regard du « connaisseur ». Un passage qui est presque

insu dans un corps et une sexualité de femme. C’est en ce sens que je me con­centrerai sur les poèmes du Tombeau des rois (1953), car là plus qu’ailleurs, topos privilégié de l’inconscient,[5] “expérience mystérieuse et profonde . . ., aventure sin­gulière qui commence dans les ténèbres” (Oeuvre poétique 59). En effet si la fiction romanesque mieux contrôlée est tamisée par son propre genre, de par une distanciation en­tre le créateur et ses personnages, de par la multitude pro­tectrice des voix

( 1 5 10 15 20 )M Lol, frappée d’immobilité, avait regardé s’avancer, comme lui, cette grâce abandonnée, ployante, d’oiseau mort. Elle était maigre. Elle devait l’avoir toujours été. Elle avait vêtu cette maigreur, se rappelait clairement Tatiana, d’une robe noire à double fourreau de tulle également noir, très décolletée. Elle se voulait ainsi faite et vêtue, et elle l’était à son souhait, irrévocablement. L’ossature admirable de son corps et de son visage se devinait. Telle qu’elle apparaissait

attractif et volontaire, (îles de lumière, bienheureuses), tantôt répulsif et contraint. (îles de brume, funestes). Fantasme hédoniste de l'oisiveté lié à la civilisation occidentale des loisirs, miroir en creux des modèles sociaux et politiques, ce lieu (topos en grec) a toujours constitué dans la littérature, une chimère du rêve, des idéaux, des voyages ou de l'évasion dans laquelle se projette l'Occident, des mythologies fondatrices du monde grec aux espaces expérimentaux des XIX° et XX° siècles (l'île-laboratoire

toutes les activités de l=esprit humain en action dans des horizons sans limites. C=est en ce moment la seule littérature vivante du monde entier@.2) Hugo Gernsback ( 1884-1967, Etats Unis ): ALa scientifiction c=est une histoire romanesque attrayante à laquelle se mêlent des éléments scientifiques et une vision prophétique@.3) Frederic Brown ( 1916-1972, Etats-Unis ): ALe fantastique traite des choses qui ne sont pas et ne peuvent pas être. La science-fiction traite des choses