Topinambour

administratif, devaient fermés durant quelques jours par semaine. La faim frappait surtout la ville, et en particulier les jeunes. À défaut de viande et d’autres aliments, on se nourrissait de légumes peu connus à l’époque comme le rutabaga et le topinambour. Les produits tels que le sucre ou le café sont remplacés par des ersatz* (comme la chicorée qui remplaça le café et la saccharine le sucre). L’âge, le sexe et l’activité professionnelle de la personne étaient des critères pour classer les Français

droit qu’à 350g par mois et en 1943, à 260g par mois). Les quantités prévues, déjà faibles au départ, diminuent au cour des années ; en Avril 1943, la ration de viande est de 120g par semaine, à défaut d’autres légumes, on mange du rutabagas ou du topinambour. Les habitants des villes n’ayant pas d’amis ou de famille à la campagne et ceux qui n’ont rien à échanger souffrent beaucoup.      Il faut se débrouiller pour améliorer l’ordinaire. On faisait d’immenses queues devant les magasins, tout le monde

FéculentsCéréales : graine (avoine, blé, riz blanc, riz raffiné, seigle, maïs)Fruits à coque (potimarron, châtaigne…) Fruit sec Légumineuse (lentilles, fèves sèches, haricots sec, pois cassé, pois chiche…)Organes souterrains : -tubercules (pomme de terre, topinambour, patate douce)-produits finis artisanaux ou industriels (chips, pâtes complètes, pâtes raffinées, frites)Pain complet Pain raffiné Activité physique Pendant l’entrainement :Nombre d'heures d'entraînement par jour Pendant les entraînements, que

appartenait[1]. La faim sévissait surtout en ville et affectait les plus jeunes. Les files d'attente s'allongeaient devant les boutiques. À défaut de viande et d'autres aliments, on se nourrissait de légumes peu prisés à l'époque, comme le rutabaga et le topinambour. Les produits tels que le sucre ou le café sont remplacés par des succédanés : les ersatz (comme la chicorée qui remplaça le café). Cependant, certains français (souvent commerçants) tiraient parti du marché noir pour vendre des aliments sans

| Thon | | | 27 | | | Thym | | | | | | Tisane | | | 0 | | | Tisane Richter | | | | | | Tofu | | | 14 | | | Tofu soyeux | | | 5.1 | | | Tomate | | | 1 | | | Tomme de Savoie 10% | | 30g | | | | Topinambour | | | | | | Tourteau | | | 16 | | | Truite | | | 22.4 | | | Truite saumonée | | | 21.5 | | | Turbot | | | 16 | | | Veau | | | 28 | | | Vermicelle | | | | | | Vermicelles de konjac | | | | | | Vermicelles

Ubu : « Soupe polonaise, côtes de rastron, veau, poulet, pâté de chien, croupion de dinde, charlotte russe... / Père Ubu : Eh ! En voilà assez je suppose. Y en a-t-il encore ? / Mère Ubu, continuant : Bombe, salade, fruits, dessert, bouilli, topinambours, choux-fleurs à la merdre. » (figure de style employée par Jarry : l'accumulation ou l'énumération). La « merdre », juron favori de Père Ubu, devient aliment... Ubu offre même à ses invités de goûter à son « balai innommable » (l

annuels comme la betterave ou le maïs ensilage. Les fourrages annuels comprennent toutes les cultures fourragères occupant le sol au maximum un an. Ce sont par exemple le maïs fourrage, le chou fourrager, le colza fourrager, la betterave, le topinambour… Ces fourrages, extrêmement nombreux, ont le double intérêt : apporter à des moments précis de grandes quantités de nourriture soit à consommer immédiatement soit à conserver pour les périodes où il n'y a plus d’herbe. Atteindre pour certains

verres de Murano, et la faïence (de Faenza, à côté de Ravenne), poterie recouverte d’émail. Les produits du nouveau monde : Les artichauts venus de Sicile, les cardes d’Espagne, le maïs du Pérou, la dinde du Mexique, la pintade d’Afrique, le topinambour, la tomate, le piment, le haricot, la pomme de terre, le café et le chocolat viennent d’Amérique. Le XVIIe siècle : naissance de la grande cuisine. Pierre La Varenne publie en 1651 « le Cuisinier françois ». L.S.R. le trouve passéiste. Le prix

culture de produits de saison, donc non pas de tomates en hiver, mais plutôt des carottes, des pommes de terre…. Enfin cette agriculture permet de redécouvrir des saveurs perdues, grâce à la culture de légumes et fruits oubliés, comme le panet, le topinambour… Au niveau environnemental, l’agriculture biologique a un réel intérêt. En effet, elle respecte d’avantage les sols, car elle n’utilise pas de produits chimiques, mais aussi grâce à la jachère qui laisse les sols se reposer entre deux cultures

tubercules Les racines et tubercules (Document 8) résultent de l’accumulation de réserves glucidiques dans les parties souterraines des végétaux : racines de betterave, de carotte, de navet, de rutabaga et de manioc, tubercules de pomme de terre et de topinambour. Ce sont des aliments appétents et rafraichissants qui remplacent l’herbe lorsque le cheval n’y a pas accès. (C. Drogou & al., 2004) Les aliments concentrés Les aliments concentrés (Document 9) ont une teneur en énergie nette élevée par kilogramme