Société française d'anesthésie et de réanimation

l’agent en charge de la vérification. Qu’est-ce que le chariot d’urgence ? Afin d’analyser au mieux cette situation il est nécessaire de bien comprendre ce qu’est le chariot d’urgence et quelle est son utilité. D’après la Société Française d’Anesthésie et de Réanimation (SFAR), le chariot d’urgence est un outil qui doit permettre d’agir sans délai et de palier à une ou plusieurs grandes fonctions d’un patient. Il regroupe ainsi dans un même lieu le matériel et les médicaments nécessaires. Le

du bloc opératoire m'attire. J'ai pu développer au cours de formation un intérêt pour la pharmacologie. C'est ainsi que présenter l’exercice professionnel d'infirmier anesthésiste m'a semblé évident. L'exploitation de diverses recommandations des sociétés savantes, le visionnage de témoignages vidéo d'infirmières anesthésistes, la rencontre avec une formatrice infirmière anesthésiste m’ont permis de développer des connaissances dans ce domaine. Ce travail présente ainsi les caractéristiques de cet

la qualité de la prise en charge globale des malades hospitalisés. Le constat d’une prise en charge insuffisante de la douleur post-opératoire (DPO) en 1997 a motivé l’élaboration d’une conférence de consensus, organisée par la Société Française d’Anesthésie et Réanimation (SFAR), sous l'égide de l’Agence Nationale d’Accréditation et d’Evaluation en Santé (ANAES), publiée le 12 décembre 1997 [1]. Dix ans plus tard, des progrès ont été réalisés, comme le prouve l’audit national réalisé en France entre

douleurs chroniques. Le domaine de la médecine qui étudie et pratique l'anesthésie est l'anesthésiologie. Cette spécialité médicale est récente, et elle a révolutionné la médecine en permettant une chirurgie de qualité. L'utilisation de techniques d'anesthésie modernes est un des pilliers de la récupération rapide après chirurgie qui réduit les complications et permet au patient de retrouver plus rapidement ses moyens et son autonomie. Mécanismes Le terme général anesthésie englobe trois effets majeurs :

n pat ien 4 sabi lités anisatio n de l'av al I-B : Im plica tion du patie nt Evolution Rôle 23 5 13 44 Définition et impact 12 43 41 II-F : Urgences rson ne l e rtur I-C : Modes d'anesthésie Gestion du risque 25 I-D cialisés" res "spé ulatoire amb II-B : Cent italisation en hosp nt tie pa it du ircu :C ns / Offre II-E : Pe :A ptitu de 6 à la Personnel non médecin anesthésiste 26 24 d'ou

IAR : Infirmier anesthésiste réanimateur IFCS : Institut de formation aux carrières de santé Inserm : Institut national de la santé et de la recherche médicale MAR : Médecin réanimateur ORL : Oto-rhino- laryngologie SFAR : Société Française d'Anesthésie-Réanimation SSPI : Salle de surveillance post-interventionnelle VAS : Voies aériennes supérieurs Introduction L’extubation en chirurgie ORL, est une situation fréquente et complexe à cause des pathologies rencontrées et du type de

de 39 ans est opérée d’une méatotomie par voie endonasale sous anesthésie générale. Elle présente comme antécédents de l’asthme et une hypertension artérielle traités. Et présente une obésité avec un indice de masse corporelle >30. Le protocole d’anesthésie est le suivant : Remifentanil®/Propofol® sous A.I.V.O.C pour l’induction et l’entretien, puis un relais par morphiniques (Morphine) à visée antalgique en fin d’intervention. La durée de l’intervention est d’environ 90 minutes. Le réveil se fait

LE LIVRET D’ACCUEIL DES ELEVES EN SOINS INFIRMIERS EN REANIMATION Bienvenue dans le service de réanimation. Le livret que nous venons de te confier a pour principal intérêt de te permettre d’avoir une formation théorique et pratique la plus complète. Nous verrons tout au long de ce stage comment il sera utilisé afin de suivre de près ta formation et comment il permettra finalement de remplir un rapport de fin de stage le plus précis possible. Nous te souhaitons donc la bienvenue et espérons

surveillance post interventionnelle (SSPI). Pour la prise en charge anesthésique de ces gestes d’endoscopies, il n’existe pas de « petite anesthésie ». Même une sédation, pour un geste court, nécessite l’attention et les compétences d’une équipe d’anesthésie-réanimation. La sédation étant un acte anesthésique, pourquoi est-elle requise dans le cadre de cet examen ? La sédation n’est pas systématique pour les endoscopies. Cependant, certains patients ne tolèrent pas l’acte endoscopique parce qu’il est désagréable

la qualité de la prise en charge globale des malades hospitalisés. Le constat d’une prise encharge insuffisante de la douleur post-opératoire (DPO) en 1997 a motivé l’élaboration d’une conférence de consensus, organisée par la Société Française d’Anesthésie et Réanimation (SFAR), sous l'égide del’Agence Nationale d’Accréditation et d’Evaluation en Santé (ANAES), publiée le 12 décembre 1997 [1]. Dix ans plus tard, des progrès ont été réalisés, comme le prouve l’audit national réalisé enFrance entre