Théâtre De La Cruauté

Recherches français Etymologie du mot théâtre Nom qui vient du grec theatron qui passe ensuite en latin theatrum  Ce mot signifie "théâtre, lieu de représentation " et vient du verbe grec theaomai qui signifie "regarder, contempler" D'après son étymologie, ce mot signifie donc " théâtre,<lieu> où l'on regarde ". Le mot désignant le lieu où se déroule les pièces de théâtre est apparu en français en 1213. Le sens "art du théâtre" est apparu entre 1381 et 1389. Le mot est utilisé dans le langage

L'Imitation de Jésus-Christ (1651 – 1656) (trad de Thomas a Kempis) • Essai sur le théâtre : Examens et trois Discours (1660) Mouvement littéraire • Le baroque traduit les inquiétudes liées à l’instabilité politique et religieuse (les guerres de religion opposent catholiques et protestants) et aux tourments métaphysiques (les découvertes de Copernic révèlent que la terre n’est pas le centre du monde). • Il trouve dans le théâtre l’expression privilégiée de ses thèmes de prédilection : la métamorphose,

philosophique : Le mythe de Sisyphe et cette pièce de théâtre. Le choix du personnage éponyme date de sa prime jeunesse lorsque, jeune étudiant brillant, il traduisit avec curiosité de nombreux passages de la Vie des douze Césars de Suétone et qu’il découvrit à travers les textes de l’historien romain des détails de la vie du terrible tyran qui nourrirent son inspiration. En effet, cet empereur décadent, célèbre par ses débauches et sa cruauté, marque la Rome antique du Ier siècle après Jésus-Christ

s’équilibrent, et témoignent d’une vitalité globale qui ne peut qu’attirer. Mais que se passe-t-il dès que l’un des animaux remporte la victoire sur l’autre ? Ce n’est plus alors au spectacle de la vie que nous assistons, mais à celui de la mort et de la cruauté. Le monde ne revêt plus qu’un point de vue, qui est celui du vainqueur. À ce moment-là, la nature ne se révèle plus dans sonabondance, mais au contraire dans son insuffisance, du moins aux yeux d’un être humain. La nature s’apparente à un ensemble

remporte un véritable succès. En 1663, il se trouve à Paris sous la protection de son cousin. Passionné pour la littérature, il songe déjà au théâtre. Il s'établit donc à Paris et décide de devenir auteur. Il compose une Ode sur la convalescence du roi qui lui fait obtenir l'année suivante une pension qu'il conservera jusqu'à sa mort. Débuts dans le théâtre Racine réussit à faire accepter par Molière sa tragédie La Thébaïde ou Les Frères ennemis (1664). L'année suivante, Alexandre le Grand

qualifier cette pièce, aux plus grands désespoirs de nos deux personnages. Le dilemme s’exprime par leurs propos qui rentrent en parfaite opposition. Dans une même tirade, parfois d’une phrase à une autre, Bérénice prononce de nombreuses oxymores : « cruauté/plaisir » ou encore « amour/haïr ». Ces figures de styles révèlent l’état de confusion dans lequel, elle se trouve, elle divague. Par des questions, elle tente de comprendre la haine que le peuple ressent pour elle, alors qu’elle aime éperdument leur

d’amateurs, le ‘’Théâtre du Travail’’, qui voulait toucher le public ouvrier, puis, en 1937, une autre, le ‘’Théâtre de I'Équipe’’, dont le «manifeste» disait qu’il «demandera aux oeuvres la vérité et la simplicité, la violence dans les sentiments et la cruauté dans I'action». On croit entendre Antonin Artaud, et peut-être Camus avait-il lu, mais on I'ignore, le roman que celui-ci avait publié en 1934, ‘’Héliogabale ou l’anarchiste couronné’’ (un empereur romain fou), et qui annonçait son «théâtre de la cruauté»

valeur, d'autant plus qu'il est formulé par Camus, contemporain de Roblès, lui aussi né en Algérie et actif dans la Résistance contre l'occupant lors la seconde guerre mondiale, reconnu pour son théâtre engagé. Ce jugement souligne le lien entre la pièce et son époque : “elle s'accorde à la terrible cruauté du temps sans cesser de se référer à une pitié vieille comme le cœur humain.” On retrouve ici les deux ressorts du tragique précédemment mentionnés. LES DIDASCALIES INITIALES  Traditionnellement

LES BONNES Nous en sommes en présence d’une pièce de théatre, les Bonnes, écrit par Jean Genet en 1947, période de l’absurde. Jean Genet est un écrivain, poète, et dramaturge français du XXème siècle. Il s’est inspiré pour écrire cette œuvre d’un fait divers : le crime des sœurs Papin qui ont tué leurs maîtres dans des conditions monstrueuses.Dans cette pièce, il cherche à mettre en évidence les relations conflictuelles entre maitresse et bonnes. Solange et Claire toutes deux sœurs, cherchent

effets propres au tragique ou au comique.  - faire percevoir les grands traits de l'esthétique classique  - donner des repères dans l'histoire du genre. Textes étudiés : Phèdre OI : -ActeI, sc1 - ActeI, sc3 - II, 5 «PHÈDRE, à Œnone, dans le fond du théâtre. - Etude comparative ACTEIII, sc2 et 6 - Acte IV, scène 6  -Acte V, scène 6 Corpus comédie : - Tartuffe, (I, 1) du début, jusqu’à « voyez la langue ! » -Amphitryon Acte I, sc2 Perspectives complémentaires : les sources antiques : Euripide et Sénèque Lecture