Théatre Didactique

DISSERTATION Sujet : Comment le théâtre permet-il une représentation du pouvoir, dans quel but ? Méthode : Question ouverte qui ne permet qu’un raisonnement analytique. Plan donné par L’énoncé lui-même : I/ Différentes représentations du pouvoir ; II/ Les visées Il faut bien expliquer et développer tous les arguments, les valider par des Exemples (eux-mêmes minutieusement expliqués pour démontrer la pertinence de Leur

habituellement trois périodes au dix-septième siècle. De 1590 à 1623, c’est une période relativement faste pour le théâtre et le genre comique en particulier : la fin des guerres de religion, le renouveau de la création, une plus grande liberté sociale et politique laissent libre cours à un théâtre relativement varié, avec en tout cas très peu de règles, et une place importante donné au théâtre de foire, itinérant  dans lequel Molière s’illustrera. Deux genres sont alors privilégiés : la pastorale (ou

langage  il parle de + en +. A la fin, Arlequin tutoie son ancien maitre. Evolution des didascalies, il y a un renversement de situation. Temps du passé -> futur proche Pas qu’une scène comique  invite à réfléchir II. Un renversement 1/ Un théâtre subversif - Théâtre subversif rejet du maitre + affirmation de soi Epée/gourdin= métonymie du pouvoir : symbolise le pouvoir, lié a Iphicrate, donné par Trivelin à Arlequin. Jeu des temps : passé (statut d’Arlequin comme esclave), présent (refus d’obéir, de

l’utilisation d’un registre didactique. Le ton de la pièce se trouve souvent sentencieux, l’auteur utilise beaucoup de métaphore faisant office de morale au présent de vérité général, tel que les dires de la Marquise de Cibo envers Alexandre : « Ceux qui mettent les mots sur leur enclume, et qui les tordent avec un marteau et une lime, ne réfléchissent pas toujours que ces mots représentent des pensées, et ces pensées des actions » (I, 3). On voit aussi ce registre didactique au service de morales politiques

mise en scène de la pièce d'un auteur qu'il aime bien malgré le fait de ne pas saisir totalement le sens de son texte.  Au cours de ces échanges quelque peu elliptiques où les uns et les autres esquivent la confrontation sur ce qu'il en est du théâtre dans son rapport avec la réalité, des relations entre  comédiens et  metteur en scène; au moment crucial de la discussion surgissent de l'ombre côté cour  un groupe de gens mené par un homme en gabardine beige, aux allures assez bizarres. Grand, légèrement

ces grecs s’emportent avec des passions irréelles il n’y a que deux états qui existent pour eux : la mort et le malheur. La tragédie est le théâtre du faux vaniteux, vous-pensez vous au dessus de la réalité ? - La vie est bien trop banale pour la raconter, la tragédie est faite pour purger l’homme du péché. - La terreur et la pitié ne sont pas didactiques, l’âme du spectateur n’est pas une république bananière, on n’y préside pas par force, c’est un fort bien gardé où chaque porte à une sensibilité

antique : dans la comédie italienne, la comédie classique française au XVIIe et au XVIIIe siècles, de Plaute à Beaumarchais, jusqu'au théâtre de Feydeau, de Courteline, ou même jusqu'au nouveau théâtre, chez Ionesco ou Genet. On les trouve également dans tout le théâtre européen, chez Calderón, Goldoni, Shakespeare ou Brecht. Pourquoi cette permanence ? Le théâtre se fait ici le reflet d'une réalité historique : de nombreux éléments dans sa structure sociale, en particulier dans l'organisation

le comique -ils font rire le publique -tragique dans la didascalie initiale "le théâtre représente un palais" (le palais est le lieu de ttes les tragiédies) -mise en abîme puisque DJ meurt à la fin b) Deux systèmes de pensé opposés -S joue 2 jeux vis à vis de D.J. -il l'admire -D.J le répugne -Il se permet de critiquer D.J comme s'il était le maître. Il essai de s'en approcher en utilisant un ton didactique avec Gusman. Il joue le role du prof. Il joue avec comme un acteur avec le publique

éprouve le besoin de rire. Il sert à plaire et divertir le spectateur. Il s’agit d’amuser les gens et de leur faire passer un bon moment. Le théâtre se prête particulièrement bien au registre comique grâce à son aspect visuel, à sa dimension de spectacle, à la mise en scène et aussi par l’effet de groupe. Grâce à cela, le rire devient communicatif. Le théâtre a su exploité différents types de comiques: - Le comique de situation réside dans la situation incongrue ou paradoxale. En effet tel ou tel

parution +, si l’œuvre a été traduite, mention de la langue d’origine et du nom du traducteur. L’auteur fait-il parti d’un mouvement littéraire particulier ? A quel genre l’œuvre appartient-elle (poésie [lyrique, satirique…], théâtre [comédie, farce, tragédie, drame romantique, théâtre de l’absurde…], roman [type de roman à préciser], nouvelle, conte, littérature d’idées…). Indiquer rapidement le contexte biographique (à quel moment de la vie de l’auteur l’ouvrage a été écrit) et historique (l’œuvre s’inscrit-elle