Tfe Soins Palliatifs

ECJS Soins palliatifs ou euthanasie? Janvier 2005 Introduction Depuis quelques années, l'espérance de vie ne cesse d'augmenter. De nos jours, elle est d'environ 80 ans avec un avantage pour les femmes. Malgré tout, en augmentant le nombre d'années à vivre chez l'Homme, on ne retarde pas les maladies dues à la vieillesse. Ces maladies, qui réduisent la mobilité des personnes âgées et qui entraînent souvent la diminution de l'activité neuronale, nécessitent des soins

En cas d'euthanasie active qui peux être considéré comme délit criminel En cas d'euthanasie passive c'est la non assistance a personne en danger qui est condamnable même si elle n'aboutit pas forcément a la mort En revanche on peut refuser des soins ce qui revient a de l'euthanasie passive , l'acharnement thérapeutique Cela pose un problèmes particulier par rapport a la logique de l'euthanasie, S'il s'agit d'une personne activement maintenue en vie par des moyens techniques se pose la question

BPA-PEC-0806-SOINSCORP LES SOINS DE SUPPORT EN CANCEROLOGIE RECOMMANDATIONS – SOINS DU CORPS Date de création : 15/02/2006 Version : 2 Date de validation : 19/06/2008 REDACTEUR (S) Groupe de travail ONCORA SOINS PALLIATIFS « Soins d’hygiène et de confort » Membres du groupe de travail : ARQUILLERE Agnès, Socio esthéticienne, CRLCC Léon Bérard, Lyon ; BARBAULT Yveline, Coiffeuse, CRLCC Léon Bérard, Lyon ; BEN ABDESSELEM Leila, Assistante Méthodologiste, ONCORA, Lyon ; BOURGEOIS-PIN Marie

dernières années, les notions de performance et d’optimisation des ressources sont apparues. L’arrivée de la tarification à l’acte (T2A) depuis 2007, a raccourci les durées moyennes de séjour à l’hôpital. La politique actuelle est de favoriser les soins à domicile. A domicile, comme en milieu hospitalier, les soignants sont confrontés à la douleur de l’autre en permanence. Mon expérience d’aide soignante à domicile m’a confronté à différentes situations de prise en charge de la douleur. J’ai pu

entourage, soignants….) - Fanny 1an = la patiente, hospitalisée depuis sa naissance, douleurs atroces, montre des signes de vie. - Père = en souffrance, en retrait (fuite ?) - Mère = espoir - Soignants = équipe clivée entre soins palliatifs et poursuite du traitement - Médecin dans l’impasse mais poursuit le traitement => aucune amélioration - Comité éthique a décidé de plus faire de grosse réanimation  • Qui cherche ou veut quoi ? – Que veut fanny ? Ne peut

l’intérêt de leur tâche et remettent en question le sens de toute l’entreprise thérapeutique. Goldenberg souligne alors que ce ne sont pas seulement les soignants en tant qu’individus qui sont concernés ; c’est, à un autre niveau, l’institution de soins qui est en crise, car elle est incapable de trouver dans ses références le moyen d’assumer les difficultés de sa fonction et de soutenir ses propres membres. C'est cette incapacité institutionnelle qui engendre selon lui l’idée de faire appel à un

à l’échec entre dans la catégorie de la non assistance à personne en péril. L’argumentation qui va suivre démontrera l’importance qu’il y a pour fournir une réponse pertinente, à dissocier l'arrêt du traitement curatif de l'arrêt du traitement palliatif. A - les qualifications possibles en droit pénal de l’acte euthanasique
 1 - les qualifications possibles en droit pénal Le Code pénal définit, à l’arrêt 221-1, le meurtre comme étant « le fait de donner volontairement la mort à autrui»

fin de vie? Acharnement ? Euthanasie? Soins palliatifs ? Dr Christophe TRIVALLE Service de Gérontologie et Soins Palliatifs Hôpital Paul Brousse « Nombre de débats actuels initiés par les pouvoirs publics me semblent redoutables. Ainsi en est-il des débats sur l ’euthanasie, l ’acharnement thérapeutique, le secret médical, dont je crains qu ’ils ne masquent, sous un alibi éthique, des préoccupations inavouables tels que le rationnement des soins et l ’obligation sociale de mourir. »

Introduction Dans le cadre de l’unité d’enseignement 4.7 relatif aux soins palliatif et fin de vie, je vais vous parler de la situation de monsieur Jean. Selon le programme national de développement des soins palliatifs de 2002 : «  Les soins palliatifs et l’accompagnement concernent les personnes de tous âges atteintes d’une maladie grave, évolutive mettant en jeu le pronostic vital, en phase avancée ou terminale. […] Les soins prodigués visent à améliorer le confort et la qualité de vie et à soulager

prématurés. II y aura ensuite présentation des principales objections de la partie adverse. Celles-ci traitent du caractère sacré de la vie ainsi que de l'inutilité d'avoir recours à une solution si radicale alors que s'offre à nous une multitude de soins palliatifs. 2. Prise de position D'abord, rappelons qu'il est question de suicide assisté et non d'euthanasie. II est donc important de préciser le sens de ces termes. L'euthanasie se définit comme étant l'ensemble des méthodes procurant une