Tfe Soins Palliatifs

une discussion et réflexion indispensable entre le malade, le médecin et l'équipe médicale. Elle considère la personne de confiance comme le référent de l'équipe médicale. Elle légitime la limitation ou l'arrêt des thérapeutiques actives (soins curatifs ou suppléance vitale: ventilation artificielle.) Elle encourage l'information et le consentement du patient, la mise en place d'une collégialité ; La réflexion est collégiale mais la décision est médicale. Transparence, traçabilité.

sommaire ……………………………………………………. P.1 * Présentation de l’unité de soins ………………………………… P.2-3 * Présentation de la personne soignée ……………………………. P.4 * Présentation du soin ……………………………………………. P.5-8 Présentation de l’unité de soins Le service de chirurgie ORL (oto-rhino-laryngologie) du CHL de Lens

1. Commentaires de trois situations de soins palliatifs Situation n°1 Mr A, 65 ans, est hospitalisé pour des douleurs causées par son cancer du rein métastasé. Il bénéficie dans ce contexte de soins palliatifs puisque selon la loi du 9 juin 1999 visant à garantir le droit à l'accès aux soins palliatifs : «  Toute personne malade dont l'état le requiert a le droit d’accéder à des soins palliatifs et d'accompagnement ». Les soins palliatifs et d'accompagnement sont dispensés dans le service

référente du suivi pédagogique : XXX Thème : Les soins palliatifs Références bibliographiques : Sylvie GAROCHE, Le malade a son mot à dire, dossier soins palliatifs, La revue de l’infirmière, Janvier 2013, n°187, p26/27. Informations sur l’auteur : Sylvie Garoche a une licence de lettres, et a commencé à écrire sur la fin de vie après de décès de son mari. Malgré cette épreuve, elle garde un regard positif sur les unités de soins palliatifs. Elle est l’auteur de Quand la vie tutoie la mort

1 Introduction Dans les années 1950, il y a eu une augmentation des décès à l'hôpital, d'où l'émergence du mouvement des soins palliatifs en France, plusieurs années plus tard. D'après le programme de développement des soins palliatifs 2008-2012, Les soins palliatifs sont des soins actifs, délivrés par une équipe multidisciplinaire, dans une approche globale de la personne atteinte d'une maladie grave, évolutive ou terminale. Ils ont pour but de préserver la meilleure qualité de vie possible

introduirai les droits des hommes en fin de vie, j'expliquerai aussi ce qu'est la dignité avant de répondre à la question que tente de poser mon travail. Dans cet ouvrage, vous trouverez également un témoignage une ancienne infirmière des soins palliatifs. Vous découvrirez des photos qui j'espère, vous permettront de visualiser certains changements au niveau des aspects de la mort. Conclusion : En résumé, par le chapitre 1 nous apprenons les différences

de l'interdiction de donner la mort, elle dénonce désormais l'acharnement thérapeutique3 et donne le droit aux patients d'accéder aux soins palliatifs4 et de refuser un traitement médicamenteux. Durant son discourt de 2007, N. Sarkozy prononça quelques mots sur l'euthanasie. Il ne donna pas d'avis tranché, mais il parla surtout de favoriser les soins palliatifs. Il refusera toutes les demandes d'euthanasie que Chantal Sébire5, atteinte d'une tumeur rare en phase terminale, lui formulera en 2008

l'euthanasie signifie : provoquer ou hâter la mort pour abréger les souffrances. On distingue:       L'euthanasie active : Elle suppose le geste d'un tiers qui donne la mort.      L'euthanasie passive : C'est l'arrêt des traitements (sauf soins palliatifs) qui abrège la vie lorsque le cas est désespéré. Certains contestent cette distinction au motif que l'euthanasie passive serait un refus d'acharnement thérapeutique (légal). L’euthanasie, comme on sait, est « une action ou une omission qui vise

Analyse de pratique numéro 1 : Monsieur L. 87 ans, dépendant, suivi par une unité mobile de soins palliatifs. Monsieur L., ne pouvant plus s’alimenter seul, a besoin d’une aide. Ne pouvant plus mastiquer, et faisant des fausses routes, son alimentation se compose d’aliments mixés ou en crème, et d’eau gélifiée. En premier lieu, j’ai recherché des informations de base sur le patient, à savoir son nom, âge, habitudes de vie, ainsi que le motif d’entrée et les risques liés à sa santé. Cet

unités de soins -Ambulanciers, brancardiers pour le transfert et le transport des patients - Institutions de soins de suite, de rééducation et les infirmières à domicile pour la continuité de la prise en charge à l’extérieur de l’institution -Services sociaux pour transferts et sorties des patients -Institut de formation pour l’encadrement des stagiaires Cadre réglementaire -Circulaire DGS 3D du 26 aout 1986 (dite Laroque) : 1ère circulaire relative à l’organisation des soins palliatifs