Tempérance

nous attire vers lui, et dont l’absence nous attriste. Rien n’est plus admirable que d’être maître de ses désirs, et donc de ses plaisirs ; d’autant plus que la tempérance porte souvent sur les plaisirs à la fois tactiles, susceptibles de débordements, et naturels, comme le plaisir de la nutrition, ou le plaisir sexuel. La règle de la tempérance est simple, il faut s’en tenir à ce qui est nécessaire pour vivre humainement. Ainsi le plaisir éprouvé n’en a alors que plus de valeur. On remarque alors

meilleure nature, et, ne pouvant fournir à leurs passions de quoi les contenter, ils font, par pure lâcheté, l'éloge de la tempérance [492b] et de la justice. Et, dans le vrai, pour ceux qui ont eu le bonheur de naître d'une famille de rois, ou que la nature a faits capables de devenir chefs, tyrans ou rois, y aurait-il rien de plus honteux et de plus dommageable que la tempérance? Tandis qu'ils peuvent jouir de tous les biens de la vie, sans que personne les en empêche, ils se donneraient eux-mêmes

chose. C'est ainsi qu'elle réduit à l'état d'esclaves les hommes dotés d'une plus forte nature que celle des hommes de la masse ; et ces derniers, qui sont eux-mêmes incapables de se procurer les plaisirs qui les combleraient, font la louange de la tempérance et de la justice à cause du manque de courage de leur âme. [...] Écoute, Socrate, tu prétends que tu poursuis la vérité, eh bien, voici la vérité : si la facilité de la vie, le dérèglement, la liberté de faire ce qu'on veut, demeurent dans l'impunité

chef de l’Etat sans compromettre les intérêts des autres et les leurs agissant mal à la fois dans la vie privé et politique. La tempérance, ou bien l’objectivité, est la seule qualité qui permet à l’homme naturel de ne pas être un fardeau pour lui-même ou encore à l’homme sociétal de ne pas en être un pour les autres, Socrate souligne à Alcibiade l’importance de la tempérance comme condition du bonheur. Ainsi, on peut affirmer que prendre soin de soi est essentiel à l’humanité en ce qu’il permet

et le Livre IV contiennent une description et une analyse des principales vertus morales : le courage, la tempérance, la générosité, la magnificence et d’autres encore. Pour Aristote il existe quatre grandes vertus morales qui sont la force (ou le courage), la tempérance, la prudence et la justice.  La force qui représente la capacité de l’homme à se contrôler devant le danger, la tempérance est caractérisée par la juste mesure en ce qui concerne les plaisirs, la justice est définie à travers la

guerrier devient magistrat (car il ne fait pas toujours la guerre). La cité redressée doit elle aussi… Les vertus du philosophes sont la mémoire, la justice, amis de la virilité (robuste, courage) du savoir (la vérité), largesse de la vue, la tempérance (se méfier des passions), L’archétype de ce philosophe est Socrate. “Je suis un des rares pour ne pas dire le seul athénien qui s’attache au véritable art politique”. Gorgias “La meilleur façon de vivre est de vivre et mourir en pratiquant la

nationale de la femme Christian Temperance Union. continue avec l'activisme politique, elle a aidé à organiser la National Association of Colored femmes en 1896, et a été élu viceprésident en 1897. Frances Harper est décédé le 22 Février 1911. Héritage et distinctions clubs de services pour les femmes afro-américains eux-mêmes nommé en son honneur. Dans tout le pays, dans des villes comme Saint-Louis, Saint-Paul et Pittsburgh, quelques lieues Harper et Christian Temperance syndicats de Frances E. Harper

l'équilibre de l'âme (désapprobation d'Homère). d)[389bd, p. 140] Les simples citoyens ne doivent pas mentir. Seuls les chefs de la Cité peuvent mentir si c'est dans l'intérêt de la Cité. e)[389d, pp. 141-142] On exaltera la résistance à la faim, la tempérance et la discipline et on écartera tous les passages célébrant la débauche des dieux et des hommes (plaisirs de la table et de l'amour : Zeus et Héra, Arès et Aphrodite). f)[390e] Les guerriers ne devront pas être cupides. g) [391d] Ils ne devront

de tous nos désirs, mais seulement de ceux qui nous apporte la plénitude. Ligne 4-5 de cet extrait Epicure dit « mais parce que si nous n’avons pas l’abondance nous saurons être content de peu » en effet, selon lui, le bonheur se trouve dans la tempérance. Pour être heureux il faut savoir se contenter de peu, cad de plaisirs simples, issu de la nature, car ce sont ces plaisirs naturels qui nous promettent d’être en bonne santé. Pour être heureux il ne s’agit donc pas de satisfaire tous nos désirs

l'envie. Ce qu'on ne contrôle pas. Le désir est ce qui doit vous menez au plaisir. Les deux arguments de Calliclès : - Pourquoi faut-il chercher à satisfaire tous ses désirs? Parce que réprimer ses désirs, s'empêcher d'en satisfaire certains (cf la tempérance), c'est être lâchje. C'est ne pas avoir le courage d'affronter ce qui est de l'ordre du corps, du plaisir, des pulsions. Comme chez Nietzsche, si la masse des Hommes estime qu'il faut des normes, des contraintes en ce domaine, c'est qu'elle a peut