Taylorisme Et Syndicalisme

INTRODUCTION Section 1/ D’où vient la ressource humaine (1880-1974) §1/ L’émergence de la fonction (1880-1944) 1880 : période d’explosion de la révolution industrielle, avec une main d’œuvre nombreuse mais peu qualifiée. A/ Le taylorisme Tire son nom de Frederick Winslow Taylor, ingénieur à la Midvale Steel Company. Il va élaborer un système de gestion de la main d’œuvre pour améliorer et optimiser la gestion industrielle. Sa théorie va avoir une influence jusqu’à la fin

cette inauguration tend à unifier le mouvement ouvrier qui connaît toutes sortes de formes de regroupements se réclamant du socialisme sur des bases diverses et contradictoires (Mazzini en Italie, Proudhon en France, Michel Bakounine en Suisse, syndicalisme britannique, lassalliens en Allemagne, etc.). La Commune de Paris est écrasée en 1871. Marx rédige un texte qui est adopté par l’Internationale : La Guerre civile en France. Karl Marx tire la conclusion que le prolétariat ne peut pas se contenter

compétence résulte de la crise du taylorisme et cherche à en pallier les insuffisances. Elle remet en cause l’atomisation du travail, la spécialisation du travail et propose un enrichissement des tâches, une valorisation de l’implication au travail et un développement de la mobilité professionnelle.C’est de ce point de vue une innovation managériale, car elle représente un enjeu économique et social au moment historique précis où le développement technologie rend le taylorisme contreproductif. La compétence

objectifs  5- la recherche de candidats  6- l’entretien  7- les tests  8- personnalite et professionnalisme EVOLUTION ET ESSOR DE LA FONCTION RESSOURCE HUMAINE Introduction Avec le développement du taylorisme et les débuts du syndicalisme, les premiers « services de personnel » avec pour mission d’entretenir des relations avec les syndicats, d’administrer les droits des salariés, les adapter aux progrès technologiques et régler des problèmes de rémunération, d’évaluation

système Bedeaux (version française du taylorisme). La main d’oeuvre qui intègre ce système est moins qualifiée (on passe de l’ouvrier qualifié à l’ouvrier spécialisé). • La tension sociale qui nait dans ce contexte s’illustre par la montée de la C.G.T qui voit monter ses effectifs de 700 000 en 1914 à 1 600 000 en 1919. Dans le même temps la révolution bolchevique et les troubles révolutionnaires affectent l'Allemagne et l'Italie. • On cf supra observe un syndicalisme ouvrier pendant la guerre, une attitude

|ESSOR DE LA FONCTION RH | I- INTRODUCTION Avec le développement du taylorisme et les débuts du syndicalisme, les premiers « services de personnel » avaient pour mission d’entretenir des relations avec les syndicats d’administrer les droits des salariés, les adapter aux progrès technologiques régler des problèmes de rémunération, d’évaluation et de communication dans le sens moderne du terme. Malgré de ces nombreuses missions et activités, les services

o Coordinateur par le marché ou le contrat • Mise en place de mécanisme d’incitation • Privatisation et mise en concurrence • Mécanisme de type marchand Une révolution intellectuelle anglo américaine • Influence du taylorisme : o Division verticale du travail / Division horizontale du travail o Salaire au rendement o Système de contrôle du travail • Séparation de la politique et de l’administration • Spécialisation fonctionnelle :

habileté) et une économie d’innovation (invention de a machines particulières). Mais la division du travail nécessite l’organisation précise de la production dans l’entreprise par la « main invisible » du manager. Dans l’entreprise, l’application du taylorisme (organisation scientifique du travail) conduit à une division horizontale des tâches (parcellisation des tâches en gestes précis et chronométrés) et à une division verticale entre l’exécution (ouvriers spécialisés) et la conception (direction).

indépendants: Millerand, Jaurès. 4) L'anarchisme. Les attentats; l'idéologie. Ravachol, Vaillant et l'assassinat de Carnot. Les "lois scélérates". Postérités culturelles. 5) Le mouvement syndical (1880-1899). Essor du syndicalisme. Les bourses du travail, la C.G.T. L'anarcho-syndicalisme et ses limites. Syndicats et anarchistes. Les autres courants: les guesdistes, les modérés, les syndicats chrétiens. 6) Les progrès du mouvement ouvrier dans les années 1890. La deuxième Internationale. Cultures ouvrières:

dans les secteurs moins favorisés ou bien de moderniser leur outil de production. C’est le cas en France d’André Citroën qui transforme la petite entreprise familiale en un puissant groupe automobile employant les méthodes les plus modernes du taylorisme. Du Pont de Nemours enregistre un bénéfice de 226 millions de dollars en quatre ans contre 6 millions de dollars en moyenne avant guerre. En Allemagne Daimler quadruple son capital, amortit totalement son outil de production et distribue néanmoins