Taylorisme Et Syndicalisme

production? Nous étudierons les différentes organisations et leurs défauts. Sommaire : 1) L'organisation scientifique du travail • A/ la division du travail • B/ Le taylorisme 2) La crise du taylorisme et les nouvelles formes d’organisation du travail • A/ La contestation de l’OST et le post taylorisme • B/ les théories des relations humaines • C/ Les nouvelles formes d’organisation • D/Le toyotisme 3) ma conclusion 1- L’organisation scientifique du travail

Fiche 20 I. 1 I.Du taylorisme-fordisme à la « nouvelle organisation du travail » 2 A. La division et l’organisation du travail : de Smith à Ford en passant par Taylor Pour être efficace le travail doit être organisé. Au XVIIIème siècle, Adam Smith, économiste écossais, 1723-1790, a cité l’exemple d’une manufacture d’épingles dans laquelle, à force d’organisation et de spécialisation des ouvriers, la production avait considérablement augmenté. Au début du XXème siècle

Critique du Taylorisme Si l'intention initiale est d'organiser les ateliers et les postes de travail pour une moindre fatigue de l'ouvrier (la juste journée de travail), le résultat final obtenu, constaté sur le terrain, ne comporte pas que des aspects positifs. • Du fait qu'il n'y a aucune place pour l'imprévu, les opérateurs exécutants sont placés dans une situation de dépendance. Chaplin, dans le film Les Temps modernes, tourne en dérision cette méthode de travail qui laisse peu de place

nous apportent la lecture attentive du document n°6 ? 1.1.2: Du machinisme à la robotisation Cours : 1.1.2.1: Du taylorisme au fordisme :l'homme au service de la machine. A partir des années 1880, l'ingénieur américain Taylor montre que la division et la spécialisation du travail permettent d'en augmenter la productivité : cette organisation du travail prendra le nom de taylorisme. Le processus de fabrication est décomposé en de multiples tâches qui s'enchaînent: chaque ouvrier se spécialise dans

contient toujours un dossier comportant plusieurs articles tournant autour d’un thème dominant. L’action syndicale était à l’honneur dans ce numéro paru en 2008. Les deux auteurs y dressent un état des lieux du syndicalisme au Québec à ce moment. L’idée d’un dossier sur le syndicalisme leur est venue en réaction à Jean Charest et à « son objectif clairement avoué […] de s’attaquer au prétendu monopole syndical sur les réalités politiques québécoises » (p. 24). L’article commence en mettant clairement

début du xixe siècle : l’artisanat domine (gravure de C. Maurand) 4 Première révolution industrielle (vers 1780-vers 1880) • Machinisme et artisanat dominants • Société très rurale Deuxième révolution industrielle (vers 1880-vers 1950) • Taylorisme (dès 1880) et fordisme (dès 1930) • La grande usine l’emporte sur l’atelier après 1880 Troisième révolution industrielle (depuis 1950) • Automatisation dès 1950 Quelques grèves Vers le progrès social 1864 Carmaux, 1892 1884 Liberté syndicale

l’industrialisation 1. Les moyens financiers  De nouveaux besoins en capitaux  De nouveaux besoins financiers 2. Le rôle des marchés  Des marchés de plus en plus vastes  De nouvelles techniques de vente 3. Des méthodes de travail scientifique  Taylorisme  Fordisme C. La diffusion de l’industrialisation 1. Chacun sa voie 2. Une croissance économique soutenue mais irrégulière  La croissance globale  Les fluctuations de la croissance II/ La naissance d’une société industrielle A. Les bouleversements

taches à effectuer par les ouvriers sont simplifiées cela permet de changer leur place dans l’atelier et d’être mobile sur le marché du travail. Dans ces industries le plus important est le gain de temps, donc éviter la flânerie. 2. Le taylorisme. Référence au film de Charlot « Les temps modernes ». 1. L’OST, organisation « scientifique » du travail. « Rationalisation du travail », résume l’apport de TAYLOR (1856-1915). Rationaliser : « traiter rationnellement, conformément à la

la fin des années 1930 aux années 1960) basée sur la fabrication en petite série et en flux tendus, l'organisation kanban qui part de la commande du client pour générer les ordres de fabrication, la polyvalence et l'implication du personnel, le syndicalisme d'entreprise et l'emploi à vie. Vers la fin des années 1980-90, la "mode" japonaise commençait cependant à faiblir, bon nombre d'entrepreneurs contestant qu'on puisse importer tels quels des principes d'organisation élaborés dans un cadre social

apparait les premières entreprise de plus de mille personnes. Au début du siècle dernier, apparition du taylorisme : sa force est la parcellisation des taches (plusieurs milliers pour la construction d’une voiture). Sa faiblesse est la répétition et le travail ennuyant et surtout on ne prend pas en compte les individus. Ensuite arrive le syndicalisme qui va un peu à l’encontre du taylorisme. Avant on basait la motivation sur l’argent sans prendre en compte les conditions de travail. Aujourd’hui