Taylorisme Et Syndicalisme

formation et la mobilité sont étroitement réglementées. Fin du XVIIIème au début du XXème : Machinisme, industrialisation et développement du capitalisme industriel La première moitié du XXème : L’empreinte du taylorisme et la montée du droit social. La fonction Personnel apparaît dans les organisations La période est marquée par des inventions qui bouleversent l’organisation du travail : remise en cause des modes anciens de formation, de sélection et de conditions

professionnelles de leur membre, qu’il s’agisse de salariés, artisans, agriculteurs… c’est ce que nous allons étudier. Le syndicalisme = acteurs majeurs de la vie politique et sociale. On a comme acteurs essentiels : - Syndicat employeur : MEDEF - Syndicat salarié : FSU (SNES) pour les enseignants, CGT, CFDT, CFTC, FO, CGC, Sud, Solidaire, UNSA Lien étroit entre l’histoire du syndicalisme et la vie socio-économique de la France Tout au long du XXème siècle, les organisations syndicales ont été des acteurs

plus tout en travaillant vite et de manière efficace. C’est une véritable organisation scientifique du travail qui se met en place sur les observations d’un ingénieur anglo-saxon Frédéric Winslow Taylor à la demande de l’américain Henri Ford. Le taylorisme est la naissance du travail à la chaine. Dans le même temps mais de manière plus limitée se développe la notion de Fordisme avec l’obligation d’augmenter régulièrement le salaire des ouvriers si vous voulez qu’ils consomment. c- Les conséquences

américains en la matière, Frederich Taylor et son Organisation Scientifique du Travail (OST) vers 1890. Le modèle de rationalisation importé des Etats-Unis se répand vite et les ouvriers se retrouvent en plein cœur de la modernité. La France importe le Taylorisme avec Renault (ce qui a suscité de nombreuses contestations chez les ouvriers Renault). Les entreprises s’organisent de manière hiérarchique par soucis d’efficacité et il apparaît de nouveaux intermédiaires tels que les contremaîtres et les ingénieurs

d’expertise. La reconnaisssance du patron comme seul maître à bord a favorisé l’acceptation de la règle de l’emploi«de gré à gré», c’est-à-dire le droit du patron de décider seul du nombre de personnes dont il a besoin et de diriger le travail.» Le syndicalisme étant peu présent aux États-Unis , cela laisse malheureusement place au favoritisme dans la sélection de personnel. De plus, on dénombre beaucoup de mises à pieds pour des raisons autres que des difficultés financières d’une entreprise quelconque

visible.             De surcroit, si les grandes organisations tayloriennes ont quasiment disparu dans les sociétés occidentales, il n’en reste pas moins que le taylorisme n’a lui pas disparu. En effet, il existe encore aujourd’hui des formes d’organisations du travail post-tayloriennes et néo-tayloriennes. Dans l’industrie, le post-taylorisme demeure présent. Les patrons d’industries  tentent de mettre en œuvre différentes formes de participation des travailleurs à la production : rotation des postes

à la réalisation de ses objectifs auprès de publics variés (consommateurs, distributeurs, pouvoirs publics..) Les trois principales formes du marketing : (1) : Le marketing de masse ex : la ford T, mécanisation et production de masse (taylorisme), standardisation extrême du produit (2) : Le marketing segmenté ex : Général Motors, différence de l'offre selon le type de client (3) : Le marketing individualisé ex : Citroen, communication directe, développement de services, gestion

l’hostilité au syndicalisme (il y a coïncidence entre le développement de l’O.S.T. et la campagne antisyndicale d’open shop des entrepreneurs américains) et à la négociation collective (puisque le salaire est déterminé «scientifiquement»),attitudes qui s’estomperont heureusement chez les disciples. Se caractérisant par trois idées essentielles :l’utilisation maximale de l’outillage, la suppression de tout geste inutile dans les mouvements humains, la préparation du travail, le taylorisme peut se définir

et que la haute hiérarchie est composée de seulement 4 types d’employés. 3. « Les style technocratiques ou analytiques des gestions ont ainsi rendu calculateurs les membres de l’entreprise. En réaction à la rationalité administrative, le syndicalisme et les groupes de pression sont apparus6 ». Tout cela rend difficile la collaboration. Nous ne sentons pas cette pression chez SEMCO. Au contraire, « dans les couloirs, il n’est pas rare de tomber sur un gestionnaire sénior avec des cheveux gris

l’évolution du monde ouvrier de 1830 à la fin des Trente Glorieuses. On étudie la constitution d’une sociabilité et d’une culture ouvrières. On présente la formation d’une conscience de classe à travers les luttes sociales et politiques (grèves, syndicalisme, partis) et le processus d’intégration républicaine. – Groupe Opérationnel Lettres-Histoire-Géographie, Académie d’Orléans-Tours, 2010-2011. 1 M.COURONNET, E.SAJUS – Groupe Opérationnel Lettres-Histoire-Géographie, Académie d’Orléans-Tours