Taylorisme Et Fordisme Situation Actuelle

durée déterminée, car la cause de cette détermination, de la date ou l'échéance de fin de contrat est prévue explicitement par le Code du Travail. Le terme « contrat à durée déterminée » a été introduit par la loi nº79-11 du 3 janvier 1979. La forme actuelle du contrat à durée déterminée date de 1990. Un contrat de travail ne peut être conclu pour une durée déterminée que pour l'un des cas énuméré par la loi : • Art. L1242-2 du Code du travail: o Remplacement d'un salarié, o

quelles sont les évolutions des principaux modes de production. (2 points) Les modes de production sont classés selon leur nature c'est-à-dire s'il s'agit de biens ou de services. La production est adaptée à la nature commerciale. Les évolutions actuelles se constatent dans le rôle de la gestion de la production qui consiste à fabriquer des services correspondant aux besoins détectés par les notaires et exprimés par leurs clients. Il s'agit de gérer au mieux, les flux d'information, de structurer

l’environnement institutionnel peut-il être source de croissance ? Si les gouvernements ont raison de s’inquiéter des crises économiques sévères, qui s’accompagnent en effet d’un développement du chômage et d’une baisse du niveau de vie, la croissance actuelle ne soulève- t-elle pas des « défis », pour ne pas dire des problèmes, en termes d’inégalités de revenu comme en termes de limites écologiques ? 1. Croissance, de quoi parle-t-on ? 1.1. Comment mesure-t-on la croissance ? La croissance est l’augmentation

unités produites peuvent coûter plus cher que les avant-dernières) Gains de productivité peu probables pour des postes peu qualifiés Une très grande spécialisation implique une organisation très rigide et parfois contre-productive (cf. limites du taylorisme, vues en T.C.) Pour Tocqueville, c'est la dégradation du sort des plus défavorisés et la perpétuation d'une forme renouvelée de l'aristocratie, devenue à ses yeux la plus dure qui ait paru sur la terre envers les ouvriers. Pour Marglin, une

| |l'accroissement de la richesse des nations, i.e. de la | |Une très grande spécialisation implique une organisation très rigide et parfois contre-productive | |croissance. | |(cf. limites du taylorisme, vues en T.C.) | |Elle est efficace pour trois rasions : | |Pour Tocqueville, c'est la dégradation du sort des plus défavorisés et la perpétuation d'une forme | |Augmentation

organisation très sévère ! Les ouvriers vont êtres extrêmement surveillés, disciplinés il faut une OST (org. Scientifi. Du travail) Taylorisme : chaîne, ne plus dépendre de l ouvrier, l’ouvrier ne fait plus qu’une chose il peuvent le remplacer ! car il ne produit qu’une chose, la même, tous les jours. Militarisation du programme de production. Plus rien d’humain là dedans. Fordisme : créer une immense usine où il à divisé en OST. Leading secteur : marche le mieux à un moment. Celui qui tire les autres

produites peuvent coûter plus cher que les avant-dernières) * Gains de productivité peu probables pour des postes peu qualifiés * Une très grande spécialisation implique une organisation très rigide et parfois contre-productive (cf. limites du taylorisme, vues en T.C.) * Pour Tocqueville, c'est la dégradation du sort des plus défavorisés et la perpétuation d'une forme renouvelée de l'aristocratie, devenue à ses yeux la plus dure qui ait paru sur la terre envers les ouvriers. * Pour Marglin

PERSONNEL : La gestion des ressources humaines, autrefois appelée gestion du personnel, a été marquée dans son évolution par divers courants historiques. Elle a tout d'abord été fortement emprunte du taylorisme rationalisant cherchant à éviter les gâchis notamment en temps et en main d'œuvre puis du fordisme favorisant une production de masse. La gestion du personnel est alors caractérisée par : [pic]un caractère administratif fort [pic]une rationalisation de la fonction [pic]un traitement bureaucratique

Sociale de l’Entreprise » (RSE) ; en parallèle d’objectifs économiques, elle aurait des objectifs sociétaux : une politique sociale généreuse pour ses salariés, la protection de l’environnement, la réduction des inégalités… Le paradoxe de la situation actuelle est qu’aujourd’hui la compétitivité « fait la loi » dans le monde. Elle n’est en principe qu’une modalité de comportement des acteurs dans le contexte de marchés concurrentiels (oligopolistiques ou monopolistiques). Chaque acteur (entreprise

fonctions, une attribution des rôles ; * Un système de communications entre les différents sous ensembles du système qui précise notamment le circuit des informations ; * Un mécanisme de prise de décision auquel se combinent les structures actuelles de l’autorité ; * Un ensemble de règles d’évaluation de son activité. 7 Ces éléments de contrôle mesurent la qualité de la relation de l’organisation avec son environnement. Aucun des 5 points cités ci-dessus ne va de soi, en effet ils