Tautologie

hypothèses sensées et testables Les hypothèses doivent être, en outre, développés à partir de la formulation du problème de recherche de sorte que cette formulation ne conduise pas à des solutions triviales. Le caractère trivial indique l’existence d’une tautologie, une solution évidente ou une solution n’offrant aucune faisabilité. 17/03/2012 DIAKITE KARIM/gueykarim@gmail.com 13 PROBLEMATIQUE ET PROBLEME DE RECHERCHE 4. Problèmes pertinents et gérables A titre d’exemple, un chercheur aux ambitions démesurées

premières indémontrables desquelles on peut tout déduire, ce qui posera d’autres problèmes. La première condition suppose de procéder d’identité en identité, de propositions “exprimant la même chose” en propositions “exprimant la même chose”, càd par tautologie (to auto legein) cf Leibniz : “Une démonstration n’est pas autre chose que la résolution d’une vérité en d’autres vérités déjà connues.” Les trois types de démonstration sont tautologiques : - Synthétique : déduire de principes inconnus la proposition

Descartes dans les Meacute;ditations, on y deacute;couvre le concept d'eacute;tendue. La neacute;gation d'un jugement analytique s'appelle une contradiction dans les termes. Tout jugement analytique vrai est neacute;cessairement vrai, il constitue une tautologie (une lapalissade). Il ne fait finalement que reacute;peacute;ter, en le deacute;veloppant, le sujet. Il n'est donc pas informatif, il n'apporte aucune connaissance. Il est vrai dans n'importe quel monde possible. Même dans un monde sans chauves

se rapporter qu’à soi ». On aboutit à une force que l’on peut décrire que par son évidence : au point que cette amitié ne peut s’ouvrir à une théorie car cette amitié n’a pas d’autre idée que d’elle-même. Cette amitié est cette amitié : c’est une tautologie. D’où le dernier temps qui relève non plus sur l’idée de la cause, des conditions qu’elle force mais sur l’idée de l’essence de cette expérience. Un texte entier tendu vers une expérience sans cesse au dicible, mais signale par ses

(nombreux points de suspension), répète bêtement ses « titres honorifiques » (l. 58 « Je…je suis, hurla le chef au comble de la fureur, je suis…un fonctionnaire du gouvernement. »/l. 60 « … le chef de police [et d’ajouter, comble de lourdeur et de tautologie !]po…police d’Etat. » ▪Le ridicule de l’image : « …pour sauter au final à pieds joints » (l. 34) ▪Le geste final démesuré et ridicule… : « en un seul et même geste le chef ouvrit son sac de voyage, en sortit un revolver et fit feu, n’importe

tourner vers soi-même et, dans le même temps, de tenter d’approcher le méconnaissable, l’inconnu. Est-ce par hasard que l’ontologie existe ? Est-ce par inadvertance que Parménide prit l’Être comme archè, comme principe régissant l’Univers dans une tautologie célèbre : « l’Être est, le non- Être n’est pas » ? L’idée de l’existence d’un « surmoi » n’est peut-être pas à négliger. En effet, le sujet s’autorise à deux explorations. Tout d’abord, comme nous avons pu le voir, il réalise une introspection,

nécessaire dans certaines sciences comme la métaphysique. Par les jugements synthétique a priori, il s’agit de concevoir, cette fois contre Hume, une extension non empirique de la connaissance, sans pour autant réduire les vérités rationnelle à des tautologies, à la manière de Leibniz. La science ne connait par conséquent que des phénomènes, elle est une activité proprement humaine et ne requiert plus comme pour le rationalisme classique un fondement théologique, que Kant dénonce comme un deus ex machina

proche du sens commun [histoire de savoir de quoi on parle mais aussi pour ensuite apporter des nuances ou des modifications à cette définition initiale]. Il faut cependant éviter des définitions du type la vérité c'est quelque de vrai (tautologie), qui ne nous avancent pas beaucoup. Dans un coin de sa feuille on peut par ailleurs faire le point sur les connaissances que l'on possède, sur les différentes définitions de la vérités que l'on connaît qui nous permettrons ensuite de critiquer

thèse adverse ; — enfermer la thèse dans un choix impossible (dilemme) ; — utiliser l'ironie pour feindre d'adopter l'opinion de l'autre pour mieux la détruire en la ridiculisant ; • soit on utilise une argumentation de mauvaise foi comme : — la tautologie (raisonnement en cercle vicieux) ; — les prétextes ou fausses raisons pour se tirer d'un mauvais pas ; — l'argument ad hominem qui s'appuie sur la personnalité de l'adversaire pour réfuter ses idées. Document créé par Stéphane FONTAINE le 02/10/99

veut faire comprendre son point de vue et utilise cette technique argumentative + Eh non! / la nature est comme la nature. Emphase, énervement de Micromégas devant la flatterie et les idées reçues. Retour à la simplicité du propos (répétitions= TAUTOLOGIE ou PLEONASME) Je ne veux point qu'on me plaise, répondit le voyageur; je veux qu'on m'instruise; C’est Micromégas qui choisit les sujets de discussion et qui fixe le but de l’échange. (ASYNDETE ADVERSATIVE ici le MAIS est sous- entendu pour