Tafsir

véracité et sincérité et non pas le mot "mehr". Ainsi, la dot est un symbole de la cordialité de l'homme qui la paie. Ce point a été mentionné par un nombre de commentateurs du Saint Coran, tel que : al-Zamakh-charî, l'auteur du célèbre commentaire (Tafsîr) : "al-Kach-châf". De même le célèbre philologue al-Râghib al-Içfahânî explique dans son lexique du Coran que la dot a été appelée "sadoqah", parce que ce mot est le symbole de la sincérité de la foi. 2 - Deuxièmement, il est clair, d'après le verset

sourate 74, verset 31. [21] « Malheur à celui qui croit que la table c’est de la nourriture, de la boisson (…) la vraie table c’est plutôt l’honneur de la science et la compréhension des secrets de cette existence », Tantawi Jawhari,  al-Jawahir fi Tafsir al-Qur'an al-Karim, T. 3-4, éd, Dar al-kotob al ilmiya-Beirut, ed, 2004, p.160. | | Le Soleil se lève à l'Occident - Science pour l'Heure, Farid Gabteni Tous droits réservés © 1999 Centre International de Recherche Scientifique | [accueil]

concerning jihad. These are often quoted out of context, in isolation from immediately preceding or following verses, which limit their application. They usually ignore the ways in which the verses citied are explained in classical exegetical works (tafsir) which emphasize the social and political contexts in which they were revealed in the case of the Qur’an, or in which the Prophet Muhammad spoke, in the case of Hadith. Most are not familiar with the complexities of classical Arabic grammar, which

questions de droit qui peuvent se psoer. Pour cette raison est obligé de se livrer à des interprétations, des commentaires. D’autant plus que parfois les sourates, les versets ne sont pas très clairs. Lorsque l’on parle de commentaire inversé, on parle de tafsir. Plusieurs écoles de droit vont découler des principes de commentaire. Selon la manière dont on va commenter ces textes ont va relever de telle ou telle école. Très vite, plusieurs écoles d’interprétation sont apparues dans l’islam. Au début il y’avait

sachez qu’il n’y a aucun problème à la dire. Sachez que la partie ambiguë : « Alfatihi lima oughliqa walkhatimi lima sabaqa » vient de Ali, qu’Allah l’agrée, qui enseignait cela dans une version authentique très longue que vous pouvez retrouver dans tafsir Ibn Kathir ou hayat assahabas. Qu’Allah pardonne aux savants qui critiquent cela et écrivent des livres sur cela sans savoir que cela vient de Ali. Par contre le fait de dire que la salat Fatiha vaut mieux que la lecture entière du Coran est une exagération

religieuse. Si les trois ne sont pas bien articulées, les synergies ne peuvent pas fonctionner pleinement. (81) ZAKAT, WAQF & MICROFINANCE ISLAMIQUE : QUELLE COMBINAISON? BIBLIOGRAPHIE : Abdurrahmân ibn Nâsir As-Sa'dî, « Taysîr al-Karîm al-Rahmân fî tafsîr kalâm al-Mannân», Dar Al Amanah. Al-Qardhawi.Y (1981) «Fiqhul Zakat», Muassasah Al-Risalah , Beirut, 1981 Guéranger.F, « Finance islamique : une illustration de la finance éthique », Dunod, Paris, 2009 Kabir.H, «An integrated poverty alleviation model

vallée du fleuve. C'est ce cosmopolitisme du peuplement et de la sociologie historique Saint-Louisienne qui a fait l'originalité, l'élégance et le rayonnement de la ville. Saint-Louis, c'est aussi une ville musulmane de mosquées, de zawiya et de tafsirs (érudits du Coran) avec ses minorités catholiques (Sor) et protestantes (Khor). Les fondateurs des grandes confréries y ont fait leurs classes coraniques, d'autres y ont consacré d'intenses moments de dévotion, tandis que se développe une culture

chez deux cents soixante trois savants et qui ne se contenta pas uniquement de cela mais partit à l’est pour étudier chez d’autres savants. Il était un des savants d’Andalousie les plus renommé à l’est. - Ibn ‘Attiya spécialiste de l’interprétation (tafsir) du Q ur’an avec Ibn Waddah, Ibn ‘Abdibbar et Yahya Leythi. - L’Imam Bajji, spécialiste de jurisprudence islamique (fiqh) avec Ibn ‘Assim, Moundhir Ibn Sa’id. - L’Imam Bajji et Moundhir Ibn Sa’id étaient aussi spécialistes du Hadith. - Ibn Roushd