Syndicalisme

pour le suffrage universel et l'indemnité parlementaire. Echoue en 1848. -Robert Owen tente d'organiser une représentation nationale des métiers avec en 1834, sa " Grand National Consolidated Trade's Union ". Echec. à la fin du siècle, le syndicalisme l'emporte définitivement : droit syndical reconnu en 1884 et droit de grève. Syndicats de métiers apparaissent. Se met en place une solidarité ouvrière. " Trade's union council " : premier syndicat de masse. Mise en avant des règles de négociations

que celui du régime quasi-totalitaire qui y règne car en refusant la reconnaissance des syndicats, le patronat se met un grand nombre de ses ouvriers à dos. Cette manifestation marquera de façon définitive l’histoire du mouvement ouvrier, du syndicalisme et du socialisme. Les ouvriers ne sont pas prêts de renoncer à ce à quoi ils aspirent, d’autres mobilisations sont prévues dans les jours à venir…

une association de personnes qui a pour but de défendre les intérêts professionnels et économiques communs. Le syndicat cherche à faire aboutir des revendications en matière de salaires, de conditions de travail, de prestations sociales. Le syndicalisme est donc un mouvement social et politique des travailleurs, organisés pour défendre leurs intérêts ou imposer des changements. Conditions des travailleurs ? Au XIXème siècle, les ouvriers sont très mal payés, les conditions de travail sont

rétracté dans les jours suivants suite au tollé engendré chez les syndicats et les partis de l’opposition, l’exemple nous rappelle la perte de vitesse du syndicalisme depuis la fin du « long boom » économique suivant la deuxième guerre mondiale. D’emblée, depuis la monté de la globalisation et des idées néolibérales, plusieurs prétendrent que le syndicalisme est incompatible avec les nouveaux modèles productifs des pays avancés. D’ailleurs, de nombreux syndicats locaux, par exemple dans le secteur de l’automobile

compagnonnage…Défendre ses intérêts n’est donc pas un droit collectif. * Loi « antisocial » qui ne visait pas les clubs patronaux ou les trust. * Les grèves sont de fait interdites, et réprimées tout au long du siècle suivant la Loi. B. Naissance du syndicalisme - dès l’article 2 la teneur de la Loi est énoncé, il s’agit d’un contre-pied fait à la Loi le Chapelier : ce qui était interdit par la Loi est désormais autorisé par celle-ci . - l’objet et la raison d’être des syndicats est explicité d’emblée

plus humain et un pilotage plus avisé des entreprises et des économies sont souhaitables. Dans un contexte social, la période 1900-1940 est l’ère du syndicalisme industriel. Déjà en émergence depuis 1840, avec les conditions de travail instaurées par le travail à la chaine, les syndicats explosent. C’est le développement du syndicalisme de métiers. Dès 1886 une centrale syndicale, l’American Federation of Labor (AFL, Confédération Américaine du Travail), se constitua L’idéologie de

aboli. 1886: création de la Fédération nationale des syndicats 1895: création de la CGT 1906: charte d'Amiens : elle revendique la disparition du salariat et du patronat par la grève générale. 1919: création de la CFTC 1940: le syndicalisme est interdit par le régime de Vichy, de nombreux syndicalistes entre dans la résistance. 1970: l'autogestion des entreprises est proposé comme alternative au capitalisme. Les syndicats sont censés être neutre au niveau politique puisque qu'ils

l'évolution du monde ouvrier de 1830 à la fin des Trente Glorieuses. On étudie la constitution d'une sociabilité et d'une culture ouvrières. On présente la formation d'une conscience de classe à travers les luttes sociales et politiques (grèves, syndicalisme, partis) et le processus d'intégration républicaine." La séquence proposée s'articule autour de trois séances. Séance 1 : Comment expliquer les conditions d'existence difficiles des ouvriers au XIX° siècle ? Montrer qu'il est difficile pour

d’ouvriers non qualifiés. L’action politique est tentée : William Lovett et Feargus O’Connor, en Grande Bretagne, dans les années 30, débouche sur la lutte pour le suffrage universel et l’indemnité parlementaire. Echoue en 1848. A la fin du siècle, le syndicalisme l’emporte définitivement : droit syndical reconnu en 1884 et droit de grève. Syndicats de métiers apparaissent. Se met en place une solidarité ouvrière. Peu à peu la classe ouvrière s’est organisée, les conditions de vie augmente ainsi que les

Dialogue Social Historique Le syndicalisme de métier évolue petit à petit vers un syndicalisme constitué de fédérations d’industrie (textile, transport ferroviaire...) puis aux syndicats de travailleurs dans leur globalité. • 1936 Accords de Matignon • 1982 Les lois Auroux • 2007 obligation de négociation avant toute signature de loi • 2008 loi sur la représentativité syndicale (7 critères à connaitre) • 2013 obligation de négociation avant tout projet de loi Les syndicats • CGT : Confédération Générale