Syndicalisme

Européenne elle fait partie des pays ou la conflictualité ouverte est la plus faible, en revanche jusqu’aux années 70, un quart des salariés étaient encore syndiqués. Nous sommes confrontés à un déséquilibre entre salariés du secteur public et privé, syndicalisme divisé qui est plus faible dans le secteur privé. Il y a une légère augmentation du taux d’implantation des syndicats cependant on assiste à une dégradation du climat social dans les entreprises. La grève prend aujourd’hui des formes moins visibles

CGT 1919 : CFTC 1921 : scission : CGT et CGTU (plutôt aligné sur Moscou) 1936 : réunification : CGT 1947 : rupture et CGT (plutôt syndicalisme révolutionnaire) et CGT-FO (plutôt réformateur) 1964 : scission de la CFTC en CFDT (gauche non marxiste) et CFTC Ces conflits sociaux sont concomitants avec l’ascension du syndicalisme. Cette montée du syndicalisme débouche sur une conflictualité, une institutionnalisation de la grève. La grève va peu à peu s’étendre à tous les secteurs. L’institutionnalisation

du revenu minimum d’insertion (RMI) pour les plus pauvres, 2000 : loi sur les 35 heures et instauration de la couverture maladie universelle (CMU) II] Mutations du travail et des conflits : les conflits du travail ont diminué, le syndicalisme est en déclin. 1) La grève est une expression du conflit du travail qui s’amenuise. Elle a atteint son paroxysme en 1968 avec 150 millions de journées individuelles non travaillées dans les entreprises privées et publiques (hors fonction

modalités adéquates à mettre en œuvre qui permettent de maîtriser cette immigration essentielle pour l’UE. 3- Le syndicalisme Le syndicalisme sous sa forme moderne est né en Europe dans les années 1880, résultant de la Révolution industrielle, de ses changements démographiques, politiques et surtout idéologiques. Mais le phénomène syndical européen n'a pas abouti à un syndicalisme européen unifié. Il a suivi différentes directions et les pensées syndicales britannique, allemande ou française élaborée

d'entrer, comme le font la CGT et la CFDT, dans le cadre de l'Union de la Gauche, scellée autour du fameux "Programme commun". La confédération considère que cette association fait dépendre le syndicat de considérations politiques. * 1984 : le syndicalisme enseignant à FO, jusqu'alors quasiment inexistant depuis 1948. * 1995 : perte de la présidence de la caisse nationale d’assurance maladie suite au conflit lié au plan Juppé. * 1998 : FO rejoins l’UNSA * 2003 : engagement contre la loi

de créer un contre-pouvoir à la bourgeoisie émergeante, qui contrôlait les puissantes Corporations. Le compagnonnage est une logique strictement corporatiste et qui ne remet pas en cause l’ordre social établi. Mais c’est une première forme de syndicalisme, intéressante à plusieurs titres. Les compagnons imposent aux patrons des tarifs, ils mènent des luttes parfois très radicales, ils inscrivent dans l’ordre sociale les droits des travailleurs, et ils ont un système d’intégration-formation dans

PROBLÈMES ACTUELS DU SYNDICALISME * jeudi 3 février 2011 * Lien permanent * Par Frédéric Madelin * CategoryPROBLÈMES ACTUELS DU SYNDICALISME UN SYNDICALISME MORCELÉ On compte dix-huit organisations ayant légalement le statut de centrale syndicale. On trouve, par ailleurs, un certain nombre de syndicats affiliés à aucune centrale. La multiplication des organisations syndicales ne s’explique qu’en partie par la volonté du pouvoir de disposer d’interlocuteurs destinés à accompagner

1894. C) Les combats du syndicalisme et l’amélioration de la condition ouvrière A la fin du XIXe s., les ouvriers peu organisés se regroupent en syndicat à la fois en Europe et aux usa pour faire pression de manière plus efficace face au patronat. Ces syndicats sont influencés par différentes idéologies et partis politiques. Ils revendiquent donc différents moyens d’action. En France, la CGT (confédération nationale du travail) née en 1895, dominée par le syndicalisme révolutionnaire, définit ses

pratique, elle milite pour la liberté d’organisation, de penser et d’expression sur l’aire universitaire et scolaire voire même au delà .Elle rejette le syndicalisme de participation qui consiste à faire des compromis avec la tutelle au détriment des intérêts des syndiqués en recevant en retour des prébendes. Enfin elle opte pour le syndicalisme de lutte et de revendication qui prône la défense franche, sincère et sans tricherie des intérêts des syndiqués par l’ utilisation de toutes les formes

surtout dans la santé, les collectivités locales, les assurances, les banques, la chimie Elle propose une alternative à la société capitaliste : l'autogestion des entreprises. A partir de 1981, avec l’arrivée au pouvoir de la gauche, la CFDT veut un syndicalisme qui s’adapte aux transformations économiques et sociales et elle privilégie les accords et les négociations avec le patronat et le gouvernement. c. F.O (Force Ouvrière) en 1947, tous les syndicalistes qui veulent l'indépendance syndicale quittent