Superstition

THEME : LA SUPERSTITION Exposants : DAKISSA MARTHE DELAJOUX CAROLINE ZIZI YOUSRA Sous la direction de : Mme HIHI SOMMAIRE INTRODUCTION I/-DEFINITION II/- LES DIFFERENTES FORMES DE SUPERSTITION III/-LES ORIGINES DE LA SUPERSTITION IV/-LES CONSEQUENCES DE LA SUPERSTITION V/PLACE ET IMPORTANCE DE LA SUPERSTITION VI/-LA SUPERSTITION AU MAROC CONCLUSION INTRODUCTION La superstition est une croyance

Dissertation Être superstitieux La superstition peut se définir comme l’attitude consistant à croire que certaines forces surnaturelles peuvent engendrer des modifications sur les processus naturels et en particulier les destins individuels. Quelques actes censé influences ces forces surnaturelles ce qui entraîne des conséquences positives ou négatives pour l'homme. La superstition dans la mesure où elle affirme la présence dans la nature de forces qui ne sont pas démontrables scientifiquement

Texte : Si les hommes avaient le pouvoir d’organiser les circonstances de leur vie au gré de leurs intentions, ou si le hasard leur était toujours favorable, ils ne seraient pas en proie à la superstition. Mais on les voit souvent acculés à une situation si difficile, qu’ils ne savent plus quelle résolution prendre ; en outre, comme leur désir immodéré des faveurs capricieuses du sort les ballote misérablement entre l’espoir et la crainte, ils sont en général très enclins à la crédulité

Si les hommes avaient le pouvoir d’organiser les circonstances de leur vie au gré de leurs intentions, ou si le hasard leur était toujours favorable, ils ne seraient pas en proie à la superstition. Mais on les voit souvent acculés à une situation si difficile, qu’ils ne savent plus quelle résolution prendre ; en outre, comme leur désir immodéré des faveurs capricieuses du sort les ballote misérablement entre l’espoir et la crainte, ils sont en général très enclins à la crédulité […] Si, par exemple

anmène à l'illogique, l'insencé et à l'absurde Didérot a écrit « La supersition est plus injurieuse a Dieu que l'athéisme ». *D'autre philosophes, dont Bergson, et Freud pense que c'est les gens dits «inteligent » qui ont souvent recours à la superstition pour se rassurer, pour faire contrepoids. *Puis, Sartre quand a lui, pense même que quand on n'est pas superstitieux on l'est quand même. « Je ne suis pas supersitieux, ca porte malheur ». *Enfin certains les hommes ont besoin d'avoir recours

LA SUPERSTITION.. Définition: c’est la croyance à l'efficacité de certaines pratiques, à la signification surnaturelle de certains signes. C’est aussi la croyance que certains actes ont toujours une conséquence positive ou négative, que certains objets, animaux ou personnes portent systématiquement bonheur ou malheur et ce pour des raisons que la personne superstitieuse ne saurait expliquer. L’histoire de la superstition: la superstition est très ancienne, elle a toujours

principale. Ce Traité théologico-politique est un plaidoyer pro domo. C'est ce que montre la composition même de la préface. Elle est agencée en plusieurs temps. En premier lieu, et dans un esprit qui est commun à tous les philosophes, elle dénonce la superstition. Plus exactement elle en analyse 1° la cause et 2° l'usage, car, si elle a des fondements dans la nature de l'homme, elle est entretenue de manière bien peu innocente par ceux qui peuvent en bénéficier. Mais ce dont il est question sous ce nom

La superstition est une attitude faisant intervenir la croyance que certaines pratiques ou faits observés sont en liaison avec un certain déroulement de l'avenir, sans qu'aucune explication de cause à effet ne soit donnée. Au Maroc L'individu superstitieux croira par exemple au pouvoir néfaste du regard, appelé « aïn » (mauvais œil) et synonyme d’échec, de maladie ou de mort. La crainte quasi obsessionnelle qu’il fait naître s’appuie sur la capacité de nuisance du regard porté sur autrui. Son

surnaturel ne présente rien de surprenant : l'esprit des Lumières n'est-il pas par excellence celui qui réduit le surnaturel (Übernatürlich) à la superstition (Aberglaube) ? En 1790, la Critique de la faculté de juger célébrait l'Aufklärung comme le processus qui consiste à se libérer des superstitions par l'usage autonome de la raison. Or, qu'est-ce que la superstition en général sinon la croyance au surnaturel (Kant, t. 2, pp. 1073-1074) ? Kant la définit comme "la propension à placer une plus grande confiance

La religion est quelquefois qualifiée de superstition chez les athées. Même si ces deux concepts, religion et superstition, sont d’une certaine manière un peut proche, il est tout de même crucial de bien les distinguer. Le terme religion désigne un système de croyance et de pratiques fondé sur la relation à un être suprême, à un ou plusieurs dieux, à des choses sacrées ou à l’univers, tandis que la superstition est pour son compte une déviation du sentiment religieux fondé sur la crainte ou l’ignorance